Le Divertissement Pascalien

(cf carnets) par des expressions à caractère ironique  ou dépréciatif : p12 «  nos concitoyens travaillent bcp mais tjrs pour s’enrichir », »ils s’occupent d’abord selon leur expression de faire des affaires » ou encore critique très pascalienne du « divertissement » où les contemporains gaspillent le temps p 12 de façon absurde « Sans doute,rien n’est plus naturel que de voir des gens travailler du matin au soir et choisir ensuite de perdre aux cartes, au café… le tps qui leur reste pr vivre »Enfin

Est-ce bien un texte de Pascal ? Texte pascalien, mais peut-être pas de Pascal. Il ne renvoie en effet à aucun manuscrit connu de Pascal. Ce n’est donc pas au sens strict une œuvre de Pascal. Texte publié en 1728, par Desmolets. A cette date, on se demandait si c’était ou non un faux. En 1736, le texte paraît dans les Mémoires de Nicolas Fontaine. Le texte n’est pas identique à celui de Desmolets. Composition de l’entretien : Il semble exclu que cet entretien ait été recomposé par Fontaine

conte est d’abord un mélange étonnant d’astronomie, de réflexion philosophique, d’actualité politique, scientifique, littéraire, mondaine dont le désordre apparent et le caractère primesautier peuvent désarçonner le lecteur. Cette fantaisie, ce divertissement voltairien ne sont pas aussi gratuits et débridés qu’il pourrait y paraître à première vue. Ce voyage interplanétaire est d’abord l’occasion de jouer avec la tradition du gigantisme inspiré de Swift et peut-être de Rabelais. Derrière la liberté

« Spleen et idéal », première section du recueil. Le temps plie l’homme vers la tombe d’où l’image du fardeau que l’on porte courbé, penché vers la terre. « Esclaves martyrisés du Temps » surenchérit encore sur cette image pour atteindre une vision pascalienne de la condition humaine[2]. Comme les prisonniers de la caverne de Platon, ou les condamnés à mort des Pensées de Pascal, les hommes que nous présente Baudelaire sont victimes d’un sort cruel qui est le lot de leur humanité. Le temps dévore ses

eux que je voudrais dégager un certain nombre de traits caractéristiques de ce « moraliste imaginaire ». Deux appartiennent aux Chroniques romanesques, le troisième au Cycle du Hussard. D’abord, le Procureur royal de Grenoble dans Un roi sans divertissement (la chronique de 19471, mais aussi le film de 1963, réalisé par François Leterrier2, mais dont Giono a écrit le scénario3 et suivi de très près le tournage). Il se lie d’amitié avec Langlois lorsqu’il revient dans le village de montagne, après

Présentation PowerPointPrésentations1.1 Présentation de l’autrice1.1.1 Une dame de Cour1.1.2 Une Précieuse1.1.3 Une femme de lettres1.2 Présentation du roman1.2.1 Un roman nouveau1.2.2 Un nouveau romanesque1.2.3 L’ « affaire » de La Princesse de Clèves1.3. Présentation du parcours1.3.1 Individu1.3.2 Morale1.3.3 Société1.1 Présentation de l’autrice (Voir les repères chronologiques p.12)Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de Lafayette (1634-1693) 1.1.1 Une dame de courFamille de petite noblesse

lisent pas sans être pour autant aliénés. Il s’agit moins d’une « libération » que d’un enrichissement. Pennac : « le droit de ne pas lire ». Pennac : « le droit de ne pas lire ». 2. La « libération » en question n’est-elle pas un « divertissement » au sens pascalien ? C. Le livre ne peut-il pas, au contraire, constituer un danger voire un emprisonnement ? 1. Les écrivains « réactionnaires », porteurs de thuriféraires de l’idéologie dominante. 2. Le règne de l’illusion. Illusion au sens où l’on

quitter un monde réel souvent décevant, au profit du monde de l’illusion. Il s’agit d’une possibilité de fuir ses responsabilités quotidiennes, le besoin de rêver est un besoin fondamental de l’homme. La littérature peut être un divertissement, un plaisir futile (au sens Pascalien). Le lecteur souhaite éprouver des sensations intense, il va se plonger dans un récit extraordinaire qui sollicite son imagination. Ce récit peut être historique : Les trois Mousquetaires de Dumas, Le hussard sur le toit

est de susciter l’évasion, le rêve ». En 1670, le philosophe Blaise Pascal développe dans ses Pensées une approche renommée du divertissement selon laquelle il est nécessaire à l’Homme de se distraire et donc essentiel pour lui de se détourner de l’essentiel. Mais le roman doit-il être uniquement un vecteur « d’évasion », de divertissement jusque dans son sens pascalien qui nous éloigne de la contemplation de notre monde ? N’existe-t-il pas d’autres fonctions toutes aussi « essentielles » ? S’il

se remettre en cause, il n’y est pas naturellement porté. C’est tellement plus facile de laisser la pierre dans l’état où elle est. C’est tellement plus facile de se laisser aller à la paresse, au confort, à l’égoïsme, au plaisir et au divertissement au sens pascalien du terme. « Je ne fais pas le bien que j’aime et je fais le mal que je hais » disait St Augustin qui serait peut-être surpris d’être cité ici. S’il y a en l’homme une tendance à rechercher le perfectionnement intellectuel et moral, il