Libre-pensée

être le plus puissant de la planète terre, à un vulgaire animal? Bref, c’est l’avis des gens de l’époque. Ceux-ci qui étaient habitué à l’optimisme de Jean Jacques Rousseau ont été bien déçus. En effet, selon ce philosophe, l’humain serait un agent libre, donc, seul être sur cette terre, capable de résister au besoin. Jean Jacques Rousseau, célèbre philosophe du dix-huitième siècle, est convaincu que l’homme est un être naturellement bon. En effet, à l’état de nature, l’humain ne se contente que

Commentaire de texte : philosophie Nous sommes en présence d’un texte intitulé « Les conditions sociales de l’action libre ». Celui-ci est extrait d’un manuel de philosophie dont le titre est « Penser par soi-même ». Le thème de ce texte nous invite à la réflexion quant à l’idée de la liberté, plus précisément de l’action libre du sujet humain. La liberté est communément définie comme la capacité d’agir, de penser et de s’exprimer selon ses propres choix. Celle-ci est génératrice cependant de

La pensée est une faculté humaine qui permet la réflexion et l'imagination. La notion de pensée libre a commencé à intéresser les hommes dans l'antiquité, puis pendant le siècle des Lumières d'où en déboucha la déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789 qui stipule << nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leurs manifestation ne trouble pas l'ordre établi par la loi >>. Alors, on en vient à se demander, l'homme est-il capable d'avoir ses

 « Il n'y a de pensée que dans un homme libre; dans un homme qui n’a rien promis, qui se retire, qui se fait solitaire, qui ne s'occupe point de plaire ni de déplaire. L'exécutant n'est point libre; le chef n'est point libre. Cette folle entreprise de l'union les occupe tous deux. Laisser ce qui divise, choisir ce qui rassemble, ce n’est point penser. Ou plutôt c'est penser à s’unir et à rester unis ; ce n’est rien penser d'autre. La loi de la puissance est une loi de fer. Toute délibération

débilité du nouveau-né, néoténie humaine ; la santé et la maîtrise de son corps sont constamment présupposées dans tous nos actes moraux (la vie soutient la pensée sans la déterminer de manière réductive, il y a là le type même d’une condition ). De là ceci que la liberté s’éprouve d’abord comme une certaine force : un être faible n’est pas libre de ses actes. Il y a un sens moral de la dépendance physique, elle doit être dépassée afin d’accomplir notre autonomie (sous ce rapport, le handicap est bien

Suis-je le sujet de mes pensées ?   Proposition de traitement par M. Quesseveur, TS2, Saint-Cyr, 2011-2012.   L'égoïsme, terme apparu au XVIIIe siècle et formé sur le latin ego – moi, sert dans la vie de tous les jours à désigner une personne « qui ne pense qu'à elle », ''qui ramène tout à elle'', ''qui ne pense pas aux autres'', ''qui ne partage pas''. Mais désigner ainsi l'égoïsme, est-ce considérer l'égoïste comme une personne incapable de penser à autre chose qu'à elle même? Une personne incapable

suis ? sans me connaître ? - On développe ce pb autant qu’on peut : ça s’appelle une problématique : puis-je être à la fois conscient, par la capacité de penser qui est en moi, et donc savoir avec certitude que j’existe et me saisir par la seule pensée et être en même temps dans l’ignorance de moi-même, càd de ce que je suis  véritablement ? Alors, dans ce cas, je m’ignorerais moi-même tout ayant conscience d’être quelqu’un d’unique, moi, distinct des autres et du monde dans lequel je vis , ayant

« réellement » correspond à cette image que j’ai de moi. Cette image est-elle vraie et complète ou incomplète voire fausse ? Le « cogito » cartésien disant « je pense donc je suis » ( cogito ergo sum) est pour Descartes la première vérité absolument certaine. On ne peut en effet en douter sans la prouver, car si je doute, je pense et si je pense, je suis. Il est alors possible d’opposer ce qui est en nous conscience spontanée et ce que nous sommes vraiment. Parlons tout d’abord de la conscience de

scientifiques d’une manière affirmative où le sujet est bien évidemment la conscience. Bergson ne nie pas le rôle du cerveau, au contraire il affirme que c’est par l’intermédiaire du cerveau que la conscience travaille. Pour lui, il y a primauté de la pensée sur le cerveau. Il affirme pourtant qu’un scientifique ne pourrait rien apprendre sur la conscience à travers l’étude du cerveau. L’erreur des scientifiques est d’avoir une approche trop réductrice qu’on pourrait qualifier de moniste et plus précisément

ce qu'il veut : il s'agit de réfléchir sur la liberté de penser et non sur la liberté de faire. Penser ce que l'on veut, c'est penser à sa guise, être libre, comme on dit, de ses opinions. Cependant, en philosophie, on distingue penser ce qui nous plaît et penser ce qu'on veut. Penser ce qui nous plaît renvoie à la question de l'opinion, d'une pensée arbitraire et sans raison (irrationnelle ou irraisonnable). La volonté, en revanche, est fondée en raison. Le sens du problème La question du droit