Le Paradigme Culturaliste

vingtième). En dépit, ou, peut être en raison, de leur équivocité tenace, comme tant d’autres (ainsi « l’institution » excommuniée par Georges Gurvitch [1950]  !!) elles continueront d’y jouer un rôle éminent à la faveur des courants dits « culturalistes ». On les confondra parfois, jusqu’à les prendre pour synonymes, mais nous pensons devoir insister, d’emblée, sur leurs nuances respectives subsistantes, pouvant aboutir à des postures épistémologiques très fondamentalement opposées, voire hétérogènes

de la recherche en entrepreneuriat et sur la PME 79 3.1.3.1. La Vision Organisante de la communauté des chercheurs et des praticiens en entrepreneuriat 79 3.1.3.2. Vision organisante ou vision organisée ? 81 7 3.2. L‟intersubjectivité, un paradigme pour les Sciences de Gestion 84 3.2.1. A la recherche des conventions constitutives des sciences de gestion 84 3.2.2. Questions de méthodes dans une perspective intersubjectiviste 87 3.3. Un engagement à poursuivre 3.3.1. Nos perspectives de

contraintes des contextes, d’accéder aux pratiques comme aux représentations, de repérer des phénomènes de conjoncture et des phénomènes de structure. En anthropologie plus précisément, une telle approche a l’intérêt de rompre avec l’idéologie culturaliste dominante dans la discipline et de souligner le caractère transactionnel de beaucoup de consensus et de normes (qui sont négociés, au moins informellement ou de façon latente). Elle est encore plus pertinente en matière de socio-anthropologie du

centrale : comment les campagnes radiophoniques et les couvertures de presse écrites ont-elles pu jouer un rôle dans les changements d’attitudes des électeurs et dans leur prise de décision définitive par rapport au vote ? / Effets des médias Paradigme : effets limités de l’influence des médias et caractère déterminant des relations interpersonnelles. Limites l’école de Columbia : recherches empiriques de l’influence des médias (1940-1956) : temporalité limitées (cour terme) dans l’explicitation

et l’analyse culturelle ne manquent pas. Ainsi, même à un moment où Michel Crozier évoque la « tentation cultura- liste » qu’il a repoussée, cette position est aussitôt nuancée : « Ceci ne veut pas dire que nous renoncions à la voie de recherche culturaliste que nous avons suivie et suivons encore partiellement. » (Crozier, 1994, p. 239). Le pouvoir et la règle (Friedberg, 1993), donne une place significative à la culture. L’acteur rationnel, est-il affirmé, ne vit pas hors de tout contexte, et en

Unité des sciences sociales - Pluralité : coexistence de plusieurs paradigmes ( Kuhn ), il écrit en 1962 et s'intéresse aux sciences physiques et se demande pourquoi y-a-t-il des révolutions scientifique tels que la terre plate en théorie à l'époque devient terre ronde, il va essayer de montrer que certaines interprétations s'imposent, il y a des vainqueurs et des vaincus ( paradigmes ). En sociologie on ne peut pas parler de paradigme car il n'y a pas de dominant entre les différents courants ( Bourdieu

qui constituent autant de paradigmes paysagers entre lesquels le débat théorique, voire la controverse, se développent. Ces paradigmes ne se confondent pas avec des auteurs précis. Ils sont plutôt des pôles théoriques et problématiques autour ou à partir desquels les discours sur les paysages se déploient. a) L’orientation aujourd’hui la plus répandue définit le paysage comme une représentation culturelle élaborée par l’histoire. Selon cette orientation, culturaliste, les paysages sont moins des

contrainte la plus élevée, ce qui les oppose aux théoriciens des choix rationnels (car pour eux ils considèrent que quand une institutions ne marche pas on a met de coté) ceux de l'IS le contestent ! pour eux il existe des institutions de forme culturaliste et donc sorte de forme de vie qui évite le comportement des acteurs. (comportement presque dont les acteurs n'ont pas conscience) Cette théorie trouve application notamment dans entreprise , par ex certain choix des grandes firmes ne sont pas

PIERRE-MENDÈS-FRANCE (GRENOBLE) LICENCE DE SOCIOLOGIE UE1. PARADIGME II : ACTIONNISME Dominique RAYNAUD 1. 2. 3. 4. Syllabus Bibliographie Plan du cours Notes de cours Syllabus Le cours veut offrir une présentation raisonnée du paradigme actionniste, de ses précurseurs (Condorcet, Mill, Halévy, Piaget) à ses représentants actuels, en mettant l’accent sur les travaux de R. Boudon. Le cours suit une présentation analytique des principes qui fondent ce paradigme. 1° Le principe de rationalité sera exposé en

données sociales, o La sociologie ne peut pas être définie par un paradigme Les sociologues n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la définition de l’activité sociologique. Paradigme : Consensus durable au sein d’une communauté scientifique sur la définition de l’activité scientifique (au sens de Thomas Kuhn, La structure des révolutions scientifiques, 1962) Finalement si la sociologie n’a pas de paradigme, d’objet, de technique, qu’est-ce qui permet de distinguer la sociologie des