Le Taylorisme Cas Renault

très proche de la PCS employés. Rapprochement judicieux pour comprendre la notion de classe populaire B- Transformation de la structure du groupe (diminution de la part des non qualifiés et augmentation de la part des chômeurs avec la post taylorisme deviennent des opérateurs) II) Ce groupe constitue-t-il encore une classe sociale ? A- Persistance de la classe en soi (revenus faibles, plus touchés par le chômage, espérance de vie plus faible, hérédité sociale B- mas des transformations

généraux de l’organisation du travail Les systèmes tayloriste et fordiste Dans la théorie des organisations, on parle souvent du Taylorisme et du Fordisme comme appartenant à l’école classique de pensée. Frederick Winslow Taylor (1856-1916), ingénieur américain, constate dans les années 1880 que les ouvriers ne sont ni assez productifs, ni assez efficaces. Dans certains cas, ceux-ci seraient même enclins à cacher leur savoir-faire à la direction, afin de contrôler leur rythme de travail. La transparence

sociologique des organisations rationalisées Blau P. , «the dynamics of Bureaucracy, 1995 Les règles connaissent, de façon normal,e une évolution informelle. La règle bureaucratique n'est pas donnée une fois pour toutes, elle connaît une dynamique. 1er cas étudié: une agence pour l'emploi → Ajustement des règles ou de la procédure: dans une agence pour l'emploi, un département spécialisé sur les offres/demandes d'emploi pour l'industrie textile. Une industrie tees saisonnière : centaines périodes voient

production dans l’industrie et les services :  Le mode de production artisanal : lorsqu’il n’y a pas de division technique du travail, le travailleur fait la totalité du produit. Il passe beaucoup de temps aux différentes phases de la production. Dans ce cas, il s’agit d’un travail caractérisé par un « savoir faire », un produit de qualité, réalisé en petite série, coûteux et réservé aux plus riches. Le mode de production industriel : la division technique du travail, qui se développe au moment de la Révolution

qui a besoin d’une main-d’oeuvre ouvrière nombreuse afin de mener à bien le processus de production à une industrie dans laquelle les tâches liées à la production mobilisent moins de main-d’oeuvre du fait de l’utilisation de robots dans certains cas. La main-d’oeuvre assure des activités de pilotage, de programmation, d’entretien et de surveillance. Cela est valable pour de nombreux secteurs industriels : sidérurgie, construction automobile, construction mécanique… 7 Le premier système technique

valeur culturelle liée au service public, beaucoup plus qu’à l’étranger. Le secteur public recouvre : • Administrations • Entreprises publiques • Etablissement public administratif Réflexion : si l’État détient 30% de l’entreprise Renault, cela fait-il de Renault une entreprise publique ? « Un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) est une structure administrative française régie par les dispositions de la cinquième partie du Code général des collectivités territoriales, regroupant

de la « révolution du rail », constitue le symbole de cette première révolution. Le système « électro-mécanico-chimique » 2 et le moteur à explosion d’Otto, ouvrent l’ère des grandes organisations industrielles, avec leurs patrons mythiques, Ford, Renault, Michelin, Siemens et bien d’autres. C'est ensuite le stade des NTTI (Nouvelles Technologies du Traitement de l’Information), accompagné par le phénomène de la mondialisation, ou troisième révolution « industrielle », (en réalité informationnelle

producteur avec 17 millions de véhicules. Mais son cas est particulier car elle n’exporte que très peu de véhicules et sa production est principalement vendue sur son propre marché. L’Europe occidentale regroupe plus de 30 marques différentes et a produit en 2005 près de 21 millions d’automobile (sur 66 millions de véhicules produits au niveau mondial à la même année). On peut donc dire que l’Europe est un des acteurs principaux du marché. A noter que Renault est une marque française et qui appartient

qualifié de « processus dans lequel un individu influence un autre groupe d’individus pour accomplir un but commun » (G. Northouse*) ou de relation de pouvoir comme « un effort pour créer et maintenir un pouvoir sur les autres » (Barker*). Dans ces deux cas, le leadership est défini au travers de l’interaction entre le leader et ses subordonnés. Par ailleurs, le leadership, en plus d’être un concept évolutif, est un terme polysémique dont le sens varie en fonction de l’environnement politique, économique

I – L’effet destructeur du stress A) Les causes  Il y a un retour en force des caractéristiques du taylorisme comme la parcellisation des tâches et le travail répétitif. Ce dernier concerne près d’un ouvrier sur deux. Le secteur tertiaire n’est dorénavant plus épargné. Les centres d appels illustrent cette extension du taylorisme aux services. C’est également le cas de la restauration rapide telle que McDonald’s ou encore les banques. On voit émerger des modes d’organisation