Le Pouvoir Constituant Gouvernement Pétain

septembre 1870, défaite de Napoléon Bonaparte III à Sedan, capitulation. Entraîne mouvement de rue à Paris. Les manifestants veulent la fin de l'empire. On a un gouvernement de fait qui est mis en place avec personnalités connues. Ce gouvernement s'appelle le gouvernement provisoire de la défense nationale. Gambetta, Simon, Favre,... Ce gouvernement ne réussit pas à rétablir la situation militaire. 1870, mis en place d'élection, mais comme situation militaire critique, ces élections ne peuvent avoir lieu

sont partisans de l’armistice. Un gouvernement provisoire républicain s’installe le 3 novembre 1870. L’une de ses premières tâches est d’organiser des élections législatives. Celles-ci se déroulent en février 1871 et voient une large victoire des monarchistes. Si la monarchie n’est pas rétablie à ce moment, c’est à cause de la querelle dynastique qui oppose les Bourbons et les Orléans. Cette querelle de succession permet à l’Assemblée de s’arroger le pouvoir constituant en organisant la mise en place

la République française du 5 fructidor de l’an III (23 aout 1796). Cette constitution donne le régime du directoire, sous lequel le pouvoir exécutif est confié à cinq directeurs. Puis est adoptée, à la suite d’un coup d’état de Napoléon Bonaparte, la constitution du 22 frimaire de l’an VIII (13 décembre 1799). Celle-ci fonde le consulat, régime qui donne le pouvoir exécutif à trois consuls. Ce régime est modifié par un sénatus-consulte du 16 thermidor de l’an X (18 mai 1804) qui établit le premier

passage de pouvoir au Maréchal Pétain ? Pétain devient le 16 juin 1940 chef du gouvernement de la 3e République. C’est le dernier président du Conseil de la 3e République. C’est Albert Lebrun qui avait fait appel à Pétain pour constituer le gouvernement. Loi constitutionnelle du 10 juillet 1940, le gouvernement qu’il dirige reçoit de l’Assemblée Nationale réunie à Vichy le pouvoir de promulguer une nouvelle Constitution. D’un point de vue juridique, l’Assemblée Nationale donne le pouvoir constituant

à l'école militaire de Saint Cyr, sort en 1912 et rejoint l'infanterie sous les ordres du Général Pétain. Il est, au début de sa carrière d'inspiration monarchiste, et opposé au régime parlementaire de la Troisième République. Ayant gravi les échelons peu à peu, lorsqu'il part à Londres en 1940, il est alors général, depuis peu de temps, et s'oppose à l'abandon du combat prôner par le Général Pétain. C'est ainsi, que refusant l'ordre de revenir en France, il prit la parole et fit un discours le 18

Histoire Le document est un texte tiré du livre « le Procès de Vichy, Pucheu, Pétain, Laval » écrit par Fred Kupferman. Il présente une déclaration de Philippe Pétain à son auditoire durant son procès devant la Haute Cour le 23 juillet 1945. En effet, dès le début de la seconde guerre mondiale, La défaite de la France est rapide face aux armées allemandes. Le gouvernement au pouvoir confie donc le destin du pays

Charles De Gaule 1. Le soldat et le résistant 2. De Gaule au pouvoir Le soldat et le résistant Charles de Gaulle naît à Lille le 22 novembre 1890. Il grandira au sein d'une famille catholique et traditionaliste. Charles entre à 18 ans dans l'école militaire de Saint-Cyr. Au terme d'un long combat contre les Allemands à Douaumont en 1916, de Gaulle est à nouveau blessé. Mais ses soins se feront de l'autre côté du front. Prisonnier des Allemands, il est à hôpital de Mayence

Chapitre 1 : les lois constitutionnelles de 1875 Section 1 : le gouvernement de l’Assemblée Nationale Il est celui d’une majorité monarchiste confrontée à la négociation avec l’Allemagne et avec l’établissement d’une nouvelle Constitution. Cette Assemblée est pourtant très divisée, les monarchistes l’étant eux-mêmes en deux factions, les uns soutenant le descendant de Louis XVI (Chambord, petit fils de Charles X), les autres, orléanistes, défendant la candidature du Comte de Paris (petit

entraine la défaites françaises Face à cela le gouvernement se divise. Certains, comme le sous- secrétaire d’Etat à la guerre Charles de Gaulle, pensent qu’il faut continuer le combat en se repliant sur l’empire colonial. D’autres pensent qu’il faut demander l’armistice, comme le maréchal Pétain, le « héros de Verdun » âgé de 84 ans, qui avait été nommé vice-président du Conseil en mai pour rassurer les Français. Cette division est fatale au gouvernement Reynaud qui démissionne le 16 juin 1940. Pour

constitutions. Certains ont voulu tirer des cycles constitutionnels. Le peuple affranchi est indiscipliné donc retour à des régimes conservateurs. Avec la Constitution de 1795 et le Directoire, émergence de personnalités voulant s’accaparer le pouvoir. On revient ensuite à l’Empire puis à la Restauration… En 1848, révolution et nouvelle république. Puis de nouveau un empire. Il faut prendre avec prudence cette théorie des cycles. On ne peut pas prouver l’existence d’un sens de l’histoire