Le Paradigme Culturaliste

64 Le courant « participatif » L’enrichissement des tâches et la théorie 67 70 4 Les théories de la motivation intrinsèque : les mobiles 73 bifactorielle de la motivation : F. Herzberg 3 III Le poids (négligé) du contexte Bilan critique du paradigme du contenu 76 1 77 80 82 Des théories au fondement scientifique trop fragile 2 Retour sur la notion de besoins 3 La centralité de la socialisation IV Conclusion Encadré 2 : L’attrait de l’indépendance 83 84 SOMMAIRE CHAPITRE 5 La motivation

Le choc des civilisations LES ESSAIS Le choc des civilisations Fantasme ou réalité ? Laurent Palou Lacoste Le choc des civilisations Fantasme ou réalité ? Laurent Palou Lacoste LE CHOC DES CIVILISATIONS SOMMAIRE Le paradigme du choc des civilisations est-il pertinent ? « Guerre des cultures » versus « Univers concret » .................................................. 10 Les limites de la théorie de Samuel Huntington et du pessimisme conservateur ................

individu » (IO de 1945). C’est le médecin qui indique dans quel groupe il classe les élèves, à partir de « mensurations staturales, pondérales et spirométriques » (IO de 1945). L’évaluation est diagnostique, médicale, normative, ancrée dans le « paradigme de la mesure » (MACCARIO, « Au fil du temps l’évaluation », Dossier EPS 15, 1993), quels que soient les courants. Cette évaluation médicale retrouve une place centrale afin d’assurer « un développement normal » (IO de 1945). Il apparaît alors

Individu et société : l’apport de la sociologie. 1. Holisme et individualisme : deux voies théoriques pour quatre grands paradigmes. 2.1. Des théories et des méthodes utiles pour combattre le sens commun, spontanément subjectiviste. 2.2.1. La sociologie holiste. 2.2.2. La sociologie individualiste. 2.2. Une stratégie de la preuve. 2. Une sociologie du sport ? 3.3. Problèmes de définitions et de mesure de l'activité sportive. 3.4

abstraite et conceptuelle du sens des conduites au moyen de l’idéaltype. Le courant culturaliste À partir des années 1930, la sociologie américaine évolue dans de nouvelles directions avec l’essor du culturalisme. Il s’agit d’une analyse issue de l’anthropologie (Ruth Benedict, Margaret Mead, Ralph Linton), mais qui s’appuie aussi sur les apports de la psychanalyse (Abraham Kardiner). Le point commun des analyses culturalistes est de considérer la culture comme l’élément déterminant du fonctionnement d’une

sociale, d’aliénation, de désaffiliation sociale ). Concept « d’habitus » défini par Bourdieu, concept de communauté qui permet d’étudier des choses différentes, liens spécifiques entre les individus. Paradigmes : systèmes de pensée, grilles d’interprétation. Bourdon et Bourricaud : « un paradigme est composé d’un ensemble d’énoncés portants, non sur tel ou tel aspect des sociétés, mais sur la manière dont le sociologue doit procéder pour construire une théorie visant à expliquer tel ou tel aspect

techno-politiques (Médias, investissements privées, intérêts politiques) de la mondialisation. Dans ce contexte, Il défende une ethnographie « multi-située » (multi-sited ethnographie) et interdisciplinaire pour que l’approche sur la globalisation dépasse le « paradigme de l’autre », qui a prévalu au centre de l’anthropologie classique. L’OUVRE // Le chapitre du lequel on va parler intitulé « Jouer avec la modernité: la décolonisation du cricket indien » fait partie de l’ouvre « Après le colonialisme : Les

de faire (l’approche par équipes-projet), leur permettant de mieux gérer et contrôler les changements constants qui se font sur les marchés. Or, toute innovation amène avec elle son lot de risques, car elle implique de faire affaire à de nouveaux paradigmes. Sans compter qu’avec la mondialisation, la concurrence n’est plus juste locale, mais plutôt de niveau international. Ce qui amène les gestionnaires à vouloir percer au-delà de leurs frontières; donnant ainsi le jour à des projets se déroulant dans

le champ de la communication peut être définit par les cinq termes d’une question « Qui dit quoi ? Comment ? A qui ? Et avec quels effets ? » On parle alors du paradigme des effets ou encore de questions programmes. Cette simple formule est censée poser toutes les questions pertinentes à propose de la communication de masse. Ce paradigme permet de rendre compte de la complexité de la communication médiatique. Elle n’est plus pensée comme unilatérale avec un message unique qui influence des récepteurs

mondialisation des objets » répond, selon la cinglante formule d’Edgar Morin, la « tribalisation des sujets ». Dans ce processus contradictoire de mondialisation, le facteur humain ne s’est pas réduit tout à fait, il est vrai, à une lecture culturaliste. Il a fait aussi l’objet du nouveau discours sur les droits de l’homme et l’humanitaire, dernier refuge apparent d’un espace humain mondial. Mais l’humanitaire n’est, pour une large part, qu’un retour au caritatif, bien en deçà de ce qu’étaient