Libre-pensée

de la tentative de meurtre de son mari. Elle se dirige vers la voiture puis vers la gare pour rentrer chez elle accompagné de son père et de son avocat. Quelle est la situation finale du récit? Thérèse est déposé à Paris par son mari et laissé libre par celui ci. Quels sont les évènement charnières du récit? D'une part la tentative d'empoisenement pour attirer l'attention de son mari qu'y mènera d'une autre part à la « libération » de thérèse en étant déposé à Paris. FICHE 2: Appréciation

l’autre, au désir de se l’approprier comme on peut s’approprier une chose, un objet. Ce que souhaite Sartre, c’est que l’amour ne veut pas être pensé comme une « passion débordante et mécanique » (ligne2). Celui qui aime ne désir pas que l’amour qu’on lui porte ne soit que le fruit d’un automatisme. L’amour c’est l’expression d’un choix, d’une volonté libre à soi. L’amoureux désir être en fait aimé par une liberté en tant que telle. Si le sentiment d’amour n’est pas un mécanisme il est un projet construit

aux enfants. Cette dualité (liberté et protection) est complexe à gérer pour les enfants, pour les éducateurs, pour les adultes. La polémique sur la fessée est un bon exemple. Si l’on pense qu’une sanction physique est justifiée, c’est parce que l’enfant est à un âge spécifique qui a ses exigences. Si l’on pense au contraire qu’elle est illégitime, on affirme que l’éducation sur de tels principes porte atteinte à la personne. Le fait de reconnaître à l’enfant une identité qui ne se réduise pas à

liberté : « Être libre, c'est être moral ». Partant de cette pensée, il serait faux d'opposer liberté et obéissance. Il est donc concevable, selon Spinoza, d'être libre tout en obéissant à un tiers, ou du moins à sa Raison, tant que la Raison ne nous freine pas. Mais comment peut-on affirmer que la liberté consiste à obéir à une loi quelconque, alors que la définition même de la liberté est d'être dénué de toute obligation et contrainte ? Comment peut-on obéir tout en étant libre ? Les deux notions

comportements. Cette modernité arrive à un moment précis dans l’histoire (autour du 16/17ème). On quitte un monde où tout est donné, où on n’a qu’à se soumettre pour entrer dans un monde où tout est donné. Le vrai cesse d’être donné, il devient pensé selon des idées purement humaines. L’homme a des droits en fonction de sa naissance. On est un homme de manière naturelle. Ce qui exprime la modernité, c’est la démocratie. On peut dire que la modernité est l’avènement du sujet (de la subjectivité)

permettre la paix de chaque individu, en dissociant la pensée et l’action qui en découle. Puis, il affirme que personne ne peut agir contre le pouvoir du gouverneur de cet Etat, mais libre à lui de montrer son désaccord face à ses décrets, de prendre partie, de juger, de réfléchir et donc, de philosopher. Tout d’abord, nous verrons que l’auteur affirme la nécessité du pouvoir dans la formation d’un Etat, mais également qu’il faut opposer la pensée et l’action pour son bon fonctionnement. Puis, nous

2. La conscience de soi    I. DEFINITION   L'expression "conscience  de soi"  peut avoir deux sens : → 1. Elle désigne la connaissance qu'a l'homme de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. → 2. Elle désigne la capacité qu'a l'homme de faire retour sur ses pensées ou ses actions.    Généralement on considère que la conscience de soi est le propre de l'homme. La conscience de soi institue l'homme comme un sujet, c'est-à-dire comme un être entretenant des rapports particuliers

Dissertation sur le Texte de Hegel : « Ma volonté est toujours libre » Hegel est un philosophe allemand du XVIIIème siècle. Dans ce texte, il aborde plusieurs thèmes distincts mais liés : volonté, la liberté, le désir et la conscience. La volonté est une envie ou un désir d’agir dicté par notre conscience. C’est le fait de choisir, de prendre une décision. La liberté représente le fait de pouvoir faire ce que l’on veut, donc d’exécuter nos désirs lorsqu’il s’agit d’actions. Le désir est la recherche

savoir de l’auteur, de façon à reconstruire les « fondements » de ses pensées, afin d’ « établir quelque chose de ferme et de constant […] », celui-ci nous explique qu’ afin de parvenir à un système de pensée personnelle, nous devons entreprendre de remettre en cause toutes les opinions que l’on nous a inculquées dès l’enfance, et que nous prenons comme des vérités. Descartes cherchait un moyen d’atteindre la véritable pensée personnelle, mais avant cela, nous pourrions nous demander : Qu’est-ce

la pensée véritable, convaincue, ne peut être qu’une pensée dite « personnelle ». Elle ne pourrait donc pas être apprise ni enseignée, étant donné que l’appren¬tissage implique un maître et un élève. Pourtant, on confère à la péda¬gogie un rôle éducatif qui doit précisément mener à développer la liberté d’esprit. De fait, on pourrait donc apprendre à penser librement. D’où le problème : si penser est une activité subjective, de sorte qu’une pensée véritable est nécessairement «notre» pensée, n’est-il