Le Nègre De Surinam Conclusion

génétique ». Il adopte la langue française et rejette le créole, contre l'idée d'un retournement des colonisés contre la langue française évoqué par Sartre dans Anthologie de la poésie nègre et malgache. Parler français, c'est devenir blanc, assimiler le monde du Blanc. Le Blanc à l'inverse utilise le petit-nègre quand il voit un Noir, même cultivé. 2.La femme de couleur et le Blanc Mayotte Capécia dans son roman Je suis martiniquaise montre cette attirance naïve pour le Blanc parce qu'il est

 »               B- Simplicité de la lecture • Les histoires d'animaux chez La Fontaine. • Candide : les personnages sont tous bons ou mauvais. Jeux de mots sur les nom (Candide est naïf, M. Vanderdendur, le méchant hollandais qui exploite le « nègre »...), facéties : les quartiers de noblesse... Candide se promène à travers le monde, découvre un pays utopique, celui de l'Eldorado... Voltaire décrit le parcours d'un jeune homme naïf qui parcourt le monde, accompagné de Pangloss son mentor, un philosophe

devise de Pangloss (« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles »), menant Candide de Westphalie en Hollande, puis à Lisbonne où il survivra au tremblement de terre de 1755, et de là aux Amériques, au merveilleux pays d’Eldorado, au Surinam, à Venise et enfin à Constantinople. Candide retrouvera Pangloss qu’il croyait mort, et retrouvera une Cunégonde enlaidie et aigrie par l’existence. Il l’épousera malgré tout, et finira ses jours en se contentant de « cultiver son jardin ». Ce roman

V) Voltaire, Candide (1759), chapitre XIX : L’esclave de Surinam Candide et son valet Cacambo quittent l’Eldorado avec le projet de retrouver Cunégonde, alors que le roi du pays leur a fourni une caravane de cent moutons (càd des lamas), dont cinquante sont chargés d’or, de pierreries et de diamants. Mais, en faisant route vers Cayenne, ils perdent peu à peu leurs richesses et, au bout de cent jours de marche, il ne leur reste plus que deux animaux ; ils conservent cependant leur rêve de bonheur

en avant par l’exagération comique dans lettres persanes de Montesquieu. Les rieurs sont alors du côté de l’écrivain. - L’ironie est une arme efficace pour provoquer l’adhésion du lecteur : exemple efficace dans Candide avec les réflexions du Nègre de Surinam. Moyen détourné de dénoncer certains points contestables de la vie sociale. - La satire met en relief grâce à l’exagération comique les défauts humains les plus divers : Aventure Indienne de Voltaire en propose un bon exemple. De même, Le Mariage

Cunégonde ainsi il espère devenir un Thunder-ten-tronckh), illusion du physique et de la beauté (Cunégonde est devenue une horreur). • La mère n’hésite pas (par naïveté ou cupidité ?) à vendre son fils aux marchands d’esclaves (cf. l’épisode du nègre de Surinam). • La Marquise de Parolignac (chapitre 22) dirige un salon qui est, à l’image de la société, corrompu et vénal : on y côtoie des fripons, des joueurs, des tricheurs, etc… = le monde n’est qu’une vaste prostitution (la vieille est aussi devenue

. » B- Simplicité de la lecture * Les histoires d'animaux chez La Fontaine. * Candide : les personnages sont tous bons ou mauvais. Jeux de mots sur les nom (Candide est naïf, M. Vanderdendur, le méchant hollandais qui exploite le « nègre »...), facéties : les quartiers de noblesse... Candide se promène à travers le monde, découvre un pays utopique, celui de l'Eldorado... Voltaire décrit le parcours d'un jeune homme naïf qui parcourt le monde, accompagné de Pangloss son mentor, un philosophe

vie) aux sergents recruteurs du chapitre 2. « Nous vous défrayerons, mais nous ne souffrirons jamais qu’un homme comme vous manque d’argent ». Argent = piège pour le naïf Candide. • Chapitre 19 : l’argent transforme les hommes en victimes : le nègre de Surinam a été vendu par sa mère (naïve ?) à des esclavagistes. Il fait d’abord la fortune de ses parents près de M. vanderdendur qui le fait travailler pour un salaire de misère : amère déception de l’esclave : « les chiens, les singes et les perroquets

juger le bien du mal. Cette scène semble fonctionner comme une prolepse de la fin. Conclusion Ce passage est donc une critique de la traite des nègres au XVIII° siècle. En effet, Voltaire dénonce les pratiques inhumaines infligées aux esclaves, il utilise plusieurs procédés littéraires pour rendre son récit encore plus frappant, tel que l’ironie ou le récit neutre. Ce passage sur le nègre de Surinam semble être basé sur une cruelle réalité, comme on peut le voir dans l’article 44 du code

ce que l’Europe possède de plus précieux, et le présente comme essentiel à divulguer, à partager aux autres peuples Montaigne porte une vision très pessimiste du nouveau monde qui est perverti par nos arts, notre cupidité et nos techniques. Conclusion Ce texte est courageux dans la mesure où il dénonce les vices, l’aveuglement, la cupidité, les abus des Européens assoiffé de pouvoir et d’or, informant ainsi le lecteur sur les actes et la mentalité de l’époque. Il représente un témoignage