Le Banquet Platon

I) AIMER C’EST CHERCHER A COMBLER UN MANQUE Aimer semble inhérent à l’homme. Il est nécessairement porté à aimer ou à ne pas aimer les choses et les êtres qui l’entourent. L’homme ne se suffit donc pas à lui-même .Platon recourt à un mythe raconté par Aristophane dans le Banquet pour expliquer cette sensation de manque qui conduit l’homme à chercher éperdument sa moitié. A l’origine, il y avait sur terre des créatures sphériques qui avaient deux sexes et roulaient dans une plénitude parfaite

le « vous » est détaché en début de phrase pour insister sur lui ). Voici un lecteur complice de l’auteur. L’allusion suivante aux philosophes grecs Platon , Alcibiade et Socrate dénote cette fois une culture importante , antique . Socrate , « le prince des philosophes » , en est la figure emblématique . Rabelais se réfère au Banquet de Platon , allusion indirecte à la bonne chère qu’il défend. Socrate est donc semblable aux silènes … II. L’ANALOGIE DES S ILENES Ces petites

qui fait apostrophe comique et élogieuse.-Elitisme risible : « c’est à vous et non à d’autres » (l2).-Silène introduite avec réf très sérieuses = témoigne culture humaniste de R, « le banquet de Platon et Alcibiade de Socrate ». Œuvre registre sérieux, R se montre pédagogue.-Rappel buveurs apostrophe avec le mot banquet, va annoncer les propos « biens ivres » du chapitre 5. -Socrate présenté manière surprenante, il est comparé à Silène (à objet) alors que R le distingue par périphrase élogieuse « le

Problématique : En quoi la religion et la culture grec sont elles au cœur de la vie de la cité Athénienne ? I- La religion : un facteur d'unité de la cité. . Cité grec = propre dieux Grecs = polythéistes = bcp de fêtes = sacrifices et banquets Déesse protectrice d’Athènes = Athéna = fêtes en son honneur . Fête des panathénées = Pour Athéna = destinée = habitants de la cité II- Rayonnement culturel exceptionnel. . Jeux olympiques = épreuves de force et d'endurance = trêve sacré

d'appeler les « dialogues socratiques », c'est-à-dire les dialogues où Platon met en scène Socrate dialoguant avec les Athéniens, on remarque que ce qui en fait la trame constante est la discussion presque sans fin, souvent aporétique (c'est-à-dire sans issue), dans laquelle Socrate s'engage avec ses interlocuteurs au sujet de telle ou telle notion. Dans l'Alcibiade il s'agit de savoir ce qu'est la beauté, comme d'ailleurs dans le Banquet on discutera de l'amour. Ce qui frappe dans ces « dialogues socratiques

l'impulsion du désir, elle court là où se figure-t-elle, elle pourra voir celui qui possède la beauté. Quand elle l'a aperçu […] elle dégage les issues naguère obstruées » (251e). Cette ambiguïté de l'amour fait qu'il est tout sauf tranquille. Le Banquet explicite cette fièvre amoureuse qui ne laisse jamais en repos. « Fils d'Expédient et de Pauvreté, toujours il est pauvre et il s'en faut de beaucoup qu'il soit délicat et beau comme la plupart des gens l'imaginent ; mais bien plutôt il est rude,

vérolés . *La métaphore la plus insistante est celle du livre à boire. Rabelais invite le lecteur à boire le livre et à forme avec son auteur une communauté du buveur. (fin du prologue) * L’image du banquet philosophique de Platon est revue et corrigée par Rabelais . C’est une oaridue de banquet . Lrs convives , les « disciples » de Rabelais sont ceux qui hantent les tevernes : vérolés et « autres fous désoeuvrés » * Livre à bpore est une métaphore de la soif de connaissance qui marque les débuts

la vérité de l'homme de théâtre peut-elle jamais être nue ? Le drame, ici, est à quatre personnages : le poète, l'ami, la maîtresse et, en retrait, le poète rival. Les sonnets les plus ardents sont ceux, voisins dans leur vision du Phèdre ou du Banquet, où Shakespeare chante son amour de l'ami. Pierre Jean Jouve veut voir dans le vingtième un témoignage d'homosexualité. On y lira plutôt la frustration, qui viendrait de ce que par malheur l'objet aimé n'appartient pas au sexe dont on peut jouir ;

cause une bonne partie de notre éducation fondée par une morale, définie par l’Homme lui-même. Cet effort pourrait même peut être aboutir à la découverte d’une Verité qui transformerait notre perception, jusque là faussée, de notre environnement. Platon, philosophe grecque (420- 340 av. JC), illustre la conscience comme une caverne dans laquelle les définitions, les sens et la religion, empêchent les Hommes d’accéder à la vérité. Au fond de la caverne, des hommes sont enchaînés par la perception

(thème) - au moins 100 sonnets dans Les Fleurs du Mal - provient de l'Italie, importé en France au XVIème siècle, 2 quatrains et 2 tercets, rimes, forme et thème traditionnels. - Baudelaire nous ramène en - 400 avec Platon et une conception de l'amour (néo) platonicien [le banquet] 1er mot "nous" emploi des pronoms et des possessifs de la première personne. Présence du double :"nos deux cœurs", "réfléchiront leurs doubles lumières", "miroirs jumeaux". - l'objectif est l'unique (v