La Répartition De La Tva Sur Les Collectivités Locales

d’utilisation, contraintes pesant sur l’usager, financement, moyens techniques mis à disposition, … Une personne publique s’en occupe. Elle est forcément rattachée à son organisateur. Ce rattachement est parfois prévu par la loi (fiche 16). Cette répartition est parfois complexe : -rattaché à plusieurs personnes publiques, ex : service public de l’éducation nationale. Par exemple, le législateur y a distingué le niveau de l’enseignement scolaire et secondaire, qui obéit à un régime d’organisation

administrations publiques afin de financer leurs dépenses. Au sens de la comptabilité nationale, les administrations publiques regroupent principalement l’État, les collectivités territoriales et leurs groupements, les organismes de Sécurité sociale. Les charges à financer sont donc les dépenses prévues par le budget de l’État, des collectivités et les prestations sociales. Les versements effectués par les contribuables ne sont pas volontaires, c’est-à-dire qu’ils ne choisissent ni le montant, ni les conditions

organisation qui ont une comptabilité séparée. Les administrations publiques locales (APUL). Ici ont y intègrent les collectivités territoriales et leurs groupements et établissements publics, sauf les hôpitaux. Certaines activités en régie en sont exclues lorsque le produit des ventes couvre plus de 50 % des coûts de production. À l’inverse, divers organismes d’administration locale, tels que les établissements publics locaux d’enseignement, les chambres d’agriculture, de commerce et d’industrie ou

avec des règles particulières. Lexique fiscal Cotisations fiscales et cotisations sociales Prélèvements 45 % du revenu national dont environ 25 % pour les sociétés, et 20 % pour le fiscal. Budget de l'État : Dépenses publiques Total : TVA : Impôts directs : PIB : Assiette de base Pour prélever un impôt on doit savoir sur quelle assiette propose le fondement de cet impôt. Base = assiette. On doit s'occuper ensuite du taux (employé pour produire la cotisation sociale ou fiscale)

exigibilité 7.3 Revenus imposables 7.4 Liquidation 7.5 Obligations et sanctions Chapitre 8 : Les Impôts Directs Locaux 8.1 Contribution des patentes 8.2 La taxe sur les biens de main morte TITRE III : LES IMPOTS INDIRECTS Chapitre 1 : La Taxe sur la Valeur Ajoutée 1.1 Affaires imposables 1.2 Personnes assujettis 1.3 Exonérations 1.4 La base imposable 1.5 Le régime des déductions 1.6 La TVA nette 1.7 Obligations des redevables TITRE IV : LES DROITS D’ENREGISTREMENTS ET DE TIMBRE Introduction

contrôles internes Section 2 : Les contrôles juridictionnels Section 3 : Le contrôle parlementaire : PARTIE 2 : Les Finances publiques non etatiques : Titre 1 : Les Finances des Collectivités Territoriales : Chapitre I : Presentation et Contenu des budgets locaux : Chapitre II : Processus budgetaires locaux : Titre 2 : Les Finances sociales Chapitre I : Les lois de financement de la sécurité sociale : Chapitre II : La problématique du financement des comptes sociaux : INTRODUCTION :

MEMOIRE DE STAGE: «Élaboration et mise en place d’une procédure de suivi des subventions commune à tous les services» GADIOLLET Alexis Licence professionnelle management des collectivités territoriales Année Universitaire 2009 - 2010 GADIOLLET Alexis Licence professionnelle management des collectivités territoriales Année Universitaire 2009 - 2010 MEMOIRE DE STAGE: «Élaboration et mise en place d’une procédure de suivi des subventions commune à tous les services» Organisme

préoccupation permanente Le processus de modernisation enclenché au Maroc ces dernières années a permis une plus grande visibilité dans la politique de décentralisation. L’érection de la région au rang des collectivités locales, de même que la répartition des compétences entre les différentes collectivités locales, apparaît comme l'une des plus importantes réformes de ces dernières années. L’un des effets positifs de la décentralisation est l’amélioration des infrastructures sociales (santé, habitat, éducation)

communautaires. Pour la sécurité social 497 milliard d'€ cela représente les cotisations sociales , la CSG et la CRDS et des prélèvements sociaux. Les prélèvement de l’État 292 milliard d'€ essentiellement sous forme d’impôts . Pour les collectivité local 127 milliard d'€ . enfin pour les institutions européen le reste . 54% de prélèvement obligatoire pour la sécurité social , 14 % pour les administrations et 0,5 pour l’Europe . I Les différentes notions de prélèvement Section 1

début des années 80. Ce chiffre est passé de 10 à 22%. Depuis les années 80, ce % est relativement stable : aux alentours de 23,24% du PIB. A l’intérieur de ce chiffre, stabilisation des impôts d’Etat, ce qui est monté en puissance ce sont les impôts locaux. Les choix faits par un gouvernement, une nation, concernant la protection sociale obligatoire ou pas, ont évidemment des conséquences sur nos finances. Depuis 1970 les cotisations sociales : 12,8% du PIB, 1980 : 18%, 1990 : 20%, 2010 : 22,6%.