La Vengeance Peut Elle être Juste

origine antérieure à 1780. Il nous est par exemple arrivé d’entendre dire que le Rite Français existait déjà vers 1760. Ce genre d’affirmations résulte d’une confusion sur ce que l’on entend par ‘‘Rite Français’’. La seule définition précise qu’on peut donner de ce Rite est celle que nous avons donnée au début de la présente note, et elle situe son origine historique dans les années 1780, pas avant. Bien entendu, lorsqu’il fut mis au point dans ces années-là, ce Rite ne fut pas une création ex nihilo

réconciliation qui en résulte. Le pardon n’enlève pas le caractère blâmable de l’offense, c’est pourquoi pardonner lorsqu’on a eu trop mal peut parfois être humainement impossible. Parce qu’aucune relation d’amour n’est exempte de blessures, La Rochefoucauld écrivait « on pardonne tant qu’on aime ». Le pardon est une action plus noble et plus exceptionnelle que la vengeance. Car se venger d’une offense, c’est se mettre au niveau de l’offenseur, alors que pardonner, c’est se mettre au-dessus de lui.

------------------------------------------------- Montaigne, Les Essais, « Des Cannibales » Intro : * Pour commencer, on peut introduire le sujet en rappelant la découverte de l’Amérique en 1492. Celle-ci va révolutionner la vision du monde, notamment pour la place et la nature de l’indigène, jusque-là inconnu. Deux attitudes différentes se développent : - celle de la colonisation et de l’esclavage de ces peuples - la recherche de compréhension de leurs coutumes * Michel de Montaigne

la dépouille des défunts, tient au fait que sa décision conduit à un dérèglement du principe même de la loi, i.e. à une confusion jetée sur les frontières du licite et de l’illicite. Loin que le corps des lois serve à circonscrire les contours du juste et du bien, l’autorisation d’outrager le cadavre pousse l’injustice à son paroxysme : le tyran représente ce désir de pouvoir absolu qui porte le mépris des règles jusqu’à faire de l’arbitraire de ses décrets l’expression de la légitimité et de l’universalité

dimension didactique de cette fable. Pour qu'un apologue joue pleinement son rôle il faut qu'il soit bien structuré et plaisant à lire. Le récit est placé dans un cadre spatial intemporel, il n'y a aucune date précise dans le champ lexical du temps, juste des mots tels que « un jour », « à quelque temps de là », « à l'heure dite » mais le tout reste très imprécis ce qui permet de le situer à n'importe quelle époque. La Fontaine fait en sorte que le lecteur ne s'ennuie pas il fait donc se croiser plusieurs

survivre à ce combat ? Le gladiateur ne peut se permettre le luxe d’un dilemme moral au moment d’un duel a mort. La solidarité émerge toute fois entre les apprentis gladiateurs qui se soude contre l’autorité violente de Marcelus. Marcelus fait l’unanimité par la crainte qu’il inspire et la violence qu’il exerce pour se faire obéir. Pendant cette scène Spartacus, est attentionné contrairement a d’habitude. Il est prêt à faire tac tac. L’attention semble être l’ouverture a un autre tout en prenant

d'un mal moindre (plus petit) qu'un autre mal, plus grand? Alors le plus petit paraît préférable à celui qui est plus grand. Mais vous devez problématiser cette évidence de l'opinion qui ne pense pas: - Le mal peut-il être un bien? - Peut-on vouloir le mal La Raison d'état peut-elle tout justifier? (on appelle Raison d'état des considérations d'intérêt politique que l'on invoque pour justifier une décision qui contredit la morale, ce qui est bien pratique pour le politique: autrement c'est

constamment en contact avec des Homme, mais elle est repoussée, détestée pour son aspect horrible et effrayant. Cependant, la créature a tout fait pour pouvoir s’intégrer dans la société, elle a appris à parler en observant une famille donc on ne peut pas dire que la créature n’a fait aucun effort . Malheureusement là où il avait trouvé le réconfort d’un homme M. Lacet un aveugle, ce fut une courte amitié car au bout de quelque temps, le monstre se trouve chassé par le reste de la famille

Dantès perce le secret du trésor dont l'Abbé Faria lui avait si souvent parlé. C'est c'est grâce à cet argent qu'il parvient à assouvir son désir vengeur. On observe une véritable évolution du personnage au fil du roman : Au début du roman, c'est un être positif sous tous les rapports : Il est sympathique, intelligent, respectueux des traditions et tout lui réussit. Il est généreux et bon, et sait apprécier les gens, même ceux qui jalouse sa chance. Il est naïf et innocent, ce qui fait de lui un personnage

rien qui doive être repris. Sans leur aide, il ne peut entrer dans les esprits Que tout mal et toute injustice : Faute d'y recourir, on viole leurs lois. Témoin nous, que punit la Romaine avarice : Rome est par nos forfaits, plus que par ses exploits, L'instrument de notre supplice. Craignez, Romains, craignez que le Ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et mettant en nos mains par un juste retour Les armes dont se sert sa vengeance sévère, Il ne