La Superstition Conséquence

ouvertement la critique d’une époque, d’une politique, d’une morale ou attaque certains personnages en s’en moquant.) de l’obscurantisme (attitude visant à s‘opposer à toute forme de progrès, en religion, plus précisément, expliquer des faits par des superstitions, et non sur la raison)? I) Un récit théâtralisé, ou l’autodafé comme spectacle rituel A) Un récit au tempo (rythme) alerte : - Un récit édulcoré (Édulcorer: faire perdre de sa vigueur ou de sa dureté) : Utilisation de l’euphémisme (« des

Voltaire passe en revue les sujets les plus divers et les plus polémiques: âme, beau, christianisme, Dieu, fanatisme, guerre, hommes, jésuites, juif, ignorance, inquisition, liberté, martyrs, miracles, philosophie, providence, religion, style, superstition, supplice, tolérance, tragédie. Au nom de la raison et de la tolérance, l'auteur dénonce la métaphysique d'école, l'absurdité des religions, l'historicité des livres saints, les abus politiques et sociaux, les erreurs judiciaires, et défend la

jeux pour les détourner de questions plus exigeantes. Cette expression crée immédiatement un rapprochement entre la cérémonie et un spectacle de cirque. II – La dénonciation de l’inquisition A – Dénonciation de la superstition Dans le chapitre 6, Voltaire dénonce la superstition religieuse en mettant en valeur l’absurdité de l’autodafé. ♦ Tout d’abord, l’idée même d’organiser un autodafé ne s’appuie sur aucun élément rationnel. « Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu (…)

Microsoft Word - Effets et causes de la superstition .docxEffets et causes de la superstition : l’explication sceptique de David Hume Dans un passage célèbre du Traité de la nature humaine, Hume (1711-1776) met en scène son hésitation de philosophe à poursuivre l’entreprise exigeante d’une meilleure compréhension des choses, au détriment de laquelle une pratique insouciante de la vie peut être préférable. Ne pourrions-nous simplement « vivre, parler et agir » ? Cela n’est pas possible pour

prévenir, infaillible. Accent mis sur caractère savant, réfléchi en apparence et garanti du remède envisagé. Annonce des caractéristiques de la cérémonie prévue : spectacle, grande cérémonie. B. La cérémonie Liaison logique : en conséquence souligne passage à l’application de la décision ; souligne le caractère nécessaire du choix des victimes ; Victimes présentées par le biais de la faute commise : raisons religieuses pour les deux premiers, cause absurde pour C et P mais présentée

marquant se voit ds la notation temporelle excessivement précise, après la date de naissance, l5 « A trois ans, cinq mois et dix jours » Changement irréversible alors que l’accident bête paraît anodin : « à part une clavicule cassée » mais lourd de conséquences, « plus jamais marché ». Valeur de l’adverbe « jamais » comme une fatalité. L50sq « le courant était coupé », métaphore électrique comme pour expliquer avec des mots simples, comme des mots d’enfant. Explication médicale et séparation du corps

l'inquisition. Le chapitre raconte avec une tonalité ironique une cérémonie, un autodafé dont Candide et Pangloss sont les involontaires victimes. Nous comprenons vite les objectifs de Voltaire qui sont la lutte contre l'intolérance, la dénonciation de la superstition et la dénonciation de l'optimisme. Un autodafé est une cérémonie ou l'on brûlait les hérétiques qui ne sont pas dans l'orthodoxie hérétique. L'inquisition est un tribunal religieux ou l'on proclamait les autodafés. Partie sur l'ironie :p

rapide des faits ( de la prison à la procession sans passer par le prétoire ) qui s’autorise l’ellipse ( les 8 jours passés en prison ). II. L’infamie de la tyrannie inquisitoriale : Les objectifs de la dénonciation : le fanatisme religieux, la superstition et l’intolérance. 1. Le mécanisme de l’inquisition : a) Un pouvoir anonyme, omnipotent et incompétent : Le « on », ellipse systématique des compléments d’agent ; forme et voix passives ; un monde muet et déshumanisé. Recherche forcenée de pécheurs

du sens se trouve-t-elle au cœur de la religion ? I] LE FONDEMENT PASSIONNEL DE LA RELIGION. 1) religion et superstition. - explication du texte de Spinoza. « Si les hommes avaient le pouvoir d’organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile qu’ils ne savent plus quelle résolution prendre ; en outre

allons donc voir en quoi il est impossible d’associer croyance et savoir, puis en quoi les croyances ne sont pas forcément synonymes d’ignorance, et enfin nous pourrons constater que malgré un apprentissage pour dissiper les fausses croyances et superstitions, le rôle et la conviction du croyant jouent un rôle majeur. Les Hommes ont tendance à accorder plus facilement leur confiance à une démonstration rationnelle (par la science par exemple), qu’à des explications religieuses données préalablement