Le Beau Artistique Hegel

C’est donc l’ensemble des choses et des faits réels, tel qu’on voit d’habitude; Mais c’est aussi l'ensemble des choses qui existent dans le monde extérieur . * Cependant, on distingue l’Art et la technique ; L’art est la représentation artistique établie par l’artiste même ; il peut reproduire un tableau qui est, jugé souvent innutile aux yeux « du commun des mortels » Pourtant l’artiste produit afin de se réaliser, car l’art est moyen d’expression qui n’a pas pour but premier d’être rémunéré

truquer la nature en l’embellissant ou en la caricaturant à son insu. En fait la beauté essentielle d’un spectacle naturel n’est pas suffisante : un bel objet ne garantit pas la réussite d’un tableau. Inversement la laideur a pu constituer un sujet artistique. Prenons pour exemple Germinal de Zola, comme la révolte des femmes de mineurs qui brandissent les horribles restes de l’épicier qu’elles viennent de castrer par vengeance et en signe de libération. Ce divorce entre les deux ordres de beauté s’est

Effectivement, nos pensées sont intériorisées puis présentées sous forme de phrases. L'art, de même, commence par la pensée, qui va contredire le langage et se présenter sous forme de travail à l'aide d'outils. Comme l'a dit Georg Wilhelm Friedrich Hegel, la communication permet de générer des pensées intérieures. De même, dans de nombreux cas, les œuvres d'art peuvent véhiculer des idées, des concepts ou des faits historiques. Prenons l'exemple de Guernica de Pablo Picasso, qui dénonce les horreurs

conséquent contenir le "mot de la fin". Elle doit ainsi redéfinir le principal intérêt du texte et préciser de manière concise les acquis apportés par l'analyse (ce que l'étude du texte a permis de mettre en lumière). Ce texte de Hegel porte sur la conscience de soi. D’après Hegel, l’homme dispose de différents moyens pour prendre conscience de lui. Mais cela suffit-il à l’homme pour se connaître lui-même ?  Ilcommence l'exposé de sa thèse par l'idée que l'homme acquiert une conscience de deux manières

juger une œuvre belle. L’idée du Beau est souvent subjective, c'est-à-dire qu’elle varie de sujet en sujet dépendant des gouts de chacun. Mais comment définir le beau ? Pour Platon, le beau est rattaché à l’idée du vrai : être beau, c’est alors se rapprocher d’un idéal, c’est être ce qui doit être, ce qui assimile la beauté à la perfection esthétique. Hegel, lui, affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique : le beau artistique est au-dessus de la nature parce

(universels) a priori à des objets singuliers. Le jugement réflechissant (ex : « c’est beau ») ne peut au contraire présupposer l’universalité. Le beau est désintéressé (l’utilité et l’agréable n’y prennent pas part) ; il plaît universellement sans concept (universalité subjective) ; enfin, c’est une finalité sans fin (il témoigne d’un ordre, d’un plan, mais ne vise rien au-delà de lui-même) 3) La science de l’art : Hegel reproche à Kant d’avoir conservé un point de vue subjectif sur l’art. Or, une science

« arts mécaniques » qui visent l’utile et les « arts libéraux » arts des hommes libres. 1) Peut-on définir le beau ? A) La finalité sans fin de l’œuvre d’art. La finalité première de l’œuvre d’art est la production d’un sentiment esthétique qui touche mes cinq sens et ma sensibilité. La première fonction de l’art est évidemment de produire de la beauté, puisque c’est sa définition. Le beau renvoie à la valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. La beauté est une finalité sans fin, car elle

nous permet de dire que c'en est une malgré la diversités des goûts. Mais cette perspective à des limites , car si en effet c'est la beauté qui devait définir une œuvre d'art alors on serai assez rapidement contraint de refuser certaines production artistique qui ne font pas du tout la beauté un critère pour définir l’œuvre d'art tel que les œuvres de l'art contemporain.De plus on peut aussi se demander si c'est vraiment la beauté de l’œuvre d'art qui me fait aimer cette œuvre ou si c'est d'autres

art vient du latin « ars » lui-même dérivé du mot grec « technê », qui signifie à la fois la technique (l’art de …), la création artistique ou même dans son sens le plus poussé, la recherche du beau (l’art pour l’art …). On notera d’ailleurs les liens étroits qui unissent le beau et l’art, lien visible quand on observe une œuvre d’art, car on utilise son jugement du beau pour déterminer de la qualité de l’œuvre. L’art, création de l’artisan, c’est-à-dire celui qui maîtrise l’art, ou de l’artiste,

souvent une personne qui a évolué dans un milieu sociale favorable ou il avait comme instrument la culture, puis des privilèges économiques, sociales. Du point de vue du spectateur, celui doit avoir une certaine éducation esthétique, une culture artistique pour comprendre les oeuvres d'art à qui il donne de l'importance. L'élite, est donc un milieu favorable à l'émergence du talent. Objections : => Toutes les cultures, civilisations depuis préhistoire des oeuvres, representations esthetiques. l'art