Le Cogito Cartesien

continuer la recherche ( Besoin d’une idée vague,flou de l’objet recherché -Le cogito • plus de certitude qu’on ne le croit • conditions de connaissance de toute connaissance en général ( conversion de certitude subjective en vérité objective général = rôle d’un sésame B) la connaissance de soi comme conscience de son existence : la rencontre du premier principe de la connaissance -cogito premier principe de la connaissance • ds l’ordre de la découverte : cest mon existence

Lire par exemple (en) The definition of a Dissertation. Pour plus de détails lire l'article Thesis sur en.wikipedia.org La dissertation a la réputation d'être un exercice formel parfois décrit comme artificiel et reconnu comme un exercice « cartésien ». Les universités américaines et britanniques ne pratiquent pas la dissertation (au sens qu'elle a pris en France), elle est plutôt remplacée par des résumés de lecture, des notes critiques, discussions et autres essais littéraires (généralement

cette œuvre étant l'une de ses dernières publications, il est nécessaire de comprendre sa pensée relative au cogito, à la substance et au dualisme cartésien. Etant chacun des sujets d'analyse à part entière, nous essaierons le plus simplement possible d'exposer leur contenu afin de pouvoir comprendre le mieux possible notre lecture. Le cogito est l'intuition d'exister par le doute. “Cogito, Ergo Sum”, “Je pense donc je suis” montre que l'individu a la particularité de penser et que le fait de penser

fait ; le problème demeure entier de lui donner un fondement philosophique. Or la philosophie classique n'a pas ressenti le besoin de donner un fondement philosophique à l'expérience de l'autre, c’est seulement pour la philosophie moderne, post-cartésienne que cette question se pose. Pourquoi ? Pour la philosophie classique de Platon à Descartes, le plan de l'existence effective et le plan de l'essence, de sa signification intelligible sont séparés. Dans cette perspective mon être, mon existence individuelle

nous parlons nous donne t-il une liberté de pensé?? La conscience de soi rend-elle libre ??? Il nous est indispensable de définir les termes du sujet afin de le problématiser. «La conscience» est ce qui permet de penser et de dire «Je pense» (ego cogito), et donc de me penser comme le sujet de mes pensées, et qui pose distinct de lui, des objets à connaitre ou à maitriser. La conscience est un élément permettant a l’homme de réfléchir, de penser, elle constitue en toute état de cause l’élément

connaître par un retour en arrière et une analyse concernant ce qui a été accompli. Descartes définit la conscience comme une sorte de moi auquel on peut avoir accès. La notion de sujet et celle de subjectivité apparaissent avec Descartes et son cogito cartésien. Ses objectifs sont de fonder une science certaine et unifier sa pensée, c'est-à-dire soumettre sa pensée à un ordre unique, or pour qu’il y ait une pensée il faut une chose pensante qui est moi : « Je pense donc je suis ». La conscience établie

ainsi l'essence, la substance d'un être. Mais c'est aussi, au sens le plus moderne philosophiquement, un être conscient et libre. Un être capable de se représenter et de se prendre pour objet de pensée. C'est-à-dire si on prend un langage plus cartésien, un Cogito (je pense) se prenant pour son propre Cogitatum (objet de pensée). Mais alors se pose un problème : en me prenant moi, sujet de droit, comme objet de pensée, je ''m'objectivise''. Ne doit-on pas voir là un paradoxe du sujet? Le sujet, grammaticalement

raison ou plutôt de ce que je prends pour tel, exiger de moi autant que d'autrui dans l'acte d'un dialogue où chacun, s'exposant aux réfutations de l'autre, doit tour à tour objecter, et répondre. Comme le remarquait Husserl dans les Méditations cartésiennes, la confiance en nos certitudes subjectives est au fondement de ce qu'il nommait notre « attitude naturelle » : tout naturellement, nous sommes tous enclins à croire que le monde est comme nous le percevons et comme nous le pensons. Mais sur quoi

« L’opération fondamentale de la méthode cartésienne est la doute. L’esprit doit douter pour trouver des certitudes. Ce doute ,fondement de la méthode, aboutit à une certitude qui s’énonce dans le COGITO »  « JE PENSE ,DONC JE SUIS ». Savoir que je suis une chose qui pense , c'est-à-dire une conscience telle est la conclusion à laquelle arrive Decartes , ce sujet étant un sujet sans autre qualité que d’ètre produit par la doute. Lacan relie le COGITO à la découverte freudienne , ce qui le conduira

Sartre « il ne peut pas y avoir de vérité autre, au point de départ, que celle-ci : je pense donc je suis ». Il y a deux subjectivité, la subjectivité cartésienne et la subjectivité existentielle. Il y a la « subjectivité rigoureusement individuelle » et la subjectivité du cogito. Sartre choisit la subjectivité existentielle qu'il démontre par le cogito, « par le je pense contrairement à la philosophie de Descartes [et ] de Kant, nous nous atteignons nous-mêmes en face de l'autre, et l'autre est aussi