Les Prelevements Obligatoires Sont Ils Redistributifs

fois que la politique budgétaire a mené à recourir à l’impôt, le rôle de la politique fiscale consiste essentielle à déterminer les caractéristiques générales de la fiscalité. La politique fiscale rempli trois principales missions : 1- le prélèvement des recettes gouvernementales La collecte de recettes gouvernementales constitue l’objectif principal dans la majorité des systèmes d’imposition. C’est par l’intermédiaire des recettes fiscales perçues par les différents impôts et taxes

de quel niveau l’endettement devient insupportable. Pour Keynes, une réduction du déficit en situation de crise (phase dite « basse » du cycle économique) engendre automatiquement des externalités négatives peu souhaitables. La hausse des prélèvements obligatoires, souvent concomitante avec la baisse des dépenses publiques, freine l’activité et est un vecteur de chômage et de frein à la croissance. Ces restrictions monétaires peuvent avoir lieu, mais seulement lors de la phase haute du cycle économique

revenus et des patrimoines les plus élevés, qui détiennent la dette, qui reçoivent les intérêts, et à qui l’État peut demander collectivement de rembourser la dette, en particulier par l’impôt sur le revenu et l’impôt sur la fortune. L’effet anti-redistributif disparaît alors. Le pouvoir d’influence des différents groupes sociaux est donc au cœur de l’arbitrage politique et social qui apparaît si l’État se donne comme objectif d’aboutir à une dette nulle. Mais l’État n’est pas un ménage. Immortel, il

Derrière les formes ouvertes ou rampantes de sécessions et de séparatismes, il y a le déclin de la confiance et l'effritement de la démocratie-société. Derrière le recul de la solidarité, il y a la sourde délégitimation de l'impôt et du principe redistributif. Et derrière l'individualisme, il y a, à l'inverse, la recherche d'une existence personnelle enrichie et libérée. Ce sont ces réalités qu'il faut prendre à bras-le-corps si l'on veut aller loin dans les réformes. Dominent aujourd'hui deux passions

répartition donne à chacun des agents économiques des revenus, lesquels sont très variables. Dans un souci à la fois sociale et économique, l’approche keynésienne, approche qui est moins libérale, va réduire ces inégalités, en effectuant des prélèvements obligatoires sous formes d’impôts et cotisations sociales. Lesquelles vont être en parti reversés sous formes de prestations sociales aux agents économiques dont le patrimoine, ressources sont plus faibles. L’économie avant tout, a pour mission de

travailler. On constate donc une égalité des fortunes et des intelligences. Chacun peut avoir accès à la réussite et à l’aisance. L’éducation sera vite à la portée de tous contrairement à la France où il faudra attendre 1881 pour qu’elle devienne obligatoire et gratuite avec J. Ferry. Remarques : -Tocqueville a énoncé un paradoxe : ce sont les sociétés les plus démocratiques et les plus ouvertes (mobiles) qui favorisent le plus le mécontentement et la frustration. En effet, dans ces sociétés, les

admettre des contours beaucoup plus larges. Protection sociale ne rime pas avec sécurité sociale. La PS est beaucoup plus large que la SS. Il existe 5 grands régimes en matière de PS : → Les régimes d’assurance sociale : concernent tous les régimes obligatoires, imposés et contrôlés par les pouvoirs publics. On regroupe dans ces régimes d’une part les régimes de sécurité sociale qui vont venir fournir la couverture de base en matière de maladie, de maternité, d’invalidité, d’accident du travail, vieillesse

représentait environ 12% du PIB. Mais ça n'a pas tenu à causes des phénomènes tels que les crises et les guerres qui ont entraîné une forte croissance des dépenses de l'état, et cette augmentation ds recettes de l'état à travers augmentation des prélèvements obligatoires. La doctrine de la neutralité sur l'économie à été battues brèche par la défaite. L'équilibre naturel terrorisé par le courant libéral n'a pas résisté aux événements. Ainsi le budget est devenu au fur et à mesure un instrument d'intervention

des conseils relève de la démarche normative. On peut aussi se demander pourquoi les recommandations des économistes diffèrent : * il existe toujours des désaccords scientifiques * les décisions économiques ont souvent des effets redistributifs : certains agents vont gagner aux mesures économiques tandis ce que d'autres vont y perdre : le choix d'une politique dépend alors du système de valeurs auquel on appartient (ex: cmt va-t-on faire par rapport à la dette publique => riche ou

publiques représentaient +12% de la production intérieur brute, cependant on assiste à une augmentation des dépense dû au phénomène exceptionnel tel que les crises économiques et la guerre entrainant par ailleurs une augmentation des dépenses obligatoires (impôts taxe). La neutralité des finances publiques a été battue en brèche par la pression des faits. L’équilibre naturel théorisé par le courant libéral (défendu) n’a pas résisté aux événements (1ere guerre mondial crise de 1929, 2nd guerre