Le Relativisme Moral

contenu des réponses qu'il va obtenir. Relativisme culturel : p43 « cette réalité trouve son expression dans le principe anthropologique fondamental du relativisme culturel »p43  « il faut rendre présentables ceux qui sont vulnérables » p43 « cet impératif est particulièrement puissant aux Etats-unis » L'auteur montre ici qu'il faut être prudent lorsque l'on traite un sujet sous un regard ethnologique, qu'il faut toujours faire preuve de relativisme culturel. Par exemple aux Etats-Unis, les populations

  de   la   démonstration   est   l’existence   de   vérité   première,   absolue,  indubitable.  Il  s’agit  désormais  de  questionner  ces  «  vérités  premières  ».   III.  DEMONSTRATION  ET  RELATIVISME   2   Peut-on tout démontrer ? La   condition   de   possibilité   de   la   démonstration   réside   notamment   dans   l’existence   de   vérités   premières.   Or   de   telles   vérités   évidentes

comme éloge de la fuite. Freud défend cette conception de l’art. Il dit que l’artiste est un introverti qui frise la névrose. Pour Freud, la névrose c’est un conflit psychique inconscient entre les désirs et les pulsions du sujet et les normes morales et sociales que nous avons intériorisés. Pour Freud, il existe un inconscient psychique qui est le lieu ou se trouve les pulsions primitives et les désirs refoulés. b) l'art comme illusion On trouve chez Platon, notamment dans son livre qui s'appelle

développement scientifique, de la maîtrise de l’homme sur la nature. Développement des arts : mécénat « publique », relation politico-religieux. XVI eme siècle Auteurs :     Erasme : grande tolérance : alliage antique-religieux Rabelais : relativisme Montaigne : réflexion libre à caractère autobiographique Les lumières Le XVIIIème siècle a été le siècle des Lumières. Période éclairée par la raison permettant, selon les philosophes des Lumières, de sortir des préjugés et de l’intolérance

Cet honnête distinction (dilemme omniprésent dans la pensée grecque de cette époque) entre ce qui est connaissable et ce qui ne l’est pas deviendra au fil des siècles l’un des fondements de l’humilité scientifique et, dans une certaine mesure, du relativisme (positif) d’un Auguste Comte.   De son coté.; Thalès de Milet se garda bien d’enfermer le divin dans un placard.: «.De tous les êtres le plus ancien c’est Dieu car il n’a pas été engendré... .» A son tour, Pythagore (6e siècle av. J.-C.), après

(470-399 av JC) pour sa part n’a rien écrit ; il philosophait dans les rues d’Athènes, ne cessant de dialoguer en interrogeant ses concitoyens. Socrate, figure emblématique du philosophe, n’a qu’un objet de réflexion et d’étude, les affaires humaines, en morale et en politique, et donc la Vertu entendue comme la valeur par excellence. Quels buts l’homme doit-il poursuivre pour être véritablement un homme et pour être heureux? Les hommes ignorent ce qu’ils font et ce qu’ils savent. En interrogeant les Athéniens

l’athéisme contemporain 1 Dieu et l’athéisme : travail de fin de parcours QUESTIONS (4 points par question) 1. Caractérisez les « athéismes » gréco-romains de l’Antiquité (ex. panthéisme matérialiste, panthéisme stoïcien, l’athéisme moral d’Épicure, scepticisme, etc.)
 L’athéisme théorique ou pur n’existe que rarement. Souvent on affirme autre chose comme absolu. L’athéisme est une négation de Dieu, mais il met en avant une forme de croyance : il affirme l’homme, la raison

dépend d’un autre et n’utilise pas sa raison. 13. La sensibilité pathologique chez Kant : ce qui relève du sentiment par opposition à ce qui est de l’ordre de la volonté. Kant oppose l’amour pathologique, qui ne repose que sur l’inclination, et l’amour moral qui est actif, volontaire et désintéressé. 14. En quoi la pensée autonome est-elle une pensée libre ? : La pensée autonome est une pensée libre car celui qui a une pensée autonome se donne à lui-même sa propre loi. Il a donc une pensée libre car il

faudrait questionner mais également abolir pour faire face à la problématique des valeurs, bien plus fondamentale. « Que la vérité vaille plus que l'apparence, dit-il dans le fragment 34 de Par-delà bien et mal, ce n'est rien de plus qu'un préjugé moral ; c'est même la supposition la plus mal prouvée du monde ».Les philosophes dogmatiques sont donc pour Nietzsche tous ceux qui l'ont précédé car n'ayant jamais interrogé les valeurs, n'ayant jamais été capable de dépasser la conception traditionnelle

n’est plus de mise. Pourtant, il est difficile de renoncer à l’idée de sens de l’histoire. Kant pensait que le fait de croire dans le progrès (évolution globale vers un mieux) était stimulant et constituait même pour chacun d’entre nous un devoir moral. Même si l’homme est libre et si l’histoire est imprévisible, la connaissance historique nous permet tout de même d’anticiper partiellement l’avenir et d’adopter une orientation positive fondée sur une meilleure intelligence de notre passé Sujets