Le Nègre De Surinam Conclusion

utilise l’ironie a la perfection dans un passage de L’esprit des Lois, ou il critique subtilement l’esclavage en faisant la plaidoirie d’un esclavagiste mais aussi Voltaire dans son  Essai sur les mœurs et l'esprit des Nations et le passage du nègre de Surinam dans Candide sont deux textes ou l’esclavagisme est dénoncé grâce a l’ironie. 2-3 : les risque de l’implicite. Quand un écrivain publie une œuvre révélant une cause, et que celle-ci est implicite, il est possible que la clarté de l’implicite

« Des cannibales », manuel p.316. Baron de la Hontan, Dialogue du baron de la Hontan et d'un sauvage de l'Amérique, photocopie. Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, le discours du vieux tahitien, photocopie. Voltaire, Candide, « le nègre de Surinam », photocopie. Lectures complémentaires : Extrait des mémoires de Christophe Colomb, manuel, p.317. Extrait du Voyage autour du monde de Bougainville, photocopie. Montesquieu, Des l'esprit des lois, « De l'esclavage des nègres ». Chevalier de

prévoit avec beaucoup de lucidité que le nouveau monde dépassera la vieille Europe. Conclusion : • Montaigne : un critique envers les européens et beaucoup plus favorable envers les Indiens. • Il n’aura de cesse de les défendre notamment dans le tome 1, chapitre 31 Les Cannibales. • Ce thème de la critique de l’esclavage sera l’une des principales cibles des philosophes des Lumières. Le nègre de Surinam dans Candide de Voltaire par exemple.

s'émanciper et affirment le droit à la liberté d'expression. L'esclavage Par ailleurs ils refusent l'esclavage. La révolte des esclaves dans certains pays donne un souffle à ce courant de pensée. Elle inspire Voltaire dans Candide, l'épisode du nègre de surinam, et dans son Dictionnaire philosophique il dénonce en particulier la torture, l'esclavage et la peine de mort. Pour Montesquieu la liberté est un droit naturel. Les nobles, artistes, penseurs Les philosophes des lumières admirent le modèle

polémique. Le troisième texte est extrait d'un des contes philosophiques de Voltaire. Il s'agit de la rencontre de Candide avec « le nègre de Surinam ». Ce texte appartient au genre de l'apologue puisqu'il s'agit d'un conte philosophique dont le lecteur peut tirer une leçon. Voltaire emploie ici le registre ironique en laissant la parole à l'esclave de Surinam lui-même. Ce dernier évoque les excès de la traite des esclaves et du Code Noir, et les procédés mis en oeuvre dans ce réquisitoire contre

Une présentation, puis en suite un traditionnel coups de foudre mis en avant par un jeu de regards. l. 44 et 54 Ils se trouvent au centre de l’attention de leur entourage « silence a l’entour » l .47 mais en mêmes isolés dans leur intimité. Conclusion Fantaisie et humour Morale bourgeoise bouleversée Mails il s’agit tout de même d’une rencontre amoureuse entre deux êtres qui s’apprécient. Rhinocéros 1. Comparaison entre l’homme et l’animal, mise au même niveau.

critique des chrétiens et notamment des jésuites (hypocrisie exagérée par l’absurdité, etc…) 2) Le juge fait ressortir par contraste ces défauts  il montre la sagesse 3) C’est lui qui a le mot de la fin  pt de vue pessimiste de l’auteur. Conclusion sur le Conte Voltairien : Tous les textes que nous avons étudiés, appartiennent d’une manière ou d’une autre à l’apologue. Ce genre est caractéristique de l’esprit des lumières car il permet de déguiser un certain nombre d’idées qui sont dérangeantes

extraordinaire des actions, l’incroyable destin d’un héros qui échappe à tous les périls et les endroits fabuleux comme l’Eldorado sollicitent l’imagination. Candide est aussi un récit de voyage : le héros parcourt le monde, de Prusse au Paraguay, du Surinam à la mer de Propontide en passant par Paris. Récit de voyage, roman d’aventures, quête amoureuse, roman d’initiation, la variété de la matière romanesque est le maître mot de ce récit propre à susciter la curiosité du lecteur. b. L’utopie dans Candide

peu d’importance qu’on leur accorde. -Le tableau des souffrances des civils est réaliste et objectif -Parallélisme entre les actions des deux armée, chacune pille et massacre le village de l’autre, ainsi les deux sont tout aussi condamnable. Conclusion: Voltaire dénonce l’absurdité de la guerre en faisant appel à l’intelligence et à la sensibilité du lecteur puisqu’il joue à la fois sur l’ironie et le réalisme du tableau d’horreur. Candide a commencé sa découverte de la réalité du monde mais

y dénonce en particulier la philosophie Leibnitzienne, mais également diverses formes d’injustices comme les abus de la religion (chapitre 6 : « L’autodafé »), du pouvoir (chapitre 3 : « La guerre »), ainsi que l’esclavage (chapitre 19 : « Le nègre de Surinam »). De plus, c’est une œuvre qui propose constamment un double niveau de lecture par le recours à l’ironie, une arme formelle dont Voltaire a souvent usé. L’incipit nous donne à voir les éléments traditionnels du conte pour mieux les subvertir