Lannée 1789

Voici les dix-sept articles de la DDHC Article premier : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. Article II : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. Article III : Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation.

des droits de l’homme est discutée depuis l’antiquité (Platon). Cette question arrive dans des textes de loi à partir de la révolution en France. L’assemblée nationale française décide de rédiger une déclaration promulguée par le roi le 3 novembre 1789. Cette déclaration comprend les droits de l’Homme civiques et politiques. La déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen comprend 17 articles. Elle est la base de la déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948. Plusieurs

caractérise par une relative instabilité constitutionnelle puisqu’elle a changé plusieurs fois de régimes politiques mais aussi de Constitution depuis la fin du 18ème siècle et la Révolution française. On dénombre 13 Constitutions différentes à partir de 1789 jusqu’à 1875 sans parler des périodes où il n’existait aucun texte. Mais, comme le font remarquer les auteurs, il faut relativiser ce nombre, les régimes changeant mais pas les hommes. « Ce phénomène se retrouve d’ailleurs au 20ème siècle où certains

vertu de l’article 24 la loi est votée par le Parlement, les deux assemblées ne sont toujours pas placées sur un pied d’égalité, le dernier mot pouvant être donné à l’Assemblée. D’autre part, la cinquième République a rompu avec la conception de 1789. La loi ne peut plus intervenir que dans des domaines limités par l’article 34 de la Constitution, les autres matières relevant du pouvoir règlementaire du gouvernement. La loi se définit donc aussi par son contenu. De plus, la loi n’est plus intouchable

TITRE 2 : LA PROPRIETE Art. 544 à 577 CC Ce droit de propriété est le droit réel par excellence puisque c’est lui qui confère à son titulaire le pouvoir le plus absolu sur la chose. Art 544 CC : « la propriété est le droit de jouir et de disposer d’une chose, de la manière la plus absolue, pourvu que l’on n’en fasse pas un usage prohibé par les lois et les règlements » Introduction générale 1. La valeur du droit de propriété (rappel historique) Si l’on peut considérer que la propriété

de l’UE) III – les citoyens vivent dans une république Introduction : En France les deux notions de république et démocratie sont liées par l’histoire. A ) 5 républiques : On compte cinq républiques dans l’histoire de France : 1782 - 1789 : I 1848 1852 : II 1875 – 1940 : III 1946 – 1959 : IV 1959 - ? : V Constitution : texte de loi qui organise les pouvoirs

entre la liberté contractuelle et la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui a, il faut le rappeler, valeur constitutionnelle depuis une décision du Conseil Constitutionnel dite liberté d’association, datée du 16 juillet 1971. A cette occasion, l’organe constitutionnel évoque la « liberté contractuelle qui découle de l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ». Il réemploie cette même formulation dans une décision du 30 novembre 2006 relative à

qu'une constitution si ancienne s'applique à un pays si moderne, elle s'applique telle qu'elle est interprétée par la cour suprême. C'est en ce sens qu'elle est vivante. On doit interpréter la constitution à la lumière d'aujourd'hui. Ex : DDHC de 1789, en 1789 les stés anonymes par action n'existaient pas, et pourtant on a appliqué l'art 17 de la DDHC aux stés anonymes qui protègent la propriété en france, on interprète un texte ancien à la lumière d'aujourdh'ui. C'est le droit vivant, par l'intermédiaire

montre un certain rejet de la notion de ''libertés publiques. En effet, lorsqu'on utilise l'expression ''droits de l'homme'', on pense à l'individu, à ses droits. Lorsqu'on parle de ''libertés fondamentales'', on parle d'un concept ouvert. La DDHC 1789 : la liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. La liberté c'est faire ce que l'on veut à condition que ça ne nuit pas à autrui et qu'on ne fasse pas ce que l'on ne veut pas qu'on nous fit. Derrière le choix de l'intitulé, il y a une

puissance et que les autres pouvoirs lui sont subordonnés. Outre cette caractéristique indéniable, le problème est de savoir quelle autorité est la détentrice de ce pouvoir. En effet l'article 3 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 préconise le fait que « Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément ». Le combat idéologique s'ouvre alors, entre la doctrine de la souveraineté