Licenciement Pour Faute Lourde

1. Maladie 3 2. Maternité 4 3. Congés payés (CP) 4 4. Accident du travail ou de trajet 4 5. Maladie professionnelle 4 6. La grève 5 B. Les cas de rupture du contrat 5 1. Démission 5 2. Le licenciement 5 3. Rupture conventionnelle 6 4. La transaction 6 Conclusion : 6 Chapitre 2 : Les contrats dérogatoires 7 I. Le CDD 7 A. Le régime juridique du CDD 7 B. Avantages et inconvénients du CDD 7 II. Contrat de travail

même protégé). Pouvoir disciplinaire en cas de faute. Peut on le mettre à pied ? Renvoi de quelques jours, enlever une partie de son salaire etc. en tout cas il est fautif. Y’a-t-il une procédure pour le sanctionner ? Oui le pouvoir disciplinaire de l’employeur est encadré. 3. La rupture du contrat de travail : On n’est plus forcément embauché pour la vie dans une entreprise comme ce fut le cas pour les générations précédentes. _Le licenciement : C’est la pathologie de la relation de travail

conventionnels et dans les entreprises pour négocier des augmentations salariales. Cette disposition est entrée en vigueur au 1er janvier 2010. Les autres modalités de revalorisation du SMIC sont inchangées. Le licenciement Quels sont les critères permettant de fixer l’ordre des licenciements ? Pour déterminer le salarié susceptible d’être licencié, l’employeur doit tenir compte des critères prévus par la convention ou l’accord collectif applicable à l’entreprise ou, à défaut, par le Code du travail

Fiche Technique n° 3 La procédure de licenciement pour motif disciplinaire L e recours au licenciement d’un salarié est douloureux car il engage la responsabilité civile de l’employeur qui rompt le contrat du salarié en cause et dans certains cas, le salarié peut engager sa responsabilité pénale. Le licenciement répond à une procédure stricte, qui faite sous le coup de l’émotion peut conduire l’employeur à commettre des erreurs. La procédure de licenciement pour motif personnel répond à des

du temps de travail. - 27/12/1968 : l’exercice du droit syndical dans l’entreprise est permis. Après le choc pétrolier de 1970, une vague de licenciements s’opère et on prend conscience en France qu’il n’y a pas de législation en la matière. D’où : - 1973 : loi consacrée au licenciement pour motif personnel. - 1975 : loi consacrée au licenciement pour motif économique. - 1979 : première grande loi sur le travail temporaire (intérim). - 1982 : lois AUROUX fondées sur une idée : la citoyenneté

respectée 3 critères : - information et consultation des représentants du personnel - information individuelle de chaque salarié - respect d’un délai de prévenance. Si le salarié refuse la suppression d’un usage, alors il peut être licencié pour faute grave, pour insubordination. PARTIE 1 : LES RELATIONS INDIVIDUELLES DE TRAVAIL CHAPITRE 1 : LE CONTRAT DE TRAVAIL Section 1 : la qualification du contrat de travail L’intérêt de définir le contrat de travail permet de savoir si dans une

un caractère obligatoire. Ainsi, l’employeur qui répète régulièrement la même action a l’avantage des salariés, s’engage, par l’habitude. Exemple : usage de donner deux heures par jour au salarié pour pouvoir trouver un nouveau travail en cas de licenciement. Le CDI est un usage commun en droit du travail. Motif de recours en CDD : remplacement d’un salarié malade, accroissement temporaire d’activité (CDD, inventaire). Le CDI devrait s’appliquer au foot sauf usage et il est d’usage en football français

dont le contrat est suspendu par suite d’un conflit collectif (ex :gréviste) → pour effectuer des travaux dangereux dont la liste est fixée par arrêté (désamiantage,…). → pour accroissement temporaire d’activité et dans les 6 mois qui suivent un licenciement économique. B- La durée du travail précaire. Il faut opérer une distinction entre les contrats à terme précis (de date à date) et les contrats à terme imprécis. Le CDD et le CTT doivent toujours par définition être conclut pour une durée

travail 12 2.1.2.2 La durée de travail 13 2.1.2.2.1 La notion de durée de travail 13 2.1.2.2.2 Détermination de la durée du travail 13 2.2 Respecter la discipline 14 2.2.1 Eléments constitutifs du pouvoir disciplinaire 14 2.2.1.1 La faute 14 2.2.1.2 La sanction 14 2.2.2 La procédure disciplinaire 15 2.2.2.1 Modalité du prononcé des sanctions par l’employeur 15 2.2.2.2 Contrôle par le juges des sanctions prononcées. 15 2.3 Etre loyal 16 2.4 Assurer la sécurité des salariés

que cette mesure soit de nature à affecter immédiatement ou non la présence du salarié dans l'entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération". « Code du travail3 définition • Il n’existe aucune définition générale de la faute disciplinaire. • une faute, c’est-à-dire un manquement à ses obligations professionnelles : – le non-respect des règles de discipline fixées par le règlement intérieur ou par note de service ; – le refus de se conformer à un ordre de l’employeur ; – le non-respect