Les Lois Ferry

députés votent des lois pour créer des écoles pour tous les enfants mais faute de moyens, les lois ne sont pas appliquées. B – Vers l’école obligatoire au XIXème siècle Les progrès de la scolarisation en France Jules Ferry B – Vers l’école obligatoire au XIXème siècle Trace : En 1833, la loi Guizot oblige les communes de plus de 500 habitants à avoir une école primaire pour garçons, les filles devront attendre 1850. En 1881-1882, le ministre de l’instruction Jules Ferry rend l’école primaire

Régime en août 1789 s’est accompagnée de la fin des privilèges ecclésiastiques et de l’affirmation de principes universels, dont la liberté de conscience et l’égalité des droits exprimés par la Déclaration des droits de l’homme. Au XIXe siècle, les lois de sécularisation ont progressivement affranchi l’État de ses liens historiques avec l’Église catholique et créé de nouvelles normes politiques et sociales bâties sur le principe de l’universalisme républicain. Ce processus, qui prenait place dans

principes Républicains. * Citoyenneté Les citoyens à le droit de vote, obéir aux lois de la République. Chaque citoyens est astreins a l’impôt. * Égalité Les hommes naissent libres et égaux en droit. Déclaration des Droits de L’Homme et du Citoyens. Egalite des citoyens devant les lois. L’enseignement doit permettre de promouvoir les meilleurs. Enseignement en masse. En 1880, lois Camille See qui instaure des collèges et des lycées pour les jeunes filles mais l’école

Louis XVI pour Mai 1789. Rébellion des représentants du tiers état, constituent l’assemblée Nationale qui redirige la DHC. – Liberté d’opinions religieuse. B) Jules Ferry était un grand homme politique et exerçait la fonction de ministre de l’instruction sous la troisième république Française. C’est lui qui a créé les lois Jules Ferry. C) 1- Régime politique de la troisième république L’auteur Aristide Briand, député républicains-socialiste. Ce texte est une loi. 2- Séparation de l’église et

(1870 – 1905) Il y a des points communs entre la 5ème et la 3ème République comme la référence aux valeurs démocratiques modernes. Dans les sociétés antiques on se réfère à la vertu. Le principe fondamental des démocraties modernes est le respect des lois. Cette valeur nous, vient du siècle des lumières, malgré des difficultés à s’imposer après la Révolution. De plus il y avait la tentation d’un régime totalitaire. Finalement la 3ème République va s’imposer comme règle de jeu politique. Au début de

républicains réussissent-ils à enraciner la culture républicaine en France? I-/ L’Ecole : un moyen efficace de diffuser une culture républicaine L’école est le principal instrument d’acculturation républicaine. Cette oeuvre est associée à un homme, Jules FERRY (1832-1893), ministre de l’Instruction Publique de 1879 à 1881…et encore après. Il entend mettre au point une école laïque c’est-à-dire neutre par rapport aux doctrines de toute sorte et surtout par rapport à la religion. C’est pourquoi il expose

travail de photographe reporter spécialisé dans le sport et l’aventure dés 1990 et jusqu’en 2002. Il couvrit 5 fois les jeux olympiques. En 1994, il s’installa à New York et collabora avec des magazines américains. C’est avec son confrère Stephen Ferry qu’il réalisa la célèbre photographie de Dolly qui sera diffusée par Arte et une trentaine de chaînes nationales et présentée comme l’une des 100 photographies du 20ème siècle. En 1998, il rentra en France et collabora ensuite avec l’UNESCO en s'inquiétant

conséquent, est une grande motivation pour coloniser plus et avoir accès à plus de ces précieuses matières. Il y avait aussi des hommes qui justifiaient ceci en disant que « Les races supérieures ont le devoir de civiliser les races inférieures. »(Jules Ferry, 1885)[4](Nous allons approfondir plus sur le personnage dans un prochain chapitre). Il est important de savoir que l’idéologie de la colonisation n’es pas venue avant de coloniser, « Les raisons sont forgées en cours et ont servi à justifier, ensuite

s’installe un débat sur la place de l’Etat et de l’Eglise dans l’instruction, qui oppose partisans d’un monopole étatique aux adeptes d’une liberté d’enseignement autorisant les écoles privées religieuses. Ce débat structure le XIXème siècle, les lois scolaires de la troisième République le tranche en partie, mais il ressurgit par moments au long du XXème. I. Contre le monopole de l’Etat, l’Eglise résiste et met en place ses arguments a. Origines de la question de la liberté de l’enseignement

Dans son article premier on y trouvait le contenu de l’instruction primaire : l’instruction morale et religieuse, la lecture et l’écriture, les éléments de la langue française et des notions d’histoire- géographie de la France. L’application des lois Falloux en 1850 donne une part importante à l’église catholique dans le système éducatif français. Le climat était très religieux. La congrégation féminine était en pleine expansion. L’enseignement était alors une instruction morale et religieuse