Les Vertus Citoyennes

biens. La citoyenneté La notion de citoyenneté dérive du terme « citoyen » qui vient du latin civis, celui qui a droit de cité.  La citoyenneté est l'état ou la qualité de citoyen. Elle permet à un individu d'être reconnu comme membre d'une société, d'une cité dans l'Antiquité, ou d'un Etat aujourd'hui, et de participer à la vie politique.  La citoyenneté est le statut juridique qui permet à un individu de devenir citoyen. La citoyenneté donne accès à l'ensemble des droits politiques, tout

donc avoir une tendance naturelle à s’associer pour s’achever en tant qu’être de besoin et de manque. Celui-ci va donc être compris dans une communauté. Une communauté est un type qui a pour fin un certain bien ; elle est constituée de plusieurs citoyen. Il va ainsi décrire le processus de constitution de la cité sur un modèle génétique d’extension. Il part du foyer qui se caractérise par 3 relations : -relation homme/femme=union naturelle pour la finalité qui est la procréation. -relation

gouvernement et les lois des États-Unis d’Amérique (1784). Sa notoriété sera plus importante lors de la Révolution, quatre ans après sa mort, grâce notamment à ses œuvres publiées à titre posthume comme Des droits et des devoirs du citoyen écrit en 1758 et publié en 1789. L’extrait étudié provient de son ouvrage Observations sur le gouvernement et les lois des États-Unis d’Amérique , dernier ouvrage publié avant sa mort compilant notamment ses

pour autant vouloir l'imiter. Le caractère révolutionnaire de sa pensée c'est d'expliquer d'une nouvelle manière la grandeur de Rome. Les tenants de l'humanisme civique florentin expliquaient la grandeur de l'Etat par la fortune (le hasard) et les vertus de la discipline, de la loi militaire. Par exemple, Sparte a dut sa grandeur à l'arrivée de Lycurgue, un homme hors du commun qui a mit en place une constitution mixte, célébrée comme un modèle de tempérance et d'harmonie par les auteurs du quattrocento

La liberté d'expression face à l'injure et à la diffamation La loi accorde des libertés mais définit également des limites pour les garantir. Les citoyens, même s’ils disposent d’une liberté d’expression très étendue en vertu de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, ne peuvent toutefois pas s’exprimer au détriment de tiers. Il existe notamment ce que l’on appelle des « délits de presse » soumis au régime de la loi sur la Liberté de la presse du 29 juillet 1881, qui engagent la responsabilité

présent et de l’avenir de la société civile. La politique est donc l’art d’institutionnaliser les procédures, les lieux et les moments qui permettent aux individus d’une même société de prendre en charge leur destin collectif. En ce sens, on appellera citoyen l’individu à qui l’on reconnaît le droit et à qui l’on accorde les moyens de faire de la politique. La politique n’est pas en ce sens propre à la nature humaine. Les hommes ont en effet déjà appris à vivre ensemble sur un même territoire sans faire

l'Asie Mineure entre la Troade et le fleuve Hermos sur le golfe de Smyrne, 2 piliers de marbre mesurant 1,97 m et 2,40 m portant des inscriptions sur les deux faces. Il s’agit en fait d’une série de 8 décrets émis par la cité en l’honneur d’une citoyenne, Archippè, fille de Dikaiogénès. Les 2 pilastres étaient certainement surmontés de 2 blocs, aujourd’hui perdus portant d'autres inscriptions en l'honneur d'Archippè. 2 hypothèses sont retenues par les historiens pour savoir où ils se situaient. La

garant de l’institution politique en ce qu’il trace le cadre d’exercice du jeu politique et lui donne une force obligatoire et une certaine opposabilité à tous les citoyens de la société dans laquelle il devra s’appliquer. Le droit est donc toujours et nécessairement lié à l’Etat dans une conception pure du droit [Hans Kelsen] en vertu de laquelle, il y a entre le droit et l’Etat, une sorte de consubstantialité, la coercition étant de ce point de vue l’essence même de l’Etat et du droit, même

est relatif à la morale. Or, la morale est propre à chacun et définit les vertus des hommes. La justice est, pour Aristote, une vertu (A), cependant il envisage la justice selon différentes sortes de vertus (B). A. La Justice comprise comme vertu La vertu comme étant une disposition qui va rendre l'âme plus humaine et ses actions bonnes, il existe alors un parallèle entre le juste et le bon. Il souligne le fait que La vertu est un choix libre, c'est-à-dire que c'est l'homme, lui-même, qui détermine

sociale d’éducation », qu’elle fasse plaisir aux parents en leur faisant croire qu’ils « font partie de la communauté éducative », qu’elle fournisse des travailleurs qualifiés, qu’elle donne aux jeunes « le goût d’entreprendre », qu’elle forge des citoyens, qu’elle initie au développement durable, qu’elle informe sur l’engagement et y incite, etc., on porte atteinte à son essence. Ce sont des fins secondes, non seulement accessoires, mais, pour plusieurs d’entre elles, contraires aux fins fondamentales