Lexicalisation

MAIS si, très = mots grammaticaux, bien dans certains emplois, etc. Mots grammaticaux - Déterminants MAIS déterminants complexes (une foule de, etc.) = lexical - Conjonctions MAIS locutions conjonctives (ex. à condition que etc.) - Pronoms MAIS lexicalisation possible (ex. le Je, le Moi) - Prépositions MAIS locutions prépositionnelles (ex. au sein de, au cœur de, au milieu de) => Continuum lexical/grammatical + emplois lexicaux/grammaticaux (ex. bien)« Dans le cas de bien par exemple, ce découpage

(1986) propose un cadre théorique séduisant qui permet de comprendre le rôle des ‘CLF’ en tant qu'outil d'“apprehension” linguistique des objets. Ils situent les ‘CLF’ à un point du continuum allant d'abstraction (par nominalisation) jusqu'à la lexicalisation (par nom), dont l'épistémologie est proche de celui de Guillaume (1964). 4 : Cette position semble être aussi la position de Le Guern (1984, 1991,1994) qui propose clairement la nécessité de distinguer le niveau des ‘N’ et celui des ‘NP’ pour

transversale à l’échelonnement des séquences sur l’axe des degrés de figement. d. variations et failles dans le chaînage : la plasticité du signifiant La neutralisation de la variation formelle est l’une des caractéristiques de la lexicalisation. En règle générale la lexicalisation est acquise de manière concomitante à la dénomination. Des variantes existent néanmoins, mais en nombre restreint (et circonscrit), inscrites dans des paradigmes clos, touchant le plus souvent la gémination des consonnes, l’accentuation

et la clarté du ciel se profile bien la figure du destinateur de la /Vie/, à cette différence près qu’il n’est présent dans l’espace d’en haut que sous la figure de la lumière, car les « feux » qui brillent là-haut ne représentent, malgré leur lexicalisation, que le paraître du destinateur vital, alors que, dans l’espace d’en bas, il est présent, comme nous allons le voir dans un instant, non seulement comme chaleur, mais aussi comme lumière. On nous objectera que le jour se trouve investi dans notre

totalité de ces informations, concerne des caratéristiques de la combinaison syntagmatique des objets entre eux. Ainsi, on peut dire qu’une partie de la grammaire formelle est contenue dans le lexique lui-même, et c’est que que l’on apelle la lexicalisation des grammaires. Ça a pour intérêt de permettre de représenter les informations de ce type, mais qui sont spécifiques à chaque unité lexicale, directement à l’intérieur de ces unités. Mais ça a aussi pour conséquence de donner des descriptions lexicales

consiste dans dans la transformation d’une séquence phrastique en un syntagme nominal. 1. L’unité syntagmatique verbale du point de vue transformationnel Précisément, l’incapacité des critères formels à render compte du phénomème global de la lexicalisation des unités syntagmatiques verbales doit conduire à recherché ailleurs la source. On doit s’interroger sur le rôle respectif de l’élément verbal et de l’élément nominal dans ce type d’unité. Si l’on compare les duex phrases : 1. il termine

entraîne des « cassures » de l’ADN. (Ameisen, 1999 : 204) Dans certaines situations, nous pouvons dompter l’ADN (Kupiec & Sonigo, 2000 : 215 ) (14) (15) (16) Lorsque l’on examine les 590 énoncés de ces deux corpus on observe que les lexicalisations des enfants ainsi que les productions des adultes mettent au jour une organisation du lexique des verbes selon une proximité sémantique qui peut s’expliciter principalement en termes de co-hyponymie inter-domaines entre verbes. Ainsi, par exemple

locutions prépositionnelles : Elles sont souvent issues du figement : - d’anciens GP dont le nom était lui-même développé par un autre GP (ex : (à) faute de grives, on mange des merles ; à force de, par rapport à, à côté de, au lieu de, etc.). La lexicalisation se repère par l’impossibilité de modifier le nom appartenant à la locution prépositionnelle : A l’aide de cet instrument / Avec l’aide si efficace de Paul. - d’adverbes à complément prépositionnel (loin de, conformément à, etc.) - des propositions

l’explicitation du perçu pris pour indice et effleure à peine l’ouverture de la phase calculatoire, alors que le français, automatiquement et inévitablement, précipite le perçu dans le calcul conceptualisateur dès le niveau le plus précoce de la lexicalisation de la notion de procès. C’est tellement vrai qu’il n’existe même pas de vocable simple permettant de se contenter de décrire une prise de hauteur sans implications extérieures à la vision même comme le fait rise. Se lever est plus que descriptif

reliant l’énoncé à un verbe de communication ou de pensée. Le discours indirect est marqué par la transposition des temps et des modes, par la transposition des déictiques (ici > là, aujourd’hui > ce jour-là, hier > la veille), par la lexicalisation des interjections. Le discours indirect donne un effet d’éloignement, d’abstraction. Le discours indirect-libre Le discours indirect libre superpose deux instances d’énonciation, deux voix en une seule : la voix qui rapporte les discours se