Les Clauses Contractuelles

faute contractuelle En Droit civil, aujourd’hui en Principe, toute faute même très légère est susceptible d’engager la responsabilité contractuelle du débiteur de l’obligation qui n’a pas été exécutée. Le Cciv a abandonné l’ancienne hiérarchie des fautes qui distinguait la faute intentionnelle (dol), la faute lourde et la faute légère. La nature de la faute commise conserve cependant une importance concernant les limitations de responsabilité qui existent en matière contractuelle. En

texte apparaît comme une exception. 2.Les obligations de moyens ou de résultat. Cette classification sert à engager la responsabilité de celui qui n’exécute pas une obligation née d’un contrat. On va s’en servir en matière de responsabilité contractuelle, selon le type d’obligation, le débiteur est tenu de faire tout son possible pour atteindre le résultat prévu par le contrat, ou bien il peut être tenu de fournir obligatoirement le résultat. Dans le premier cas, lorsqu’on exige du débiteur qu’il

Validation MBA spé.docx 1 MBA spé- Evaluation du module juridique Prévention des risques dans la négociation contractuelle L 'évaluation consistera en une présentation orale, au choix sur un des sujets suivants : -Analyse d’un contrat d’entreprise -Analyse d’une décision de justice dans le cadre la contestation d’un contrat -Une revue de presse sur une affaire judiciaire d’origine contractuelle. La note correspondra à la présentation orale et la réponse à une question de cours posée individuellement

porter secours, c'est une obligation morale.   Est-ce que cette obligation morale a la même force contraignante qu'une obligation juridique, civile, de payer son loyer? Non, car l'une est purement volontaire, tandis que l'autre est civile, contractuelle. A l'égard de l'obligation morale, le droit ne peut rien faire et on ne peut pas être forcé de l'exécuter, alors qu'au contraire, pour l'obligation civile, la contrainte est présente.     Il y a pourtant un cas de figure où le droit est mêlé

sociales vont faire évoluer cette approche. Elles vont changer la done. Le Code Civil ne répond plus nécessairement à la société industrielle qui émerge. On ne veut plus penser que les hommes sont égaux. On comprend aisément que les rapports contractuels peuvent être des rapports de force, d’inégalités, de domination. On comprend que le contrat conçu comme un instrument d’émancipation par les rédacteurs du Code Civil, sous l’influence de la philosophie des Lumières, puisse devenir au contraire

-une harmonisation des droits nationaux au moyen d’une directive européenne -une harmonisation des droits nationaux au moyen d’un règlement -création d’un code civil européen qui se substitue à l’ensemble des législations nationales en matière contractuelle. Au plan international on trouve les principes UNI-droit qui ont été élaborés en 1994 et refondés en 2004, c’est un texte non impératif qui peut servir pour les arbitrages internationaux ou les droits internationaux. Ces

conséquences. D’abord l’obligation était intransmissible. Elle était incessible, il n’y avait pas de circulation possible de l’obligation. L’obligation était très restrictive. La restriction se manifestait de plusieurs manières. Sur le terrain contractuel, en droit des contrats, on ne pouvait conclure que des contrats nommés et on ne pouvait pas sortir du cadre des contrats nommés. Dans le même ordre d’idée, la victime d’un fait juridique n’avait un droit de réparation que si la loi avait expressément

leur litige. Deux possibilités : soit le litige est déjà né, soit on veut agir en amont et prévenir le litige. Lorsqu’il est né : les parties vont s’accorder vers un compromis. Prévention du litige : Les parties vont insérer dans le contrat une clause compromissoire par laquelle à l’avance les parties vont prévoir un éventuel litige. Pour l’entreprise, l’arbitrage est discret, rapide (certaines affaires durent 8 ans dans un tribunal), souplesse, compétence des arbitres. Inconvénient : c’est une

impose une clause de solidarité ou une stipulation contractuelle visant à le protéger si l’un des deux débiteurs fait défaut. Le principe de l’obligation dite conjointe connaît donc deux exceptions majeures que l'on retrouve dans le droit de la location : la solidarité et l'indivisibilité. Il convient par conséquent de se demander si la colocation procure systématiquement une garantie de paiement des loyers ? Il sera donc vu que la colocation peut etre une garantie en présence d’une clause de solidarité

existe aujourd’hui un déclin de ce principe. I – Les conséquences du principe d’autonomie de la volonté. Ce principe se traduit par 2 règles essentielles : * La règle de la liberté contractuelle * La règle de la force obligatoire du contrat A / La règle de la liberté contractuelle. Les individus sont libres de contracter ou pas. Ils sont en principe libres de choisir leurs cocontractants. Cette liberté s’exprime aussi du point de vue du contenu du contrat : en