Lévirat

dans toutes les sociétés patriarcales, le mari dispose d’une forte autorité maritale, autorité paternelle. Mais la bible prescrit aussi que l’enfant doit aussi honneur à ses parents. Le droit hébraïque connait une institution curieuse qu’est le Lévirat : elle obligera la veuve sans héritier à épouser un proche parent de son mari, afin de favorisé le lignage. La situation de la femme parait inférieure car elle n’a pas le droit de divorcer, mais elle a cependant une capacité juridique, elle peut

la famille. Les vertus dominantes sont l'endurance, la force, la solidarité. Le milieu est si dur que les hommes et les femmes développent un sens d'orientation extraordinaire. La vengeance est aussi développée dans cette partie du Tchad. Le lévirat fait partie du Code de la famille. Comme le milieu hostile produit une personnalité et un caractère hostile, les hommes développent, la bravoure, la conquête, la vengeance, l'agressivité etc. Cette culture tchadienne n'est pas le propre du Nord

l’important flux de migration, l’étendue de la pauvreté, la plus grande vulnérabilité économique et sociale des femmes, la stigmatisation et la marginalisation des personnes et des familles affectées et enfin les pratiques socioculturelles à risques (le lévirat). 60. L’épidémie du VIH/SIDA affecte négativement tous les secteurs de l’économie par la réduction du temps de travail, la perte en main d’œuvre qualifiée et l’augmentation des coûts direct et indirect. La pandémie a aussi des répercussions

partie du droit patrimoniale, la polygamie fus connu a cette époque puis la monogamie. Le mari dispose d’une forte autorité maritale mais la bible fonde un égal respect entre le père et la mère, ce qui est novateur pour les textes de l’antiquité. Le « lévirat » est l’obligation pour la femme veuve d’épouser le frère se son mari notamment lorsqu’elle n’a pas eu d’enfants avec son mari afin de permettre la perpétuation de la lignée. La situation de la femme parait inférieur, en effet elle n’a pas le droit

ou d’ovule ou bénéficier du transfert des ovocytes fécondés d’un autre couple qui a renoncé à son projet parental. On pourrait y voir une forme totalement renouvelée, élargie et surmédicalisée d’une vieille coutume codifiée par le Deutéronome - le Lévirat – qui obligeait le cadet à épouser la veuve de frère s’il était sans descendance pour que le premier né de l’union puisse continuer le nom du défunt. C’est parce qu’il avait refusé cette coutume en jetant sa semence par terre qu’Onan fut foudroyé

contact, même oral, et surtout interdiction de porter le deuil les uns pour les autres, sont plus graves lorsqu'il s'agit du frère cadet et de la belle-sœur aînée, et cependant on constate des survivances significatives du lévirat : tantôt l'aîné passe au cadet une femme qui lui a été offerte, tantôt le cadet, qui veut substituer son pouvoir à celui de l'aîné défunt, cherche d'abord à séduire et à épouser sa belle-sœur aînée (841). Il faut donc voir dans les interdits qui

dit à Onan : Va vers la femme de ton frère, prends-la, comme beau-frère et suscite une postérité à ton frère*. 9 Onan, sachant que * Ici la Traduction du Rabbinat français dit avec plus de précision : Epouse la femme de ton frère en vertu du lévirat, afin de constituer une postérité à ton frère. 27 cette postérité ne serait pas à lui, se souillait à terre lorsqu’il allait vers la femme de son frère, afin de ne pas donner de postérité à son frère**. 10 Ce qu’il faisait déplut à l’Éternel

acte, la première étape du mariage, si la femme a des relations avec un autre que son fiancé, elle est réputée adultère. Si cette première étape a été trouvé et que dans l’intervalle de 12 mois le futur mari meurt la femme va être contraire au « lévirat », qui est un type particulier de mariage dans lequel une veuve épouse le frère de son mari mort afin de poursuivre la lignée. Cette première étape ressemble alors à des fiançailles. Cette première étape, qui est un accord entre les familles, si on

onéreux ou autrement »205. La troisième pratique prohibée veut que la femme peut, à la mort de son mari, être transmise par succession au frère de son mari ou à un autre membre de la famille de son mari défunt. Cette coutume, que l’on appelle le « lévirat », implique que la femme se remarie automatiquement à l’un des membres de la famille du défunt. 113. Compte tenu du lien étroit qui existe entre ces trois formes de condition servile et la pratique répandue du mariage forcé, les États parties à

une fois déterminé l'ordre selon lequel se déroulent ces stades, il nous reste à essayer de définir quelles sont les influences qui provoquent le passage d'un stade à un autre. Robertson Smith pensait, comme McLennan avant lui, que la coutume du lévirat confirme l'hypothèse selon laquelle la polyandrie, dans une société 1 2 Kinship and marriage in early Arabia, 1885. The Origin of Civilisation, 1870. E. E. Evans-Pritchard (1950) Anthropologie sociale 26 donnée, était pratiquée à une