Les Vanités Peinture

intervenir une morte, plusieurs fois. Il évoque continuellement la mort, comme un monde « non étanche » à l’image de la barque de SC. Il met ce thème en relation avec l’art du XVIIe siècle, fortement orienté vers la conscience religieuse de la mort : les vanités, les « tombeaux », la musique des « Ténèbres ». Pourquoi ? Est-ce pour lui seulement une manière d’évoquer le grand siècle ? mais nous savons qu’il ne s’agit pas d’un roman « historique », plutôt d’un roman qui réfléchit à la figure de l’artiste,

quelle mesure cet étrange classement est susceptible, malgré les apparences, de représenter une organisation de la pensée pascalienne. C’est une partie de ce travail que nous voudrions amorcer ici, en nous limitant à un premier ensemble de liasses : “Vanité”, “Misère”, “Raison des effets”, “Grandeur”, “Contrariétés”. Dans la table (asymétrique) des titres que donne le fragment 1 (éd. Sellier), tous ces dossiers appartiennent à la première colonne, c’est-à-dire, celle qui regroupe, avant le développement

littéraire : la déclaration d’amour à la femme aimée sous la forme d’une vanité. Ce motif a été très utilisé par les poètes de la Pléiade (Humanisme du XVIe siècle, Renaissance). Ainsi, on peut immédiatement songer à l’intertexte de Ronsard, « Ode à Cassandre » dans Les Amours. Ainsi, le propos semble le même : la femme aimée doit voir sa propre image future dans la décomposition de la nature : c’est le principe de la Vanité (le spectacle du monde n’est montré que pour mieux faire apparaître le néant

temps qui passe et faire de l’objet observé le miroir de cette femme destinée, comme tout être, à mourir. Ainsi, le propos semble le même : la femme aimée doit voir sa propre image future dans la décomposition de la nature : c’est le principe de la Vanité (le spectacle du monde n’est montré que pour mieux faire apparaître le néant à l’œuvre, la mort qui vient inévitablement (cf. portrait de Mme de Restaud dans Gobseck). > On peut diviser le texte en différentes parties : - v.1- 4 : adresse à la femme

la nature elle-même mais Dieu est le réparateur. Par cet ouvrage, il veut mettre un terme à la corruption des libertins. Liasse II, III ,IV et V Liasse de II à VII = peinture de l'Homme, l'Homme sans Dieu Liasse I fragment 12 = "vénérable parce qu'elle a bien xonnu l'Homme", double nature de l'Homme Liasse II, III et IV = vanité et misère de l'Homme, soumission à l'apparence = ennui, angoisse Liasse V, raison des effets = la cause de ces effets est la société humaine réglée par la concupiscence

DIDAPAGE 1 Le manuel Belin 1 ère propose une séquence sur les Sonnets pour Hélène. 1 Nouveaux programmes de première. Proposition de séquence pour une première S  Histoire des arts : la Renaissance et l’influence italienne en poésie et en peinture « liens entre la poésie et les autres arts (en particulier musique et les arts visuels, dans le cadre d’un mouvement esthétique particulier). On privilégie les mouvements revendiquant un renouveau esthétique. (Renaissance, baroque, surréalisme)

Nature informe. Rime « pourriture » / « grande Nature » >>> Ironie : vocabulaire mélioratif + hyperbole (« rendre au centuple ») pour décrire la mort, la charogne, le cadavre putrescent. V.13-16 : répétition du même motif. Thème de la vanité. V. 13 : « le ciel regardait ». Personnification + verbe de perception visuelle. La charogne devient spectacle. Ironie. « Carcasse superbe » (nouvelle périphrase macabre : oxymore, rapprochement du laid,

littérature, la musique et le cinéma. Outre des commentaires compara tifs, obligatoires entre oeuvre romanesque et oeuvre filmique, on sera donc en mesure d'attendre du candidat qu'il aborde absolument au gré de son développement la m u siq u e et la peinture. Une troisième expression artistique, même si elle fait l'objet d'une simple allusion, sera la bienvenue : · Le cinéma, art de l'image, intègre aussi la photographie (Yves Angelo, chef-opérateur, a réalisé un remarquable travail de photographe).

sa famille b) le riche : un antimodèle La richesse n'est pas critiquée en tant que telle : seulement car elle mal employé (égoïsme). Le riche vie dans le superflux et l'excès et ne dépense que pour son plaisir «brillants festins» montre sa vanité : il veut briller en exposant ses richesses il ignore son prochain : il et ses frères connaissent Lazare (son prénom et son visage) mais il ne l'aident pas et ne lui parle pas mort à cause de sa situation sociale sur Terre il instrumentalise les

Florence. Ce terme vient du portugais « barroco » qui signifie « perle irrégulière ». Le baroque est d’abord un terme négatif : au figuré, il signifie « bizarre », « extravagant », « sans valeur ». Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture, théâtre et musique et se répand rapidement dans la méditerrané toute entière. Ce style succède à la Renaissance. Contexte historique : Le baroque se développe dans un contexte politique instable : En France, le pouvoir