Les Passions de l'âme

Philosophie – Epicure 1. Présentation du philosophe Né sur l’île de Samos en Grèce en 341 avant J.C., Epicure voit le jour au sein d'une famille athénienne. Il entretient très jeune une passion pour la philosophie, qu'il partage avec son père professeur. Dès 323 avant J.C., il enrichit son savoir auprès de Xénocrate, puis de Nausiphanès. Epicure fonde par la suite plusieurs écoles, dont celle du Jardin, à Athènes. Il y diffuse son savoir et ses conceptions philosophiques qui prendront le nom

celui des passions (acte du corps sur l’âme). La vision dualiste des passions nous sera nécessaire pour le développement (le fait que l’âme + le corps entrent en jeu sur les passions). La passion la plus commune à tous est l’Amour. Cette passion à bien des conséquences. Si l’on prend l’exemple du crime passionnel, on peut voir qu’il s’agit d’une blessure amoureuse poussant l’Homme à accomplir quelque chose dont il n’avait pas idée auparavant. C’est donc le corps qui a dirigé l’âme, ce qui conduit

de chaque être (la fonction qui fait l'organe et non l'inverse). La notion d'âme n'a rien à voir avec celle chrétienne--> âme liée au corps et périt avec le corps. L'âme est le souffle vital du corps humain, cela veut dire qu'elle n'est pas immortelle; les êtres sup ont les capacités des êtres inférieurs. Texte 5 (Aristoste) L'âme est l'aptitude à remplir une fonction. Il y a une hiérarchie du vivant: -Végétative (nutrition, reproduction, croissance) -Sensitive (sensations, besoins, désirs;

préoccupations morales. Bien au contraire, l’existence de s … Définition: VERTU: Platon disait que la vertu est la science du bien ; le vice en est l'ignorance. Il précisera dans La République : "La philosophie a pour but d'opérer la conversion de l'âme, c'est là son rôle principal" (livre VII). Les Grecs n'ignoraient pas que pour changer le monde, il convient au préalable de se changer soi-même, or se changer soi-même relevait préalablement pour Platon du domaine de la pratique de la vertu comprise

La question de l’Âme et du Corps s’est posée il y a des siècles, entre autre par Platon (424 – 348 avant J-C), philosophe grec de l’Antiquité. Ce dernier, maître d’Aristote, s’inscrit dans le spiritualisme, courant qui instaure l’idée de dualisme, c’est-à-dire d’un clivage de la matière et de l’esprit où le psychisme gouverne sur le soma. Par conséquent, c’est dans ce courant que s’installe la Théorie des Idées de Platon. Si bien que le philosophe grec définit l’Âme comme une entité divine et le

jugement, pour ma mémoire, m’aime-t-on, moi ? Non, car je puis perdre ces qualités, sans me perdre moi-même. Où est donc ce moi, s’il n’est ni dans le corps ni dans l’âme ? Et comment aimer le corps ou l’âme, sinon pour ces qualités, qui ne sont point ce qui fait le moi, puisqu’elles sont périssables ? Car aimerait-on la substance de l’âme d’une personne abstraitement, et quelques qualités qui y fussent ? Cela ne se peut, et serait injuste. On n’aime donc jamais personne, mais seulement des qualités

pas conforme à la justice, et agir contre est la pire impuissance. Selon Socrate, il faut mieux subir l’injustice que la commettre. « Le plus grand des maux, c'est de commettre l'injustice ». En effet, il existe deux arts qui se rapportent à l’âme : la législation et la justice. Néanmoins, ces arts sont corrompus à cause de la rhétorique, particulièrement pour la justice et la sophistique principalement sous la législation. Polos en déduit qu’au sens de Socrate les orateurs sont des flatteurs

représentations associées aux évènements dépend de nous, malgré le fait que l'ordre dans lequel ils se déroulent est le fait de Dieu, de la volonté de la nature. Ce qui dépend de nous, c'est l'atteinte de l'ataraxie, de l'absence de troubles et passions, une tranquillité de l'âme, une paix intérieure, que les stoiciens assimilent au bonheur véritable, résidant dans la parfaite maîtrise de nos représentations que le sage stoïcien acquiert au moyen de sa vertu première : la tempérance. Ainsi la théologie et l'éthique

LA PASSION DE LA COLLECTION : SYNTHESE « La passion est la distraction du cœur » comme l’exprimait le Philosophe français Vladimir Jankélévitch. En effet certains lisent, d’autres peignent ou écrivent et d’autres eux se passionnent pour la collection d’objets divers et variés, utiles ou inutiles. Ayant chacun leur propre histoire de vie mais visant le même but, tel que combler un vide, tous éprouvent des sentiments identiques. C’est ce que ce corpus composé de 4 documents tend à exprimer.

forêt et sont recueillis par P. Aubry. Chactas veut se convertir pour épouser Atala mais celle-ci a promis à sa mère de se consacrer entièrement à la religion. Elle s’empoisonne alors déchirée par le choix entre rester fidèle à sa religion et la passion qui s’est emparée de son cœur. Analyse : Il y a de longues descriptions de la nature (//romantisme). Chactas a le mal de vivre, il vit d’infortunes (il est notamment aveugle). « Lutte » des religions : Chactas =>païen. Atala, le père Aubrey =>