Les Ressources Et Compétences De Benetton

La stratégie d’impartition peut se définir comme une politique de coopération entre plusieurs partenaires disposant de potentiels complémentaires et désireux de concrétiser une synergie latente, réalisée sous forme de mise en commun de leurs compétences propres. Remarque: Lorsque des entreprises s'associent tout en restant indépendantes, il s'agit de stratégies d'impartition. Lorsqu’au contraire elles se regroupent, il s'agit de stratégies d'intégration. II. Les Modalités de stratégies

toujours dans un stade précaire. Enfin, si la PME a été gérée efficacement, elle devient profitable et passe à un stade d'expansion. structure organisationnelle Le succès d'une entreprise ne répond pas seulement sur la qualité du personnel ou les compétences du dirigeant. La structure organisationnelle joue un rôle important au sein de l'organisation. Une structure organisationnelle bien établie permettra à une entreprise de mieux coordonner ses actions, à simplifier les tâches de chaque employé, à

voiture) 3. Sentiments Différenciation uniquement sur les caractéristiques tangibles des produits-services se révélent souvent impossible. Pression publicitaire massive => passivité des récepteurs de la pub => une faible allocation des ressources cognitives => difficile de faire différence avec les concurrents. Objf : utilisation émotion pour attirer l’attention + déclencher des réactions affectives de l’audience. * Créer une attitude envers l’annonce, la marque. 4. Automatisme

d’épargne ? » PLAN INTRODUCTION GENERALE DEVELOPPEMENT I- EPARGNE : RESSOURCE FONDAMENTALE DU SECTEUR BANCAIRE 1- Epargne et réglementation bancaire • Loi n°2001-65, article 2 • Loi n°2001-65, article 6 2 – Ressources bancaires et épargne • Les fonds propres et quasi-fonds propres • Les dépôts à vue • Les comptes épargne 3- Adéquation Ressources - Emplois • Le crédit • Les règles prudentielles, ratio

|Militaire |Entreprise | |Économie de moyens |Répartition des moyens suivant l’efficacité de |Allocation optimale des ressources (rentabilité | | |l’action |des investissements, productivité) | |Rapidité |Prendre l’ennemi de cours

administratif et financier ©Obabeau2003 Les caractéristiques caractéristiques spécialisation par fonction forte centralisation avantages  clarté / simplicité  économies d ’échelle limites  esprit de paroisse concentration compétences et moyens  première structure des PME  structure de l ’entreprise monoproduit  structure de l ’entreprise intégrée unités orientées vers tâches peu coordonnées  lourdeur d ’un flux découpé  surcharge de la DG ©Obabeau2003 La structure

Exercices de synthèse 131 123 Références 132 Étude de cas - Jurassic Toys 134 3 La capacité stratégique 3.1 Introduction 139 3.2 Les fondements de la capacité stratégique 141 3.2.1 Les ressources et compétences 142 3.2.2 Les capacités seuil 143 3.2.3 Les ressources uniques et les compétences fondamentales 139 145 3.3 La réduction des coûts 145 3.4 Les capacités stratégiques et l’avantage concurrentiel 151 3.4.1 La valeur des capacités stratégiques 151 3.4.2 La rareté des capacités

de proximité, ajustement mutuel, plus grande implication des hommes) - meilleure satisfaction de la demande, offre sur mesure notamment en matière de service lié. 2) Mais aussi d'importantes faiblesses -> manque de moyens (financiers, compétences, technologies) ; -faiblesse de l'investissement, de la R&D, du marketing et de la communication, des exportations ; - vulnérabilité à la conjoncture ; - dépendance à l'égard de l'environnement (clients concentrés, pouvoir de négociation des

structure. Dans cette conception, la création de valeur résulte des choix structurels faits par l’entreprise. Comme il n’existe pas de structure idéale, ces choix structurels doivent être faits en fonction des objectifs, de l’environnement et des ressources de l’organisation. B. les facteurs d’inefficacité de la structure dans la création de valeur • Développement de coûts cachés (Zardet et Savall) = dysfonctionnements et erreurs de gestion Pour Savall et Zardet, L'entreprise ou l'organisation

constante augmentation accentue les effets négatifs sur le déficit, o la progression constante des dépenses de l’État empêche d’améliorer la situation financière, o le déficit chronique de l’État depuis la fin des années 70 ne permet pas de dégager des ressources complémentaires pouvant diminuer la dette. b) Montrer que la relance de la croissance par l’emprunt et l’inflation peuvent stabiliser ou réduire la dette. (2 points) La croissance se mesure à l’aide du PIB et traduit une situation positive