La Religion Est Elle Une Alienation

idéaux humanistes et individualistes, un consensus est possible mais de nouvelles problématiques émergent avec les progrès scientifiques. Ceux-ci confrontent l'homme à des situations controversées auxquelles aucune instance morale supérieure (religion, État, philosophie...) ne peut apporter de réponse tranchée et définitive. La plupart des débats relatifs à la législation du corps se cristallisent autour de deux courants dont l'un est souvent taxé de conservateur voire réactionnaire, et l'autre

suspect de berbérisme potentiel car c’est un bon musulman non laïc, interprète judicaire de surcroît, élève de la division supérieure de la grande Médersa - comme le sera Mostefa Lacheraf plus tard. Ses personnages reviennent à la religion de leurs pères et c’est la religion qui constitue pour eux le rempart contre toute assimilation. Heureusement, ou malheureusement, Marie l’épouse de l’émigré Ameur Ou Kaci est laïque comme son auteur. Sacré Mouloud ! par M. Lakhdar Maougal, El Watan 2007 La terre

production sera plus importante et de meilleure qualité. 2. Le travail, le propre de l'homme Pour Karl Marx, le travail est le propre de l'homme, l'essence de l'homme. « On peut distinguer les hommes des animaux par la conscience, par la religion et par tout ce que l’on voudra. Eux-mêmes commencent à se distinguer des animaux dès qu’ils commencent à produire leurs moyens d’existence, pas en avant qui est la conséquence même de leur organisation corporelle. » L'histoire pour Marx est avant

(culturels). Cette vision constructiviste de la socio-anthropologie de la connaissance Joseph Gabel en est aussi l'héritier. Dans « La sociologie de l'aliénation », il se propose de faire une analyse Marxiste de la sociologie Webérienne. Selon Marx il y a aliénation aux fausses consciences, Gabel reprend alors cette idée et exprime la fausseté ontologique : nous sommes installés dans une réalité fausse. Opacité du monde commune à la théorie de Marx, Nietzsche et Freud. Il ne suffit pas de voir pour savoir mais

de l’homme africain dans le sens où, son ordre social qui préexistait à son existence lui sera disloqué et sa culture détruite. En clair, du moment où l’africain à sa propre culture regroupant ses manières de vivres débouchant sur sa réflexion, sa religion…, il a un ensemble de valeurs fondamentales que le colon ignorait. Ignorance dans le sens radical du terme car ce dernier avait l’esprit de domination qu’il incarnait en voulant imposer sa culture au lieu de la proposer. Du coup, les théories de

philosophes des lumières vont fonder ces valeurs en s’attaquant à la légitimité du pouvoir de l’homme : pourquoi lui et pas moi ? Ainsi, on va pouvoir lui substituer un pouvoir individuel.   L’unité du groupe ne trouve plus son explication dans la religion mais dans l’individu. On passe d’une société fermée à une société ouverte qui donne la possibilité de la recomposition du lien social. Avant, vu qu’on dépendait de toute façon de Dieu, ça servait à rien de tisser des liens. Aujourd’hui, c’est différent

l’Etat, un droit inhérent à la nature. Ce droit antérieur à l’Etat, créé par Dieu est supérieur au droit de l’Etat. Pour lui les règles du droit positif doivent être conformes au droit naturel. Il n’y a aucune référence explicite à une quelconque religion dans les textes des libertés fondamentales ou publiques mais les valeurs religieuses sont présentes dans la DDHC. §3. Les sources philosophiques. Les précurseurs. La Boetie et Spinoza. La Boetie. 1548 livre : le discours de la servitude

travailleur ne reçoit qu'une petite partie de son labeur, en soi le salaire revient une rétribution qui compense son effort, mais elle n'est pas un véritable gain au sens strict. Le travail est-il plus perte que gain ? Travailler est une aliénation de l'individu et une perdition rendue obligatoire par la nature qui demande une transformation pour être utilisée par l'homme. Plus qu'un effort, c'est une punition individuelle qui doit servir le bien de tous. L'esclavagisme, ou travail forcé,

amour fulgurant : la « furor » de Phèdre «je rougis, je pâlis» : couleurs visage oxymoriques –ass en i idée mort+honte ; «transir et brûler» : oxym amour/effroi ; «mes yx ne voyaient plus» : aveuglmt amoureux, yx=sujet=perte ctrl soi (métonymies=aliénation totale) ; «je ne pouvais parler» : mutisme/intensité trouble ; «je respirais» : respi coupée, aps idée soulagt, amour oppress ; «mon âme éperdue» : absence raison/être bouleversé ; «un trouble» : sujet : «raison égarée» : scission ds l'être

définir le religieux ? A partir du XVIIIe siecle, le religieux commence a être critiqué. Freud, Nietsche et Marx, vont s’inspirer des faits religieux. Nietsche a une vision nieliste du fait religieux. Pour Marx la religion est une forme aboutie d’alienation. Freud, pense que la religion est une nevrose obsetionnelle de l’ensemble de l’humanité. Le religieux serait le discours qui porte sur le lien entre le fini et l’infini, entre le relatif et l’absolu. C’est le discours qui interroge le discours