Le Genie Hegel

du sujet. divertir : Distraire, amuser, détourner de l'essentiel. PROBLEMATIQUE LES TERMES DU SUJET 1) L'artiste : celui qui produit des oeuvres d'art, celui qui est pourvu d'un talent spécifique que l'on a l'habitude de caractériser de génie. 2) Ne cherche-t-il qu'à : Le sujet pose ici une double question a) L'artiste vise-t-il une fin consciente et délibérée ? b) Est-il légitime de réduire cette fin au divertissement ? 3) Divertir : Ce terme renvoie dans un premier sens

dans un troisième temps nous verrons la contemplation de l’œuvre qui pourrait se qualifier d’art. Toutes les activités humaines consacrées à la production de beau sont considérées comme des arts, elles sont de formes diverses, en effet, depuis Hegel elles se divisent traditionnellement en architecture, sculpture, peinture (arts de l’espace), musique, poésie (arts du temps). Ceci étant dit, de nombreuses autres classifications peuvent être pertinentes car ce qu’on appelle l’esthétique n’est autre

Sophisme aussi = erreur de jugement mais elle est voulue, cscte, pas comme ce qui fait douter Descartes, qui doute même des vérités métaphysiques. En effet, qui me garantit que 2 et 2 font 4 ? Qui me dit que je ne me trompe pas ? (+ idée du malin génie) Le doute de D est angoissant, on ne distingue même plus le rêve de la réalité. On ne croit plus en rien, on est totalement seul → solipsisme Ce doute cartésien n’est pas un échec de la raison, il permet à la raison de parvenir à la vérité.

vient du latin ars, traduction du grec technê et désigne aussi bien la technique, le savoir-faire, que la création artistique, la recherche du beau. Ici, dans le cadre de la danse, on retient que le talent est le fait de l’artiste, qu’un talent ou un génie particuliers rendent apte à créer la beauté. Il est donc clair qu’il y a un rapport entre l’art et le beau, comme le suggère d’ailleurs l’expression de beaux-arts. L’œuvre d’art est le fruit de la libre inspiration de l’artiste ; les mouvements

Cette question n'est pas innocente car représenter le réel en art c'est le valoriser. Cela conduit à l'académisme c'est à dire qu'il y a une autorité qui définie et qui hiérarchise ce qui doit être représenté. Cependant, le philosophe allemand Hegel (1770-1831) souligne la dimension limité de l'art comme imitation. Il conteste l'idée que se soit une création dans la mesure où il n'y a pas de nouveauté engendrée. b) Le recours à l'imagination Cette conception de la création se développe

des villes italiennes) L’histoire des idées politiques ne prend pas parti : ce n’est pas de la philosophie politique.Elle ne distribue pas de bons ou mauvais points.L’histoire des idées politiques n’a pas à choisir entre des idéologies :- Kant et Hegel : « l’idéalisme », la raison et l’esprit détermineraient la vie matérielle etl’expérience humaine- Marx : le « matérialisme » : les idées sont le reflet de modifications pratiques et matériellesUne histoire sociale des idées peut articuler à la fois

discours très commun selon lequel « chacun peut y voir ce qu’il veut » n’est pas forcément le plus approprié : est-il légitime de vouloir coûte que coûte « voir quelque chose  ( qui correspond au « monde réel »)» ?). ·         D’autre part, comme le dit Hegel, le désir d’exactitude, de fidélité absolue au réel n’est pas très intéressant, indépendamment du fait qu’il se condamne lui-même à échouer. Il ne peut produire « qu’une fierté passagère » Texte : « Quel but l’homme poursuit-il en imitant la nature 

cette définition a le défaut d’être immédiatement circulaire : l’esthétique est la discipline philosophique qui analyse les conditions de l’attitude, du jugement, ou de l’objet présumés esthétiques. Aussi peut-on être tenté d’identifier, à l’instar de Hegel 3, l’esthétique à la philosophie de l’art qui, de son côté, se demande plutôt : « qu’est-ce que l’art ? Quelle sorte d’entités sont les œuvres d’art ? Qu’est-ce que comprendre et apprécier une œuvre d’art ? Quelle est la valeur de l’art ? » 4. Il reviendrait

opposer un refus (je peux refuser de me laisser abuser), une résistance. Pour mieux établir ce lien entre le doute et l’affirmation de mon existence, Descartes va dramatiser et généraliser l’illusion en se référant à la fiction méthodologique d’un malin génie qui emploie toute sa puissance à me tromper, comme si l’illusion était une fatalité à laquelle je ne pourrais échapper. Même s’il emploie toute son industrie à me tromper, j’ai le pouvoir d’échapper à son emprise si je suis conscient qu’il me trompe

être à lui-même son propre tyran, et il y a une obéissance servile aux appétits qui m’ôte la liberté plus sûrement encore que le plus puissant des despotes ne le pourra jamais faire. On peut ici songer au rapport qui unit l’esclave et son maître chez Hegel : le maître commande et l’esclave obéit, c’est-à-dire que l’esclave n’est qu’un instrument destiné à réaliser les désirs du maître. Mais comme ses désirs ne lui coûtent aucun effort, le maître prend l’habitude d’y céder : il devient de plus en plus