Le Néo Taylorisme

J F Hochet Introduction……………………………………………………………………………………………………p2 -L’analyse néo- classique -La révolution marginaliste -Vision différentes des classiques -3 grandes écoles Chapitre 1. L’offre et la demande………………………………………………………………………p5 I. La fonction demande II. la fonction d’offre Chapitre 2. Les équilibres de marché et la théorie des prix en concurrence pure et parfaite.p9 I. Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite II. Détermination du prix d’équilibre en concurrence

relâchement des hypothèses existantes avec la théorie des coûts de transaction (intégration verticale), des coûts d’agence, des droits de propriété, la théorie des contrats. On va aussi appeler ça la nouvelle économie institutionnelle ou l’économie néo-institutionnelle. Livre : * Traité d’économie industrielle de R. Arena et alii (economica) * Fondements d’économie industrielle de Y. Morvan CHAPITRE I : ECONOMIE INDUSTRIELLE : ORIGINE THEORIQUE ? Il faut attendre les années 1870

croissance économique élevée et soutenue, qui est la conjonction de trois grands facteurs : la consommation de masse (stimulée par le développement du crédit à la consommation), le machinisme et la standardisation de la production (avec le fordisme et le taylorisme). C’est une croissance autoentretenue et reposant sur des gains de productivité importants : on parle de croissance intensive (contrairement aux autres pays). Ces gains de productivité profitent aux salaires, qui augmentent, ce qui permet le développement

Guerre mondiale. En témoigneraient l’essoufflement de la consommation de masse et le rejet du taylorisme au début des années 1970 (absentéisme, turn-over élevés, surtout dans l’industrie automobile). III - Les politiques économiques menées 1 - La poursuite des solutions keynésiennes (relance par la demande - France de Chirac, EU de Carter, France de Maurois 1981-83) 2 - Le triomphe politique du néo-libéralisme: Thatcher en GB, Reagan aux EU remettent en cause les fondements de l’Etat-providence:

concernant leur besoin en pièces détachées. Partir du client pour remonter à a production et non l’inverse. Selon ford, les clients pouvaient choisir du noir pourvu que ce soit du noir. Affichettes kan ban pour faire remonter les infos, déclin du taylorisme. On veut réduire la part d’emploi affectée au personnel d’encadrement. les échelons intermédiaires aspirés vers le bas. Selon beaud et Pialoux, une carrière d’ouvrier était possible en 1950. On est de plus souvent smicard à vie dorénavant. -travail

production, alors que pour un mm montant on peut obtenir un meilleur rendement à travers une meilleure gestion. On cherche également à légitimer la forme capitaliste de l’entreprise néoclassique le mode de gouvernance capitaliste est le meilleur. Mais les néo classiques on reconnu qu’il n’avait pas de légitimation. Sur cette théorie moderne on verra qu’elle aboutit à peu près aux mm conclusions que la théorie moderne économique on aboutit à la forme salariale. Les théories économique et gestionnaire

cette « troisième révolution industrielle » des années 1970, la révolution Internet, qui marque déjà une première rupture en ce sens qu’elle suppose une nouvelle organisation du travail. Celle-ci, et ce sera notre deuxième rupture, se distingue du taylorisme et du fordisme de l’ère industrielle, anéantis par des contradictions à la fois interne et externe ; elle repose pour sa part sur le toyotisme et se veut un modèle qui s’adapte rapidement à la demande dans un processus productif optimisé et de qualité

masse pour adapter la production aux besoins des consommateurs. III – Une nécessaire adaptation : les nouvelles formes d’organisation du travail (NFOT) Vers une implication plus large du travailleur : pour enrayer les dysfonctionnements du taylorisme et du fordisme, mais aussi pour lutter contre le ralentissement de la croissance, certaines mutations sont apparues indispensables et des tentatives d’enrichissement du travail ont tout particulièrement été mises en place : rotation des postes,

spécialisés'' ou OS (par opposition aux ouvriers professionnels ou OP). L’ingénieur taylorien définit l'ordre des opérations et il chronomètre. Le travail ouvrier devient complètement conçu, non pas par les ouvriers eux-mêmes, mais par les ingénieurs. Le taylorisme fait apparaître les ouvriers spécialisées, qui exécutent un travail qui à entièrement été pensé par les ingénieurs tayloriens. Il ne peut y ajouter sa propre conception et ne peut réviser la façon d’exécuter le travail, le mode opératoire. L'ouvrier

système pourra finalement être évaluée à travers les sept points-clé d’un management des S.I. réussi. Principes généraux de l’organisation du travail Les systèmes tayloriste et fordiste Dans la théorie des organisations, on parle souvent du Taylorisme et du Fordisme comme appartenant à l’école classique de pensée. Frederick Winslow Taylor (1856-1916), ingénieur américain, constate dans les années 1880 que les ouvriers ne sont ni assez productifs, ni assez efficaces. Dans certains cas, ceux-ci