Libre-pensée

1. La liberté de penser Qu'est-ce donc que la liberté intérieure ? C'est d'abord la liberté de penser. Je suis parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. La liberté

de pouvoir défendre ses idées. Il est indispensable de tolérer les jugements de toute personne afin de respecter les opinions subjectives, à moins que cela ne menace le monde que nous vivons. Mais rien ne peut empêcher l'esprit de quiconque d'être libre, c'est le principe même de la liberté. Cependant, on pourrait penser que certaines opinions ne sont pas convenables, car elles pourraient devenir un danger pour la communauté. Mais peut-on interdire ou rejeter une opinion sans pour autant supprimer

dit " je pense donc je suis", il montre ainsi que le sujet est le principe sur lequel repose l'ensemble de la pensée rationnelle. Au contraire quand un sujet ne pense pas il répète des opinions, des avis, des préjugés. La pensée suppose donc l'activité libre d'un sujet, mais en affirmant que le sujet est principe, que cette pensée suppose nécessairement un sujet, on risque peut être d'oublier qu'il peut y avoir une activité de l'esprit qui dépasse le sujet. En effet, il y a des pensées qui échappent

théorie toute autre. L’existentialisme propose que l’être humain forme l’essence de sa vie par ses propres actions, bien différente à la thèse que le déterminisme suggère. Dans ce texte, je chercherais à savoir si l’être humain est déterminé ou bien libre? Pour Marx, chez l’Homme ce n’est pas leur conscience qui détermine leur existence, c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur existence. Pour Marx, tout est déterminé. La raison d’être de l’humain est relié à son travail qui

« Les origines de la pensée grecque » par Jean-Pierre Vernant Le siècle des Lumières est une époque caractérisé par l’émergence de connaissances acquises par la pensée rationnelle et scientifique. On tente ainsi de répondre à des questionnements à l’aide de faits et non de croyances. Plusieurs croient que les premières manifestations réelles de la pensée rationnelle en Occident se sont faites durant ce siècle, mais ils ont tort de croire cela puisque cette forme de pensée existe depuis la Grèce

Le sujet I Définitions Le sujet désigne l’homme en tant que personne, être conscient de lui-même, Homme libre, maitre de ses pensées et de ses actes. Le cogito cartésien est le raisonnement de Descartes selon lequel la certitude première est celle de la conscience de soi (« je pense donc je suis »). Elle est à la base de l'opposition entre l'homme et l'animal et implique donc le fait d’être sujet. Le pouvoir de pouvoir ainsi se penser peut faire croire que l’être humain a la capacité de

plus libre en obéissant aux lois de la cité ou de l’État qu'en obéissant à lui seul? Voilà deux questions que nous pouvons nous poser. La liberté au sens courant opposée à l’obéissance comme Rabelais le dit lui-même dans l’abbaye de Thélème où la liberté est le maître mot : « fais ce que voudras ». Chaque individu présent dans cette abbaye jouit d’une liberté sans limite et profite ainsi de la vie jusqu’à sa mort. La liberté au sens courant est donc l’absence de contrainte. Comme le pense la plupart

par : Vaillancourt, Frédérik : Groupe : 02 Travail présenté à : Hélène Chabot Collège Gérald-Godin Remis le 29 avril 2012 Pourquoi cette si grande évolution dans le domaine de la science? La pensé rationnelle de Descartes a aider à cet essor. Est-il bon ou mauvais d’avoir une pensé rationnelle? Deux philosophes s’opposent sur cette question : René Descartes et Jean-Jacques Rousseau. Selon Descartes, vivre rationnellement mène à notre liberté en comprenant la nature. Selon Rousseau,

de droit : il a des droits et des devoirs, il est libre et responsable, il a une conscience morale, pour différencier le bien et le mal. L’homme a une conscience, l’animal a un instinct : il y a une différence de nature entre les deux. La conscience psychologique met le sujet en relation avec les autres, lui permet de prendre de la distance avec soi. FREUD, psychanalyste montre l’existence d’un inconscient psychanalytique qui concerne la pensée. Les notions de conscience, d’inconscient et de sujet

conscience : étymologie : cum (avec) et scire scenta (savoir connaître) On utilise le mot « conscience dans le langage courant également, comme « l’avoir sur la conscience ». Réflexion : s’interroger sur une pensée (=> jugement) > pensée sur la pensée > pensée qui revient sur elle même > pensée qui se prend elle même pour objet. La réflexion requiert le LANGAGE. 2 types de consciences : CONSCIENCE PSHYCHOLOGIQUE : ⇨ philosophes classiques (ex : Descartes) -conscience immédiate : faculté de