Le Divertissement Pascalien

vie, sur le sens de leurs actions (« on s’y ennuie » l. 27)  l’expression « frénétique et absent » est révélatrice : − « frénétique » renvoie à une vie faussement remplie, à l’agitation des villes modernes qui agit comme un véritable divertissement au sens pascalien du terme (cf. philosophe Pascal = ensemble des occupations qui détournent l’homme des problèmes que pose sa propre condition) − « absent » renvoie au maque de réflexion sur sa condition humaine et son aspect tragique (prise de conscience

« Tu vas mourir dans une heure et vingt cinq minutes » qui annonce la tragédie mais qui laisse entendre aussi un décompte de la durée de la pièce. « N'essaye plus de le distraire » qui est une référence au divertissement pascalien qui le détourne de la réalité de la mort et du salut. Le divertissement constitue un moyen de ne plus y penser mais n'est pas le meilleur. Une forte reflexion sur la négation de la mort liée à l'occultation que l'Homme en fait: « C'est ta faute si tu y es pris au dépourvu

est maître une fois». Pers doutant de sn pvr ? de sa virilité ? de la domination de sa classe en train de «s’endormir» dans l’oisiveté ? DJ a besoin des femmes pr se rassurer, pr se sentir exister (narcissisme). Incarnation pascalienne de l’ennui existentiel et du divertissement ? Jusqu’où est-il prêt à aller pr cesser de douter ? Un pers. coupable dt les justifications quoique grandiloquentes ne parviennent pas à convaincre du bien fondé de ses théories. Pressentiment du châtiment inévitable. 3)

heureuses4. » Il semble prendre le contrepied de l’image du Don Juan révolté, et se présente comme un personnage conformiste, intégré dans la société, une espèce de « Don Juan des familles », aimé des mères et des maris. L’irrévérence : un Divertissement ? Si l’irrévérence de nos trois Don Juan n’est plus vraiment l’expression d’une révolte, elle apparaît, en revanche, comme un moyen de lutter contre le constat angoissé que ces derniers font de l’absurdité de leur existence et de l’approche

comme toute-puissante. Qu’en est-il de la raison ? Imagination hissée au rang de concept, “maitresse d'erreur et de fausseté”, Pascal en décrit les ravages → homme maitrisé par son imagination qui est toute puissance. 4 temps dans l'argumentation pascalienne de ce fragment: Pascal s'inspire de Montaigne, il s'attache à définir l'homme tout entier à partir de l'imagination. Ici, elle ressemble à l'opinion (doxa) de Montaigne. Comme Montaigne oppose opinion et raison, Pascal oppose imagination et raison

conte est d’abord un mélange étonnant d’astronomie, de réflexion philosophique, d’actualité politique, scientifique, littéraire, mondaine dont le désordre apparent et le caractère primesautier peuvent désarçonner le lecteur. Cette fantaisie, ce divertissement voltairien ne sont pas aussi gratuits et débridés qu’il pourrait y paraître à première vue. Ce voyage interplanétaire est d’abord l’occasion de jouer avec la tradition du gigantisme inspiré de Swift et peut-être de Rabelais. Derrière la liberté

nous souhaitons reculé cette événements en restreignant notre mode de vie et au final ne pas jouir de notre vie. Le temps nous fait peur, et donc créer une obsession qui au final se traduit par la mort. Nous avons se qu’on appelle le divertissement pascalien qui va avec cette conception de ne plus penser à la mort, pascal dit que nous divertissons pour ne pas penser qu’on va mourir, par exemple faire la guerre et paradoxalement un moyen qu’à trouver l’être humain pour se divertir et ne plus penser

sens particulier, comme un événement tragique auquel il est préférable de ne pas penser. C'est bien ce que critique Victor Hugo par le biais du personnage de l’évêque. Ce matérialisme à valeur d'athéisme pourrait être considéré comme un divertissement au sens pascalien du terme. En effet, ce déni de la religion est en quelque sorte un moyen de relativiser la mort. D'autres part, si certains hommes choisissent de ne plus penser à la mort, n'est-ce pas qu'il y pensent trop ? Durant l'antiquité, la mort

JC en Grèce dans l’antiquité à l’occasion des fêtes Dionysiaques en l’honneur du dieu Dionysos. Le théâtre se déroulait alors en plein air et était une activité gratuite, ce qui tend à dire qu’elle était publique et avait donc une fonction de divertissement. Il est donc incontestable que le théâtre a pour objectif de permettre aux spectateurs de se distraire. Il permet de ne plus penser aux problèmes personnels. Il pourrait d’ailleurs être synonyme d’une forme d’évasion. Toute pièce de théâtre vise

l’unique disproportion de la nature au regard du monde – le monde apparaissant étrangement plus petit que la nature. C'est qu’il faut comprendre, à l’inverse de notre conception physique moderne, le monde comme l’ensemble des phénomènes ou, en termes pascaliens, comme l’ensemble des effets, entendu comme domaine de visibilité, et la nature comme la totalité de ce qui est – à savoir, en termes chrétiens : la Création. Or force nous est de reconnaître l’excès de l’invisible sur ce qui, grâce à l’astre solaire