La Théocratie Pontificale

référence au charisme d'un homme et à la théocratie (gouvernement des hommes par Dieu) → la restauration de la Res Publica, de la romanité B) Le pouvoir impérial, ses fondements : théocratie et romanité. Les rouages du gouvernement : le palais, l'administration locale (les comtes). L'Europe est fondée sur une monarchie de base religieuse. C'est aussi une royauté qui réalise une théocratie, résultant d'un rite : le sacre du roi d'une part, la théocratie politique d'autre part. Le sacre, mené

réhabiliter comme chrétien. Parallèlement, le pape va s’immiscer dans la politique impériale et dans la vie privée des empereurs. Il agite régulièrement la menace de l’excommunication. Ce sont les débuts de la suprématie du pape : c’est la théocratie pontificale. Les rois sont incapables d’assurer la protection des populations et vont laisser les comtes et les propriétaires assurer la défense locale. On assiste alors à la construction de châteaux avec la permission royale. Un capitulaire de 864 rappelle

à Charlemagne qui est ainsi le seul souverain carolingien. Il n’aura qu’un fils : Louis. C’est plus simple, ce qui va permettre de pérenniser son œuvre. Il va étendre son territoire à l’Italie, d’abord le nord, puis le sud, le milieu, les Etats pontificaux que Charlemagne va défendre afin d’obtenir de l’influence dans ses régions, ainsi qu’avec les lombards. Charlemagne va aider le Pape qui possède des Etats centraux dans l’Italie et qui se sentent menacés. Charlemagne accroît son influence jusqu’en

être les conseillers de la nouvelle dynastie. C'est la capitale politique et religieuse ce qui augmente encore la légitimité. Il y a une dimension diplomatique très importante qui précise à ce second sacre: le Pape avait été chassé des Etats pontificaux par les Lombards en 753 et trouve refuge en France, accepté par le nouveau pouvoir en place. Le déroulement n'est cependant pas identique, il fait en effet sacrer en même temps ses fils afin de leur donner une légitimité et de résoudre le problème

Bref L’hérédité qui faisait le roi, on est fils de roi, à son tour, on devient père de roi. Il permet la mise en place de différentes dynasties. Pépin le Bref n’est pas le fils d’un roi, élu par les grands en prenant prétexte d’une consultation pontifical. Le risque est qu’on ne le reconnaît pas comme roi. Une autre source du pouvoir, « le sacre ». Le sacre confère une légitimité religieuse au roi de France. Alliance avec L’Eglise Définitions Le baptême * Entrée d’un individu dans le monde

évèque de Rome. 3 / Quel est le sort des gouvernants avec les Didactus Papae ? Ils sont subordonnés au pape, avant l’empereur nommait le pape et les évèques. Ceci entraine des tensions entre l’empereur et le pape car Le pape cherche à créer une THEOCRATIE PONTIFICALE. - Au niveau politique, le pape est placé au-dessus de tous les souverains et sacre l’Empereur du Saint-Empire (Alle magne actuelle) alors que les évêques couronnent les rois (en France, les rois sont sacrés par l’évêque de Reims). -Au plan

l’Église et des sujets, la fonction religieuse du Roi dont la lutte contre l'hérésie et la paganisme Dans les lignées de ce ministère royal il faut souligner l'intervention de l'Empereur dans la vie de l’Église, pouvoir carolingiens était une sorte de théocratie L'Empereur intervient directement dans les questions de liturgie, de Il convoque de sa propre autorité des conciles des rassemblements, réunions qui règlent les questions qui se posent à l’Église Promotion de l'enseignement notamment avec la création

plus fort et pour ça, ils ont le souhait de restaurer la puissance romaine. Pour atteindre ce but, ils entretiennent avec l'Eglise une collaboration étroite et cette collaboration est ci importante qu'elle veut engendrer une doctrine politique, la Théocratie. Les Carolingiens espèrent restaurer l'empire romain mais cette réforme demeure purement politique et ne parvient pas a transformer radicalement les choses sur le plan économique ou encore sur l'organisation sociale du royaume de sorte que les

terrestre et la cité céleste. C’est la cité céleste qui compte pour les hommes. La primauté pontificale bénéficie de l’appui de l’empereur romain et des rois francs qui se convertissent au christianisme. Clovis accède au pouvoir en 481 et est baptisé en 498. Les conciles sont très nombreux et le pape va limité leur nombre et leur influence. Le pape Gélase (492-496) proclame que le pouvoir pontifical doit coopérer avec le pouvoir étatique en relevant que le pouvoir du Pape est supérieur à celui

occidentaux et orthodoxes-slaves ou grecs –orientaux (partage de l’Empire romain de 395 et schisme de 1054, mais surtout, selon Pascal Buresi, croisade de 1204 lorsque les chevaliers occidentaux pillent Constantinople, qui opposent définitivement la théocratie pontificale et les « patriarchats » d’Orient. Les alphabets grecs et cyrilliques marquent les lignes de démarcation. Dans le monde arabo-musulman et turc, la domination sunnite est grande, mais de fortes minorités chiites existent en Syrie, Jordanie,