Libre-pensée

l’on veut ? i.e. penser n’importe quoi ? Confusion fréquente : « libre de nos opinions » Þ la liberté d’opinion Þ la liberté d’expression. On peut peut-être assimiler liberté d’opinion et liberté d’expression mais à condition que l’opinion désigne l’opinion publique ! Or dans le sujet proposé, il s’agit de « nos » opinions et non pas de l’opinion publique. 1ère Remarque : De plus, la question de savoir si l’opinion publique est libre c’est-à-dire si elle jouit de la liberté d’expression donne lieu

peut-on avoir lopinion que lon veut i.e. penser nimporte quoi Confusion frquente libre de nos opinions ( la libert dopinion ( la libert dexpression. On peut peut-tre assimiler libert dopinion et libert dexpression mais condition que lopinion dsigne lopinion publique Or dans le sujet propos, il sagit de nos opinions et non pas de lopinion publique. 1re Remarque De plus, la question de savoir si lopinion publique est libre cest--dire si elle jouit de la libert dexpression donne lieu un faux problme

Dés le XVIIe siècle, les avancées majeures de la physique ou connaissance de la nature selon Descartes, qui petit à petit percent au grand jour les lois naturelles, ont aussi leur impact sur la pensée philosophique; il semble peu concevable, si des mécanismes aussi grandioses que la révolution des planètes sont totalement déterminés, qu’il n’en aille de même pour les actes de l’homme. De fait, la considération de sa liberté en est douloureusement restreinte, parfois anéantie. Pourtant cette liberté

termes méritent d'être clairement définis : la notion de choix et l'expression "celui qu'on est". Dans le choix, ce qui est en cause c'est la notion de liberté, est ce que ma liberté est à l'origine de qui je suis? Si l'homme comme conscience est libre, pourquoi les hommes ne feraient pas librement leur histoire? "Celui que je suis" represente "ce que j'ai voulu être" à partir de ce que j'étais sois mon "être", mon essence (ce qui veut dire qu'il y'a quand même un espace temps avant de devenir celui

désormais sans autorité suprême qui lui dicte ce qu’il doit faire, l’Homme suivrait à la fois son intérêt particulier et la volonté générale. Il serait ainsi son propre gouverneur et égal à tout autre Homme. Une société sans Etat : qui n’y a jamais pensé, au moins de façon frivole ? L’idée de disparition de l’Etat revient en effet souvent chez l’Homme, le jugeant soit injuste, soit trop stricte ou encore totalement illégitime. Si l’on peut effectivement penser une société sans Etat, il est impossible

Penser par soi-même. Opinion: opinare: croire. Pas justifié/argumenté/fondé. Ce que l’on admet de manière irréfléchi dans être capable de le justifié ou de l’argumenté. - Avoir une pensée originale # pas par soi-même. Penser par soi même : se n’est pas nécessairement penser original mais savoir ce que l’on dit et pourquoi. - Le raison : philo-discours rationnel # religion Philosophie # science Points communs : discours rationnel, ou ont ne se contente pas des opinions. Préoccupation commune

d'inconscient. C'est pourquoi nous pouvons nous demander si « l'existence de l'inconscient est-elle compatible avec la liberté ? » Or, l'inconscient et la liberté sont opposés étant donner qu'il faut tout d'abord être conscient afin de pouvoir être libre. L'inconscient nous empêche t-il d'être libres ? Sa connaissance peut-elle nous en libérer ? En quoi la prise de conscience des déterminations qui pèsent sur nous peut elle nous en libérer ? Pour commencer, on doit se demander ce que signifie l'inconscient

à être libre. Ils nous sortent de notre « obscurité » pour nous amener à la lumière. Ils sont le prisonnier libéré, l’initié de la caverne de Platon, libres eux-mêmes mais voulant l’apporté aux autres. Pour eux l’homme est fait pour être libre. Pourtant comme dans l’œuvre de Platon, les hommes refusent cette aide et restent dans leur ignorance. Prenons l’exemple de Socrate qui fut mis à mort pour cette idée de liberté. Certains même se trompent sur l’idée d’être libre et se croient libre. Pouvons-nous

1786 ; un prince « éclairé » ; il défend les intellectuels ( ≠ de l’obscurantisme antérieur). Idées : apogée du mouvement des Lumières (mouvement de vaste portée : politique, philosophie, religion, etc.) ; ce mouvement signifie : libération de la pensée, progrès des sciences, progrès du genre humain (toutes les dimensions sont liées : penser au projet de l’Encyclopédie – d’Alembert et Diderot). Le texte est à situer dans le mouvement qui va aboutir à la Révolution française. Réflexion préalable

qu’eux-mêmes usent d’une Raison libre, pour qu’ils ne luttent point de haine, de colère ou de ruse, pour qu’ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l’Etat est donc en réalité la liberté. Nous avons vu aussi que, pour former l’Etat, une seule chose est nécessaire : que tout le pouvoir de décréter appartienne soit à tous collectivement, soit à quelques-uns, soit à un seul. Puisque, en effet, le libre jugement des hommes est extrêmement divers, que chacun pense être seul à tout savoir