Le Juge Et Le Silence De La Loi

recours contre les actes administratifs devant la juge administratif est de deux mois à compter de la date à laquelle ont été prises les mesures de publicité adéquates, Monsieur Flink qui est assez procédurier vous demande : 1. Si le rejet de sa demande de permis de construire est régulière et comment la contester. 2. S’il est possible et devant quel juge de contester le règlement de la société EDF. 3. S’il est possible et devant quel juge de contester la circulaire du ministre de l’énergie

à autrui un dommage, ici l'acte est voulu mais pas ses conséquences juridiques. les quasi délit civil : renvoi à des faits illicites mais non intentionnel, commis par imprudence. les quasi contrat : sont des faits de l'homme auxquels la loi attache des conséquences, ils vont avoir les mêmes effets que le contrat mais ils ne découlent pas d'un accord de volonté. Quels sont les enjeux de cette distinction en terme de régime : la preuve : la preuve des faits juridiques est libre

terrain contractuel, en droit des contrats, on ne pouvait conclure que des contrats nommés et on ne pouvait pas sortir du cadre des contrats nommés. Dans le même ordre d’idée, la victime d’un fait juridique n’avait un droit de réparation que si la loi avait expressément prévue une action à son profit. Autrement dit il n’existait pas de principe général offrant réparation à la victime. Il n’y avait que des actions spéciales. Sous l’ancien droit les choses ont évolué, les influences de l’église ont

Dissertation : « la jurisprudence est-elle une source du droit ? » Selon Jean Carbonnier : « la jurisprudence n’est pas une véritable source du droit civil comparable à la loi ou même à la coutume. Mais, elle est une autorité considérable en droit civil ». Les avis sont certes partagés et la question que pose le système juridique français est de savoir dans quelle mesure la jurisprudence est une source du droit, de savoir quelle est sa force obligatoire et si elle est, au même titre que le

être réduite à moins d'un an ni étendue à plus de dix ans. ------------------------------------------------- Les parties peuvent également, d'un commun accord, ajouter aux causes de suspension ou d'interruption de la prescription prévues par la loi. ------------------------------------------------- Les dispositions des deux alinéas précédents ne sont pas applicables aux actions en paiement ou en répétition des salaires, arrérages de rente, pensions alimentaires, loyers, fermages, charges locatives

Les principes généraux du droit Les sources du droit sont écrites (constitution, loi...) et non écrites (coutume, jp). La coutume n’a pas un rôle important en droit administratif même si diverses pratiques donnent lieu à des usages considérés obligatoires. Elle ne fait pas partie selon le juge du droit positif. La JP est “écrite” mais les principes qui en découlent ne ont ni légiférés ni même formalisés. La JP est essentielle en droit administratif, on affirme même souvent que c’est un droit jurisprudentiel

Historique : La jurisprudence « est condamnée par les révolutionnaires : Ce mot … doit être effacé de notre langue dit Robespierre en novembre 1790. Dans un Etat qui a une constitution, une législation, la jurisprudence des tribunaux n’est autre chose que la loi.[…]  Hostiles à la jurisprudence, les révolutionnaires ont néanmoins favorisé l’émergence en décrétant la motivation des arrêts et la publication des décision du tribunal de cassation. » [Source : Introduction historique au droit et aux institutions

différentes sources, comme la loi ou la Constitution. Il existe des normes formelles et des normes informelles qui constituent le droit. La jurisprudence en France est une norme informelle, c'est l'une des sources du droit. Elle se caractérise comme l'ensemble des décisions à partir desquelles se dégage une règle de droit constamment suivie par le juge dans le passé, et à laquelle le juge se tiendra très certainement à l'avenir. En France, on ne considère pas le juge comme détenteur d'un pouvoir législatif;

principe porte la dédicace de l’individualisme : il se fonde sur le libre arbitre et la volonté. La force du contrat découlerait de la seule volonté de s’engager (Loysel : « on lie les bœufs par les cornes et les hommes par les paroles »). D’ailleurs la loi elle-même pourrait, dans cette perspective, être rattachée à la volonté (théorie du « contrat social »). Consacré par les rédacteurs du Code civil, ce principe est le fruit d’influences diverses. On trouve, à sa racine, aussi bien la pensée chrétienne

pour l'action, des auxiliaires plus féconds que la hargne ou la semi-hébétude née de la contemplation d'un imprimé rédigé dans une langue apparemment étrangère … »[1]. § 2.La loi du 29 juillet 1991 relative à la motivation formelle des actes administratifs. A. Champ d'application. Aux termes de l'article 2 de la loi, sont concernés par la motivation, les actes administratifs des autorités administratives visées à l'article 1er. Selon l'article 1er, la notion d'autorité administrative est