Le Citoyen Hobbes

civile en vigueur. Et cette justice positive et légale apparait également ici comme la plus légitime dans la mesure où elle nous met précisément à l’abri d’une vie sociale où règnent la vengeance personnelle, la violence et donc l’injustice. Ainsi Hobbes dans son Léviathan, explique les hommes placés dans un hypothétique état de nature sont de véritables « loups » les uns à l’égard des autres, de sorte qu’ils cherchent constamment à se dominer les uns les autres, instaurant par là même une « guerre

de ses enfants) et nos penchants (la paresse et le goût pour l’aventure peuvent en faire partie). C’est une contradiction qui peut être précisée avec les oppositions suivantes : « entre la nature et les institutions sociales, entre l’homme et le citoyen », l’opposition fondamentale réside donc dans la distinction état de nature/Etat civil. Cette dualité, quand elle habite l’homme, est la cause de ses tourments. Ce qu’en déduit l’auteur semble alors d’une logique imparable : « rendez l’homme un vous

choisir entre assurer la sécurité ou la justice au sein de son peuple, mais de faire en sorte, que les deux y règnent équitablement. En effet, l’État travail pour instaurer des codes et règles, qui permettent sécurité en même temps que justice aux citoyens. Mais la justice répond t-elle de la sécurité? Et l’État est-il un outil en vue d'une réglementation de la vie et des libertés civiles? Au sens strictement politique, l’État est le représentant légitime d'un groupe d'individus, qui se rassemblent

du pouvoir disent que ce n’est pas une création divine, elle vise à expliquer que le pouvoir po résulte de la volonté fondatrice des hommes. Moment de rupture avec de enjeux important. Les grand théologiens sont jean jacques Rousseau, John Locke et Hobbes Thomas. Ils ont le mm point de départ qui est que les hommes vivaient dans l’état de nature détenaient des droit naturels avant la fondation de la société po. Ces droits naturels sont la liberté, l’égalité. Ces droits sont attachés à un être humain

critique la conception monarchique, traditionnelle et personnelle. Il cherche à défendre l’idée neuve de vie publique et de participation active des citoyens et de l’opinion publique à la chose publique. Si toute Souveraineté politique vient d’un pacte, elle vient du Peuple. Il est donc nécessaire qu’il y ait consentement éclairé et actif de tous les citoyens aux questions politiques, c’est-à-dire liberté de pensée, instruction, presse, partis. Le « Sapere aude » vaut aussi en matière politique. Reste

En somme, c'est l'Etat à qui on doit beaucoup et qui nous doit et non, les citoyens qui lui devraient : ils ne lui doivent qu'obéissance. L'enjeu de ce sujet est de penser le rapport du citoyen à l'Etat selon deux angles: d'un côté doit-on tout attendre de l'Etat, jusqu'où doivent aller nos attentes? Et d'un autre côté, ne doit-on à l'Etat qu'obéissance, puisque on a tendance à distinguer voire opposer Etat et citoyens, Etat et société civile? Cette séparation entre l'Etat et nous ( le peuple)

principe moral qui exige le respect du droit 3) une vertu consistant à respecter les droits d'autrui.Ici il s'agit de principe moral. B - L'EGALITE Il s'agit du principe selon lequel les mêmes lois s'appliquent à tous de la même manière. C - LE CITOYEN Le citoyen est le sujet membre de la communauté politique défini par le libre exercice de ses droits civiques et politiques et par l'égalité devant la loi. II - L'ANALYSE DU PROBLEME L'idée centrale du texte : la justice qui a pour fondement l'égalité

Il y a confrontation des désirs. L’objet va devenir non seulement le lieu de la mimésis des désirs, mais aussi le lieu de la concurrence et de la rivalité. Le médiateur n’est donc plus un modèle, mais un modèle-obstacle, un modèle rival. Thomas Hobbes dans le Léviathan rapporte le même constat que fait plus tard Girard : « si deux hommes désirent la même chose alors qu’il n’est pas possible qu’ils en jouissent tous les deux, ils deviennent ennemis ». L’importance du choix de médiation entre

peur. Ceci motivera notre réflexion : si la société dérive de la crainte, peut-elle être autre chose qu’un rassemblement des égoïsmes ? Alain soutient que l’homme est « citoyen par nature » mais n’est-ce pas notre nature qui nous pousse à nous menacer ? ©HATIER 1. De l’économique au politique (« On serait tenté » jusqu’à « citoyen par nature ») A. L’Économique Le premier paragraphe introduit le motif essentiel du texte. Quelle est la cause déterminante de l’organisation sociale ? Une première possibilité

de tout concept écrit. Droits fondamentaux universels. Charte des droit et libertés de la personne • Droit civil : droit octroyé à tout citoyen. Il régit les personnes, la famille, les successions, la propriété, les obligations et les suretés. • Droit civique (ou politique) : règles qui régissent les relations entre le citoyen et l’État
 Ex. : droit de vote • Droit d’auteur : patrimonial (l’argent) ou extrapatrimonial (l’intégrité de l’œuvre) • Droit divin :