Le Mécanisme Cartésien Le Corps Machine

les différences entre Hommes et animaux, par l’intermédiaire d’une comparaison avec une machine. Selon le philosophe, les Hommes sont non seulement dotés d’un corps mais aussi de pensées et donc d’une âme, pensées qu’ils manifestent notamment par l’exercice du langage ; au contraire, les animaux ne sont que substance corporelle et ne sont pas doués de raison ; de fait, on ne peut les distinguer d’une simple machine. Cependant, l’utilisation du langage comme signe univoque et certain d’une présence

des mécanismes -Paramétrage d'un mécanisme Pré-requis :  Notions sur les vecteurs DONNEES TECHNIQUES Environnement matériel et logiciel nécessaire Aucun Documents à utiliser  Cours à compléter La cinématique est la partie de la mécanique qui étudie le mouvement des corps, indépendamment des forces qui les produisent. La cinématique présente deux types d'applications : la première voie est orientée vers l'analyse des grandeurs cinématiques liées aux mécanismes et aux

C’est Huyghens qui développe une physique mathématique baroque ayant pour objet la courbure. Et chez Leibniz la courbure d’univers se prolonge suivant trois autres notions fondamentales, la fluidité de la matière, l’élasticité des corps, le ressort comme mécanisme. En premier lieu, il est certain que la matière n’irait pas d’elle-même en ligne courbe : elle suivrait la tangente 7. Mais l’univers est comme comprimé par une force 6. Cf. Wölfflin, Renaissance et Baroque, Éd. Monfort. 7. Nouveaux

l'idée pour Aristote ; et elle se définit comme puissance, c'est-à-dire comme virtualité. Pour Epicure, la matière et la réalité fondamentale, elle est constituée d'atomes discontinus se combinant diversement. Pour Descartes, elle est la substance des corps, dont l'essence est l'étendue géométrique. Le monde matériel s'explique alors entièrement en termes de configurations spatiales et de mouvements mécaniques. Pour Diderot, enfin, la matière est une substance dynamique se transformant de façon continue

I – Qu’est-ce que la conscience ? a) Conscience sensible/immédiate/directe Forme la plus élémentaire de conscience, consiste à percevoir : relation immédiate et sensorielle entre son corps et les corps extérieurs > réservée à l’animal ; « animal machine » de Descartes, mais : animal n’est pas une machine, une chose, mais un être doué de sensibilité […] > l’homme a aussi une conscience sensible car il est aussi un animal b) Conscience réfléchie/de soi Avoir conscience de son existence

un dualisme entre eux l’âme et le corps. Ce dualisme s'enracine dans la science moderne qui apparaît au 17°s. Platon est dualiste. Galilée va construire la science moderne qui valide les hypothèses de Platon. Il va construire une physique mathématique c'est-à-dire qu'il va opérer une réduction du réel au géométrique. La science physique étudie l'inanimé. Ce qui donne naissance à l'étendue (physique/géométrique). L'étendue est l'essence de la matière, des corps. La nature suit des lois strictement

auquel un homme fait entendre sa pensée à un autre et aussi à lui-même. Tel est, on le sait, le critère cartésien de la distinction de l'homme avec l'automate-animal-machine, ou simulacre de l'homme. Descartes ne mentionne pas la langue, au double sens d'organe phonique et d'ensemble de règles d'utilisation du langage, mais la parole, ce moment où le langage s'incarne pour ainsi dire dans un corps qui passe ainsi de la gestualité ou de la gesticulation à la signification. L'autre homme est donc un

en fait, qu’une technique d’analyse. « C’est l’application des lois de la dynamique pour l’analyse du mouvement d’un corps ( deul qu’il soit) dans l’espace ». La seconde discipline psychophysiologie : - C’est l’étude du contrôle du comportement humain au sens large par une approche qui donne une place importante à la « machinerie cellulaire ». Dynamique : - des corps physiques dans un espace donné. - Les lois physiques les plus connus sont les lois de Newton au nombre de trois. - Mathématiquement

mécanique qui arrive avec le mécanisme galiléo-cartésien.Un être naturel est toujours, à ses yeux, quelque chose qui est en puissance de devenir autre chose, ou de se diriger vers un autre lieu, le terme de puissance ne désignant pas une simple virtualité, une possibilité d’être transformé ou mû, mais une capacité active de se transformer ou de se mouvoir de soi-même, spontanément. Bien loin d’être des modèles nous permettant de comprendre la nature et ses lois, les machines faites de main d’homme sont

conscience immédiate ou la conscience spontanée. La 2ème forme de conscience c’est l’activité du « je » de la conscience, du moi comme une conscience réfléchi c’est-à-dire que la conscience fait un retour sur ses pensées, ses actions. Si la conscience cartésienne est fermée sur soi même c’est-à-dire qu’elle est une subjectivité, la conscience chez Husserl est toujours conscience de quelque chose. Généralement : on considère que la conscience de soi est le propre de l’homme : « posséder le « je » il n’y a