La Superstition Conséquence

Le hasard est la conséquence d'une absence de liens entre deux déterminismes donnés qui se rencontrent. C'est sur ce thème que Freud se penche au chapitre 12 de la Psychopathologie de la vie quotidienne. Il définit ici deux sortes de hasard, le hasard extérieur et le hasard psychique, en opposant sa vision de la chose à celle du superstitieux. L'un comme l'autre ne croient qu'à un seul de ces deux hasards, évidemment pas le même, éliminant donc l'existence du second. De cette manière le texte apporte

description de la psychologie des personnages. La description insiste de manière tout à fait décalée sur le déroulement harmonieux de la cérémonie .L'évocation de la prison à travers une périphrase élogieuse relève elle aussi de l'ironie. Le "en conséquence" analyse un lien de cause à effet qui n'a aucune raison d'exister. Ce n'est pas parce qu'on a décidé d'un autodafé qu'on doit trouver des coupables : normalement c'est l'inverse. Le connecteur temporel, "huit jours après" l.12, met en valeur une

de très légers progrès. I - Le recours à l'autodafé : l'absurdité de la décision 1. Une logique de l'absurde. Dans une longue phrase qui englobe tout le premier paragraphe, Voltaire dénonce la logique de l'absurde et montre que seule la superstition est le motif de l'autodafé. Dans la première partie de la phrase, des éléments hétérogènes sont placés dans une relation de causalité : "un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale", c'est "de donner au peuple un bel

allégorique qui fait parler la déesse de la Folie. Celle-ci critique violemment diverses professions et catégories sociales, surtout les théologiens et les membres du clergé. Œuvre satirique, la Folie y fait l’éloge (caustique bien sûr) de la superstition qui sévit en particulier au sein de l’Eglise catholique. Nombreuses références mythologiques, suivant la tradition des œuvres humanistes. ================================= Commentaire sur

histoires divertissantes servent à la vulgarisation des idées - Philosophique : un récit porte une morale et offre des armes aux combats des Lumières Ainsi Candide, dénonce l'optimisme passif, l'esclavage, la guerre, la torture, l'intolérance, la superstition, le fanatisme... • Candide et Pangloss, à Lisbonne, condamnés à l'Autodafé décidé par l'Inquisition (assemblée de prêtres, tribunal qui examinait si les gens avaient une pensée conforme à l'Église, les autres étaient considérés comme des hérétiques)

Article FANATISME     Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist de l'Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête, n'était qu'un enthousiaste; son

physiquement. Les superstitions et les peurs irrépressibles paralysent les facultés de jugement de l’homme qui se conduit alors de façon irraisonnable. La superstition n’a aucun fondement scientifique et dérègle la faculté d’appréciation des choses par un jugement erroné. L’expression « emportent la raison hors des gonds » réunie deux termes contradictoires puisque la raison se définit dans sa faculté d’analyse et de réflexion. L’antithèse permet de renforcer la puissance de la superstition et par-delà

trop de naïveté Cependant, malgré des conséquences aussi funestes soient elles, Diderot juge la superstition comme quelque chose de stupide, qu’il qualifie de « craintes imbéciles » (l.6) et qui ne peut avoir d’emprise que sur les « Esprits faibles et imbéciles » (l.6) Elle est rattaché aux termes préjugés et erreurs (l.13). Ces derniers sont en liens avec la gradation aux lignes 20 à 23 « il ne sera ni fanatique (…) de penser comme lui », les conséquences d’une croyance excessives y sont de plus

conteur : un texte narratif traditionnel Repères : voir les différents temps utilisés : Imparfait / passé-simple - Situation initiale (1er paragraphe) = imparfait => présentation - Péripéties (2ème paragraphe) = passé-simple + articulation "en conséquence" => on rentre dans l'action - Situation finale (3ème et 4ème paragraphes) = Imparfait => l'action s'immobilise 1. Situation initiale - Quand ? Après le tremblement de terre - Où ? Lisbonne - Qui ? "Les sages du pays", "l'université de Coïmbre"

valeurs * Paré veut amener la peur, et joue avec les superstitions * Stratégie de persuasion * Tutoiement (l.18-32) * Accentuer l’identification * Renforcer la peur, la culpabilité, la crainte * « Ire de Dieu »= colère de Dieu →connotation * Avertissement, menace Concl : Dieu fait naitre des monstres pour avertir les hommes. Dieu est un moyen de pression. Le monstre annonce un malheur. b. La conséquence d’une faute * La punition →CL de la menace et faute :