Limites Mc Kinsey

ainsi que les options stratégiques possibles pour les banques. Le champ des stratégies bancaires : Les stratégies bancaires doivent obligatoirement s'inscrire dans un champ dont les contours sont clairement définis de manière à pouvoir préciser les limites de l'activité et éviter les dispersions. Les principales variables définissant le champ stratégique d'une banque sont : les produits, les clients, la technologie et la zone géographique. Z. Monique 128(*) insiste sur l'importance quelle a pris la

spécialisant dans le laser. Nous retrouveront Euro découpe avec un rendement en capitaux propres de 9.76 millions euros et un effectif de plus de 181 personnes. Viennent Cafrarer, PUM /PMSU. La plupart de ses concurrents ont un outil de production limité, possédant une à quatre machines comparativement à Decoup qui en possède près d’une trentaine. Dans ce secteur, on retrouve le plus souvent les entreprise de taille de Decoup et pouvant rependre à la demande des grands donneurs d’ordre. Sur

jeune adulte (femme/ homme âgé de 20 à 30 ans) actif, urbain et moderne qui aime suivre les tendances de la mode et qui privilégie la qualité au prix. * Source : www.fashionmag.fr On peut également segmenter le marché selon deux axes : Mc Kinsey matrix [pic] La position de Zara parmi les différentes marques de vêtements est très privilégiée car elle s’est toujours positionnée dans le secteur qui combine des prix plus ou moins bas avec beaucoup de style. [pic] 5 - Analyse des

.................................................................................26 112. l’environnement du secteur d’activité : le modèles des 5 forces +1....................................................................................27 Les limites du modèle des 5 forces +1 selon Johnson et Fréry: .............................................................................................28 Réglementation et champ d’activité des intervenants : ..............................................

Chercher une solution raisonnable et non optimale : Le mieux peut être l’ennemi du bien. Ne pas confondre les objectifs (la fin) et les moyens : on ne fait pas les choses sans finalité. Partir des buts pour aller ensuite aux moyens (sinon on limite son avenir aux ressources actuelles). Trop d’information tue la décision. Poser les bonnes questions représente plus de 50% dans la recherche de solutions. Formuler les bonnes questions au lieu de donner les réponses, ce qui permet une appropriation

l’externalisation des outils informatisés. C’est dans un contexte de perdition (balance commerciale déficitaire, économie impactée fortement par les aléas climatiques, une stratégie commerciale quasi-absente …) que le Maroc a fait appel au cabinet Mc Kinsey pour effectuer une étude. Cette étude avait pour but de relever les secteurs exportateurs dans lesquels le Maroc pourrait être compétitif. C’est de cette étude qu’est né le programme émergence qui a relevé sept secteurs dont l’automobile, l’agroalimentaire

souhaite le positionner. Les fonctions d’informations :Le packaging peut être aussi un vecteur d’informations pour les consommateurs. C’est à cesfonctions qui correspondent les modes d’emploi, les conseilles d’utilisation, les indications sur lesdates limites de consommation et les composants du produit. C. L’étiquette :C’est la carte d’identité du produit (C.I.P.). Elle se présente sous forme d’une fiche decommunication contenant :Un ensemble de mentions obligatoires ou non figurants sur les conditionnements

Conjoncture économique……………………………………………………………….10 B. Présentation du CIH…………………………………………………………………….13 Chapitre II : Fondements théoriques d’un tableau de bord prospectif :…………..16 Section I : Définition, principe, rôle, fonctions, limites…………………………………………..16 Section II : Méthodes et Modalités de conception d’un tableau de bord prospectif ………..19 ■ Partie II : Conception d’un tableau de bord prospectif au sein du CIH :………………...…42 Chapitre I : Etat des lieux et

changer cette habitude représente un coût psychologique. Présence de barrières à la sortie élevées. Il existe deux types de barrières : à l’entrée et à la sortie. Obstacles naturelles ou artificielle (loi) permanent ou non-permanent qui empêche ou qui limite l’arrivée de nouvelles firmes sur le marché. La menace de nouveaux entrants : Y a t il un risque de voir arriver de nouvelles entreprises (donc de nouveaux concurrents) sur le marché. Il va falloir analyser 2 facteurs de risque : définir l’attractivité

stratégie, l’entreprise s’appuie uniquement sur un diagnostic interne de ses ressources propres et externes de son environnement proche. 1970 : Des outils d’analyse apparaissent avec de nouvelles notions comme les matrices BCG, Arthur Doo Little puis Mc Kinsey. Les nouveaux concepts sont les avantages compétitifs et le DAS. La concurrence devient internationale et doit être intégrée dans les analyses. 1980 : Michael Porter intervient et intègre des aspects qualitatifs dans ses analyses. Après les 2 chocs