Le Jugement Esthétique

En art, tout s’apprend – il ? Remarques : - «  en art » renvoie aussi bien à la question de la création qu’à celle de la contemplation esthétique. - Apprendre, c’est s’instruire, s’éduquer, recevoir une formation. Mais apprendre est surtout un acte de la volonté, une attitude active. Il n’est pas donné à tout le monde d’être artiste. Chacun n’a pas non plus la même aptitude à apprécier les œuvres d’art. A quoi tient alors cette différence entre les hommes devant l’art ? Elle peut

l’univers objectif. Animisme : Attribuer une Rationalisme : Doctrine qui pose que la connaissance relève de la raison. II. L’art : Beau : valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique Esthétique : étymologiquement, esthétique vient du grec qui signifie ce que les sens peuvent percevoir. Le mot esthétique s’emploie couramment comme synonyme de beau. Art : le terme art (ars en latin traduit le mot grec technè) désigne aussi bien la technique, le savoir faire que la création artistique

SES VALEURS SYMBOLIQUES PLAN Introduction Section 1 : Le corps humain autrefois I- Les modifications corporelles : origine et types II- L’Afrique Section 2 : Le corps humain aujourd’hui I- Chirurgie Esthétique II- Les facteurs de la transformation III- Le corps dans la société Conclusion Bibliographie ANNEXE INTRODUCTION : Le corps est devenu aujourd’hui un objet de réflexion pour les sciences humaines et sociales

est belle ou non, nous désirons savoir, comment nous la jugeons en la considérant simplement, et non pas si nous pourrions porter un intérêt à l'existence de la chose. Chacun doit reconnaitre qu'un jugement sur la beauté en lequel se mêle le plus petit intérêt est très partial et ne peut être un jugement de goût pur. La beauté est un concept relativisé : L'épithète "beau" peut désigner n'importe quoi et sans que l'on sache exactement ce que cela veut dire. Alors, comment expliquer la différence d'appréciation

pas dans le temps, comme on ressent une émotion passagère. Kant explique que chaque Homme a une sensibilité différente, qui varie selon sa vie, ses connaissances, ses intérêts,… Kant fait un rapport entre les sentiments moraux et sentiments esthétiques. Le sentiment moral distingue les bonnes actions bienséantes et les actions moralement nécessaires. Il est « supra empirique », il va au-delà de l’expérience. Kant dit qu’il existe des qualités morales aimables et belles qui s’harmonisent avec

qualitative d’un objet. Pour une œuvre d’art, c’est un jugement qui s’évalue par un montant financier. Une valeur peut aussi être morale ou économique. Ainsi, Dans le livre  Art de Yasmina Reza, deux amis se disputent car ils n’ont pas le même jugement sur un tableau. La valeur monétaire donnée par l’un, ne correspond en rien à celle estimée par l’autre. Cette discussion nous montre à quel point la valeur d’une œuvre peut varier selon le jugement de l’éventuel client. La valeur peut aussi dépendre

objets utilitaires et des « gadgets », mais de toute façon un objet parmi d’autres. En effet, la technique et ses productions ne renoncent pas à toute valeur esthétique. L’objet en lui-même est certes conçu pour sa valeur utilitaire, mais en même temps, il existe une « esthétique industrielle », une esthétique devenue la norme des jugements de goût les plus courants. On assiste alors à un complet renversement : l’art n’est pas vraiment créateur comme on le croit, il est le reflet des modes d’une

Il peut tout aussi bien designer un production abstraite, un semblant d'illusion impossible a retrouver dans le monde réel. L'art , en tant qu'il est l'expression d'un sentiment de beau, nous devie de la réalité le temps de cette contemplation esthétique. En ce sens, l'art nous mene-t-il en dehors de la réalité ou bien, s'il ne supprime pas la réalité, nous permet-il d'apporter un regard enrichi ou different sur elle dans l'avenir? 1/ l'art modifie notre rapport à la réalité l'art compris comme

pas de production, destiné à notre perception. Pour la plupart, l’art a un sens purement esthétique ; il peut être beau, agréable, ou pas à leurs goûts. Cette conception de l'art comme création par des artistes d'objets que l'on s'accorde à trouver beaux, suivant un jugement de goût, date entre les XVIIIe et XIXe siècles. Il est vrai que pour en arriver à une conclusion comme telle (celle d’affirmer son jugement), l’art s’adresse à nos sens. S’il s’agit d’une peinture, la vue est ce qui nous en rapproche

clairement aux yeux, et ce qui est évident selon nos sens. Mais ce qui est évident pour nous, peut ne pas être évident pour quelqu’un d’autre en fonction de notre expérience, celle-ci joue donc un rôle fondamentale dans les apparences, et apportent un jugement totalement subjectif puisqu’elle est exclusif à chacun. Ainsi on peut penser, que les apparences et la vérité sont des termes qui ne peuvent s’accorder, mais il arrive que les apparences s’avèrent véridique et donc conforme au réel. En contradiction