La Science Doit Elle Conduire Au Bonheur

Préface Kant y décline la philosophie ainsi qu'Aristote en 3 sciences : Physique, Ethique et Logique. Les deux premières sont matérielles, car elles se rapportent à un objet - la nature pour la Physique, la morale pour l'éthique. La logique est quant à elle purement formelle. Physique et Éthique ont chacune une partie empirique, c'est-à-dire s'appuyant sur les enseignements de l'expérience, tandis que la Logique ne saurait avoir de partie empirique. Toute philosophie non empirique est dite pure

nous souviendrons que le désir est considéré comme une force, une aspiration, une tension, l’essence de l’homme pour persévérer dans son être. Sartre disait que le sens du désir est le projet d’être Dieu et un autre auteur écrira que l’aspiration au bonheur absolu s’appelle désir. En quelques mots on se trouve plongé dans l’un des plus grands mystères de la vie humaine, un mystère mis en mots, mais bien difficile à expliquer et à comprendre. Il n’est donc pas surprenant que lorsque les pédagogues cherchent

Etymologiquement le bonheur veut dire bonne chance ? Le bonheur est-il affaire de chance ? Peut-on penser alors que le bonheur est entre les mains du hasard ou du destin ? L’Antiquité s’interroge déjà sur cette problématique. La pensée antique présente la morale –ce que l’on doit faire- comme la réalisation de notre nature. On parle d’éthique : art de conduire droitement sa vie en se conformant à la nature ou à Dieu. Pour les anciens, tous les êtres de la nature ont une sorte de devoir à accomplir

de la sagesse et du savoir. Elle apparaît comme un prétendant = amoureux qui convoite sa belle. Il entre en rivalité avec les autres Cette idée de rivalité a été inventé par les Grecques à l’époque d’athénes et a vu naître la démocratie et la science. Rapport entre l’évolution de la politique et la naissance de la philosophie. Qui choisir alors ? Avant Sophia= habilité + sagesse était dit sophos aux personnes qui étaient compétente dans un domaine. Au XI av JC ont voit une définition différente

paradis. Si on croit la vie sur terre comme phase de transition il reste toujours une part d’enchantement. Or aujourd’hui avec le développement des sciences et le développement d’un monde commerciale et matérialiste la religion est en recul dans le monde occidental qui devient donc désenchanté. B) L’avènement des sciences -Le développement des sciences (astrologie, physique, chimie, électricité,…) donnent des explications aux différents phénomènes naturels. L’idée que les hommes avaient de ces événements

principe de l'isonomie est un fondement préalable à un fonctionnement démocratique. On va demander des institutions impartiales. La revendication est le passage d'un droit naturel à un droit constitutionnel. Christhene va faire une réforme qui va conduire à la démocratie. Il va découper le territoire en une centaine de dèmes, on va réunir ces dèmes en dix tribus, et dans chaque tribu, on va élire 50 représentants au Conseil. On aura donc un Conseil de 500 membres qui va rédiger les décrets, et ces

Montesquieu, Diderot, Voltaire, Rousseau, est annoncée par Bayle et Fontenelle. C’est un combat des philosophes Européens. Les lumières ont leur figure, les philosophes sont les défenseurs de la liberté de penser, de la science et de la tolérance en France religieuse. leur idéal est le bonheur dans une société prospère et juste. En 1789, c’est la révolution française qui se réclame des lumières. Le 1er quotidien français est le journal de Paris qui voit le jour en 1777. La grande œuvre des lumières est

connaissance et la polis qu'il génère. Contre ceux donc qui doutent du pouvoir de la raison à trouver par elle même la vérité, Descartes doit établir la légitimité de ce pouvoir et définir en quoi la philosophie est capable de le faire. Quelle est son utilité, pour les sociétés d'abord et les individus ensuite et selon quelles idées de la civilisation et du bonheur ? L'enjeu du texte est donc bien la question de savoir si l'homme, grâce à la philosophie, peut penser le monde et sa vie par lui-même

savoir  que l’on est dans la caverne, dans l’opinion, pas de manque; même si on le sait pas nécessairement le souci du vrai, d’autres soucis ( vitaux justement) 3. on peut emprunter d’autres voies pour réfléchir : art, religion, spiritualité, science…  ( même si chacun a ses limites, son domaine de prédilection et son mode de penser bien particulier; tout homme qui s’étonne, s’interroge, cherche un sens, à comprendre n’est pas un philosophe!)¹ 4. on peut penser que philosopher est même nuisible

complémentaires : • la passion • l’inspiration • le travail La passion est une condition préalable à l’inspiration et celle-ci ne peut venir qu’après un travail acharné (mais il ne la garantit pas nécessairement). C) Une science en devenir La science demande de la part du savant un investissement comparable à celui de l’art mais, à la différence de ce dernier, elle est par nature inachevée en ce sens qu’elle est inséparable d’un progrès : toute oeuvre n’a d’utilité que si elle constitue