Le Jugement Esthétique

par l’apprentissage de codes esthétiques ? De plus, vouloir associer l’art au beau, n’est-ce pas limiter l’art à une fonction de décoration et du même coup l’enfermer dans cette unique fonction ? 1) L’art est-il au service du beau ? Longtemps, le même homme s’est proclamé artisan, artiste, technicien et même ingénieur ou entrepreneur. Longtemps aussi, les qualités techniques de production, la nature des matériaux ont été les critères premiers de la valeur esthétique d’un objet. Un temple, une cathédrale

bord desquels les immeubles seraient habillés de doubles façades vitrées. - Critique : ce qui parait possible et impossible, jugement sur l’article Possible - Un réseau fluvial de transport allégerait le transport terrestre. - Le marché flottant faciliterait le commerce. - La voile photovoltaïque protégerait les promeneurs du pont mais n’est pas très esthétique. - Les hydroliennes dans la seine car cela permet de récolter de l’énergie facilement. - Les tours de logement et de bureaux pourront

seulement sont utiles mais aussi destinés a plaire, a provoquer le plaisir esthétique. Certes, une table, une chaise, un lit servent toujours a quelque chose. L'ébéniste lorsqu'il fabrique a meuble baroque, il crée tout autant une oeuvre ornementale qu'un objet utilitaire. Aussi, l'objet artisanale porte t-il la marque du génie du talent. Toutefois l'oeuvre artisanale n'a pas pour fonction première de procurer un plaisir esthétique ni même d'exprimer la personnalité d'un artiste II- L'ART EST IL IMITATION

d’après Kant, d’une beauté libre (pulchritudo vaga) issue du jugement de l’agréable, reposant sur nos sens: « Le goût est la faculté de juger d'un objet ou d'une représentation par une satisfaction dégagée de tout intérêt. On appelle beau l'objet d'une semblable satisfaction. ». Ainsi, l’homme s’égare lorsqu’il veut convaincre autrui de son ressenti face à l’objet observé : « Pour ce qui est de l'agréable chacun se résigne à ce que son jugement, fondé sur un sentiment individuel, par lequel il affirme

s'appuie sue des règles logique établie par la raison et l'entendement Sarthe dans cette phrases mets en évidence la nécessité du regard d'autrui sur nous même qui est de nature objective ce qui signifie que grâce a autrui nous pouvons avoir un jugement objectif sur nous même voila pourquoi Sarthe écrit" autrui le médiateur indispensable entre moi et moi même pour rigueur la société pluraliste a savoir la démocratie s'appuie sur 2 conditions a savoir : le consensus qui s'appuie sur l'ajustement

hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh- hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh- hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh- hhhhhhhhhhhhhhhhhh Règle, principe, critère auquel se réfère tout jugement : Se fonder sur la norme admise dans une société. Ensemble des règles de conduite qui s'imposent à un groupe social. Industrie Règle fixant les conditions de la réalisation d'une opération, de l'exécution d'un objet ou de l'élaboration

sentiments qu’il éveille en nous, semble ici modifier notre rapport à la réalité, puisqu’il nous la fait oublier. Pourtant, l’émotion esthétique ne relève pas de la pure distraction ou du simple amusement : l’œuvre d’art fait aussi appel à notre esprit, à notre réflexion. C’est bien là le signe que l’art n’est pas qu’un jeu d’illusionnistes. L’expérience esthétique nous modifie, nous enrichit en nous dévoilant une certaine vérité jusque-là masquée par notre rapport à la réalité quotidienne. Ainsi

qu’il est immoral de représenter ce qui ne correspond pas à la réalité). Mais peut-on dire que les tableaux de Mark Rothko sont faux ou immoraux parce qu’ils ne représentent pas la réalité telle qu’elle est ? Il semble par là que le jugement esthétique ne prenne en compte que la forme de l’œuvre, pas son contenu ni une quelconque finalité, et que l’oeuvre d’art soit amorale. (deuxième partie) Est amoral ce qui ne prend pas en compte la dimension morale (sans être pour ni

consommation qui s’achève lorsque ce désir est assouvi. Il n’est pas simple de s’y retrouver dans cette nébuleuse de plaisirs esthétiques. Dans un premier temps, ils font tous, ou presque, appel à notre sensibilité et ensuite ils peuvent être plus ou moins modifiés par nos acquis culturels et nos facultés intellectuelles. Prenons tout d’abord le cas d’une appréciation esthétique sur un objet inerte ou vivant qui repose essentiellement sur une émotion spontanée. Elle est par essence très subjective,

beauté. Le fait que l'activité artistique ait été assujettie à la beauté jusqu'au 19è siècle n'illustre-t-il pas le lien nécessaire, c'est-à-dire qui ne peut pas être autre, l'art et la beauté ? Mais cela n'a-t-il pas enfermé l'art dans les canons esthétiques, déterminant un idéal qui devient un modèle pour tout artiste ? D'où le problème : cela ne va-t-il pas à l'encontre de la créativité artistique ? L'art ne devrait-il pas s'affranchir de tout déterminisme ? Le but est donc la définition de l'art