La Vanité Humaine

démarche s’est inspirée de celle de Montaigne. Ce dernier défendait en effet la « Théologie naturelle » de Raymond Sebond en montrant « l’inanité, la vanité et la dénéantise de l‘homme » à ceux qui la critiquent. Pascal l’imitera, bien que ce soit dans un tout autre esprit, celui de démontrer et convertir. Pour cela, il analyse tout d’abord l’âme humaine, en montrant la double nature de l’homme, à la fois positive et négative, grande et infime. C’est pourquoi Dieu est relativement absent : son existence

d’une vitalité débordante, que manifeste son solide appétit, trait de caractère constitutif du personnage. Pureté et sensualité s’opposent à l’univers des maîtres où règnent la corruption et le caprice vite assouvi. II- ÉTAT DE NATURE ET NATURE HUMAINE Le pari des libertins Paradoxalement, les maîtres ne pourront acquérir ce naturel qui les attire qu’en le dégradant. La possession de Silvia pour le Prince et d’Arlequin pour Flaminia est l’enjeu d’un véritable pari, qui ranime ces coeurs blasés

pris des choses résume bien toute l’entreprise de Ponge: s’ouvrir aux objets même les plus banal s (la pomme de terre, le cageot) avec une attention entière et attendrie. Prendre le parti pris des choses, c’est en effet abandonner la subjectivité humaine, “céder l’initiative aux choses”, aider les objets à “s’exprimer”. Puisque le réel se dérobe aux mots qui veulent le traduire, Ponge donne aux objets une nouvelle définition pour “relever le défi des choses au langage”. La mise en rapport de l’objet

Par sa libre présence, est un homme de désir au sens du désir de créer. L’initiation, et c’est bien là le sens de notre présence, est un combat contre une cohorte d’ennemis formée du matérialisme, de la compromission et de toutes les faiblesses humaines, cela va certainement bien au-delà de toute notion de travail. Nous frappons à la porte du temple, plein d’énergie et d’espoir, nous sommes reconnus par nos FF :. apte a prendre le chemin en qualité de F :. Capable de faire fructifier notre potentiel

l’assistance à l’accepter. 2- Thème des vanités Bossuet examine la condition misérable de l’homme sans Dieu. Divertissement : « néant » X « coups de surprise ». Légèreté mondaine = volonté pédagogique de Bossuet (lexique de l’instruction). Faiblesse de l’homme : cœurs « enchantés » c.à.d. trompés, s’abaissent à « l’amour du monde » (biens, puissance, savoir…) et non à Dieu = mauvais destinataire. Véritable dévotion X mondanité. Lexique de la vanité : « en vain » (x3) au §2 : gradation inversée

politique radical. Honni, calomnié, le jeune homme voit sa tête mise à prix et s'offre lui-même au couteau de ses assassins. Il se trouve du même coup renvoyé aux oubliettes de l'histoire et à la vanité désespérante de l'action politique. Cette réflexion amère et cruelle sur la vanité de toute action humaine est une transposition limpide des sentiments de l'auteur sur la révolution ratée de Juillet 1830. Figure emblématique de l'imaginaire musicien, Lorenzaccio, prisonnier du masque de vice par lequel

métaphore à plusieurs analyses : d'abord à une critique politique et sociale des fausses grandeurs, ensuite à une observation morale de la condition humaine fuyant dans le divertissement. Enfin, tout homme est un " roi dépossédé " pour Pascal (..) I) Le Roi : objet de critique A. Pascal critique la royauté et non un roi précis B. Le roi est un exemple de vanité C. Une critique raisonnée de l'opinion du peuple II) "Un Roi sans divertissement est un homme plein de misères" A. Le roi est l'exemple

flatterie Le renard : la ruse, conforme à la tradition du Roman de Renart. L’ours : maladresse, lourdeur 2. Parallélisme entre monde animal et monde humain Les animaux st personnifiés : Sentiments et comportements humains : étalait sa puissance (12), cette mine (17), déplut (18), irrité (18), faire le dégoûté (19), etc. Physique humain : sa narine (16), faire cette mine (17), un grand rhume (31) Vocabulaire de la monarchie : vassaux (4), une circulaire écriture / Avec son sceau (6-7)

non aux autres. Rousseau aborde la théorie de l’aliénation: selon lui, l’influence et la dépendance aux autres du sujet menacent son existence. Car l’intérêt que le sujet porte aux jugements des autres, fragilise son propre être. Les vices comme la vanité ou l'orgueil, corrompent son âme. Il n’en tient qu’à la volonté du sujet, s’il le désire, de s’épanouir dans une vie bonne. Le sujet seul est capable de se révéler à lui-même. La connaissance de soi est accessible à tout sujet volontaire; et il ne

d'observer dans la généralité les rapports sociaux et les travestissements du langage. La Bruyère propose un ensemble de réflexions sur la conduite à adopter en société pour être un parfait honnête homme. Il faut selon lui, s’adapter à la nature humaine imparfaite et faire preuve de modération. La conversation est au cœur des pratiques de la cour. L’honnête homme doit savoir manier le langage sans paraître pétant. La Bruyère condamne ceux qui se servent du langage comme d’une arme pour écraser les