La Sanction Du Non Respect De La Promesse De Vente Et Du Pacte De Préférence

Ex : le bail, le contrat de travail. Les parties recherchent un équilibre. Contrat aléatoire : il y a un aléa. Le contrat pourra être déséquilibré, l’un ayant fournit une prestation supérieure à celle de l’autre (contrat de pari, contrat de jeu, la vente…). Les contrats peuvent être de bienfaisance (article 1105) : quand il est animé par le souci de rendre service. Attention : contrat d’entreprise : rendre service à titre onéreux. Essentiellement gratuitement dans le contrat de bienfaisance. S’oppose

négociation est en cours  le défaut d’accord sur le prix est un motif légitime de rupture. Si l’existence d’un abus dans la rupture est retenue, la sanction ne consiste pas dans la conclusion forcée du contrat envisagé, dans la mesure où le droit français n’admet pas que l’ont puisse être contraint d’une manière ou d’une autre de conclure un contrat. La sanction est l’engagement de la responsabilité de la rupture fautive qui doit allouer des dommages et intérêt à la victime en réparation de son préjudice

définitions. Pour définir une obligation on voit qu’apparaissent deux caractères communs : son caractère patrimonial et son caractère personnel. I - La pluralité des définitions Plusieurs sens de la notion d’obligation. Bien souvent pour le non juriste, on confond obligation et devoir. Un devoir c’est une prescription objective de la loi ou du règlement, la loi interdit ou impose un comportement mais ça n’est pas une obligation car celle-ci est un lien entre deux personnes. Il faut distinguer

commun. Contrats réels : le dépôt, le gage, le prêt d’usage et le prêt de consommation. Contrats consensuels : la vente, le louage, le mandat et le contrat de société. Le contrat romain ne connaissait pas de contrat innommé. Le droit romain ne pouvait être reconnu que s’il existait une action en justice lui correspondant. Ces actions en justice étaient limitées. En dehors de ces cadres, le pacte était nu car il était dépourvu d’action. Des exceptions au formalisme se sont crées et des actions se sont crées

du contrat de vente A. Les avant-contrats Ce sont des contrats qui ont pour objet de préparer une future vente (avant contrat de la vente). Ce sont de vrais contrats à part entière, avec une force juridique. 2 avants contrats : 1) La promesse unilatérale de vente a) Formation C’est un contrat par lequel une personne (le promettant) s’engage à vendre un bien à une autre personne, le bénéficiaire, et le bénéficiaire est libre d’acheter ou de ne pas acheter. D’où le terme de promesse unilatérale

parle de droit personnel du créancier contre le débiteur. L’obligation a un caractère contraignant assortit d’une sanction juridique. Le créancier peut donc intenter une action en justice en cas de non-respect dans un but d’obtenir une compensation. Les autres obligations sont celles morales qui n’ont pas de sanction juridique comme celles religieuses, civiques comme voter, promesses politiques. Il existe une catégorie intermédiaire = les obligations naturelles : on ne prend pas en compte l’exécution

droit de la famille). On a de plus en plus de contrats (il faut assurer l’efficacité de la règle. Aujourd’hui, il y a un déclin de la loi. Le contrat serait une solution pour assurer plus d’efficacité à la règle ( ce qui est négocié est mieux respecté que ce qui est imposé. L’élaboration de la loi s’inspire de plus en plus du contrat alors que la loi est une volonté publique. Ex. : le gouvernement prend de plus en plus l’avis des citoyens, il négocie en faisant de la concertation. Ex. : le « grenelle » est

parties. Engagement unilatéral de volonté : est une obligation qui naît du seul fait de son émission, et qui oblige son auteur. Définition de l'acte purement gratuit et généreux. L'engagement par lequel une personne manifeste sa volonter claire et non equivoque de s'engager auprés d'une autre sans rien attendre en retour. (la démission, reconnaître un enfant) Les quasi-contrats : sont des actes volontaires et licites qui ne consistent pas en un accord de volonté mais qui oblige quand même son

conclusion du contrat définitif. Section I : Les pourparlers informels. La période des pourparlers informels est placée sous l’égide la bonne foi en vertu de l’article 1134 du code civil. Même si les parties ne sont pas engagées, elles doivent respecter ce principe de bonne foi. Les parties sont tenues de s’échanger des informations et de s’abstenir de toute manœuvre déloyale. I. L’obligation d’information Elle oblige chacune des parties à dispenser l’information que l’autre partie ne peut

contrat. L’idée est de laisser tout de même une large part à la liberté des futurs contractants et de ne pas sacrifier non plus la marge d’appréciation dont doit bénéficier le juge. Pour autant le périmètre de ces règles a été conçu largement traitant successivement de la négociation, de l’offre et de l’acceptation, des avant-contrats que sont la promesse unilatérale et le pacte de préférence, et de la date et du lieu de formation du contrat. Dans leur esprit, ces règles ont été articulées autour d’un triptyque