Le Néo Taylorisme

productivité est due à la division du travail (pour Smith et Marx). Les limites de la division du travail sont : la machine qui est vu comme déshumanisante, la mise en place de hiérarchie, le turn-over, les conditions de travail… Du taylorisme au toyotisme : - Taylorisme (1856) : Double séparation : horizontale (en tâche simple) et verticale (pour plus d’efficacité en séparant la conception de l’exécution pour éviter « la flânerie systématique »). Apparition d’une hiérarchie importante (contremaîtres)

nécessité de l’organisation 1.1- Le passage du groupe à l’organisation 1.2- Le développement de l’organisation 2- Les fondements des modèles d’organisation 2.1- L’école classique des organisations 2.2- L’école des relations humaines 2.3- L’école néo-classique 2.4- La recherche du modèle d’organisation le plus efficace BTS M.U.C – Management des unités commerciales – OFR 1ère année : Les fondamentaux du management MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES BTS 1 1. La nécessité de l’organisation

DÉBAT LES ENJEUX DE LA LOGIQUE COMPÉTENCE PAR JEAN-PIERRE DURAND Directeur du Centre Pierre Naville - Université d’Évry - Val d’Essonne La notion de compétences fait débat : habits neufs du taylorisme le plus opportuniste ou symbole d’un nouvel humanisme industriel ? Soumission de la subjectivité du salarié au risque d’une qualité devenue totalitaire, ou investissement maîtrisé de ses talents au regard d’objectifs négociés et consentis ? Manipulation à laquelle ne peut répondre que la simulation

réflexion scientifique sur le conflit a donné lieu à énormément de travaux depuis ses débuts à la fin du 19e siècle. Il en ressort globalement deux grandes conceptions qui prennent le contre-pied l’une de l’autre. - La première, consacrée par le taylorisme pose que le conflit est un phénomène nocif. Il occasionne des dysfonctionnements et des gaspillages de ressources. En déstabilisant l’organisation, il est porteur de tous les périls et peut même menacer sa survie. Dans cette conception dite du conflit-destructeur

Manuscrit auteur, publié dans "Entreprises sans frontières: quelles mutations pour la comptabilité et le contrôle organisationnel?, Metz : France (2001)" DU TAYLORISME AU POSTTAYLORISME : POUR UNE DECONSTRUCTION DE LA TRANSVERSALITE Yvon PESQUEUX hal-00480996, version 1 - 5 May 2010 Professeur C.N.A.M 292 rue Saint Martin 75 141 PARIS Cédex 03 E-mail : pesqueux@cnam.fr Résumé Abstract La mise en avant de la figure du client pose la question de savoir si nous assistons à la fin du modèle

de nouveaux marchés et là on retombe sur ces théories de commerce international (chaque pays se spécialise dans la production d’un bien et se fournit ailleurs pour faire le reste). C) L’organisation scientifique du travail 1) Le Taylorisme Le Taylorisme est une réponse au contexte socio-économique du moment : * Les ressources humaines de l’époque sont principalement des gens de la campagne qui arrive en ville pour trouver du travail donc pas de qualification industrielle. * Les

croissance économique car il est a l'origine notamment des gains de productivité : Les gains de productivité permettent avec les mêmes moyens ou avec des moyens inférieur de produire vite , plus et mieux une quantité identique ( fordisme , taylorisme ) : le travaille a la chaine , la mécanisation du travaille a permit d'opéré des gains de temps donc d'augmenté la production (produire plus vite et mieux une quantité définie) . De plus elle provoque un abaissement des prix et donc une

la révolution industrielle s’ouvre basée sur un système technique particulier. On peut en compter 4 depuis le XVIII. milieu XVIII- 1880 : 1er système technique basé sur le charbon, la vapeur et le textile. En fin de phase, développement du taylorisme (distinction entre tâche de conception et d’exécution, division du travail en tâche simple et répétitive) => standardisation des procès de production. 1880 – 1950 : 2ème système technique basé sur le pétrole, l’électricité et la chimie. Adoption

 l’organisation  survive.   Dans  la  vie,  les  situations  sont  très  diverses  (plus  ou  moins  rigides)   On  peut  considérer  qu’il  y  a  deux  fondateurs  du  Taylorisme  :  Taylor  (praticien,  cherche  un   modèle  qui  peut  être  pratiqué)  et  Weber  (conceptualise  ce  qu’il  observe).     B. L’ORGANISATION  ET  SES  CARACTÉRISTIQUES

auteurs classiques ? Thomas Robert Malthus est un auteur classique qui se distingue par son pessimisme et souligne la possibilité de crises de surproduction 19) Pourquoi y a-t-il forcément égalité entre épargne et investissement selon les néo-classiques ? L’égalité a forcément lieu, l’épargne étant un préalable à l’investissement, sa condition d’existence : elle est totalement investie. 20) Selon John Maynard Keynes, quel est l’effet de l’épargne sur l’investissement ?