Locke La Conscience Seule Constitue Le Soi

deux définitions indépendantes, les deux ont tendance à se recouper, mais pas comme l’Etat seule forme du politique (même dans l’Etat actuel, le politique prend d’autres formes), mais comme l’Etat espace privilégié du politique. Texte de Pierre Clastres Voir la fiche de lecture de Mikael. Les théories du contrat social Notes sur les autres théories du contrat social : Les théories de Hobbes, Locke & Rousseau sont les plus « célèbres », mais d’autres auteurs ont pu faire appel à l’idée

une grande instabilité politique et institutionnelle. La France a constitué un véritable laboratoire. On a testé toutes les formes de régimes, Notre droit constitutionnel sʼest formé en 3 grandes phases. La 1ere qui va de 1789 à 1799 : la phase révolutionnaire. Période pendant laquelle lʼorgane législatif est lʼorgane suprême. Les chambres détiennent le pouvoir. Elles décident de la politique. Légicentrisme à son apogée. Une seule source du droit : la loi, étant lʼexpression de la volonté générale

nécessaire ». Mais peut-être les hommes devraient-ils même le supprimer tout à fait. La conception de l’Etat qui prédomine aujourd’hui, inspirée notamment par les théories de Locke et d’Adam Smith, est fondée sur des principes qu’on résume parfois sous l’appellation de «libéralisme ». Dans le Second traité du gouvernement civil, Locke affirme que l’individu dispose de lui-même et de ses biens : ce sont la liberté et la propriété qui définissent l’homme avant tout. Smith prolonge alors cette conception

finalité sociale [modifier] Le but de la règle de droit est d'organiser la vie sociale : c'est pour la règle de droit que cette caractéristique est la plus prononcée. Pour la règle morale, la finalité serait plutôt celle de l'épanouissement de la conscience de l’individu, de son perfectionnement ; la règle religieuse, elle, veillerait au salut de l’âme. Pour atteindre cette finalité sociale, la règle de droit va parfois contredire des règles morales ou religieuses (divorce, prescription, avortement

que j'ai conscience d'être ? Nous avons pour habitude de penser que nous avons conscience de ce que nous sommes. En effet, la conscience est l'acte par lequel nous nous rendons compte par nous-mêmes que quelque chose a lieu en nous et hors de nous. C'est donc nous-mêmes qui sommes conscients. « Avoir conscience de », c'est agir, penser, sentir et en plus savoir que l'on agit, que l'on pense ou que l'on sent. Être conscient, c'est donc être présent au monde. Si l'on en croit Locke, la conscience

Pourtant, il nous arrive de dire que nous n’étions plus nous – même lorsque nous ne nous reconnaissons pas. Au delà du paradoxe posé par le sujet, il semble qu’il y ai une réalité. Etre soi, c’est avoir conscience de son existence, c’est avoir une unité et une unicité. Le je, en prenant conscience de soi, produit une image de lui – même, qui peut être adéquate ou non. Or, le « même » renvoie à une idée de permanence, être le même, c’est être fidèle à notre moi au fil du temps, c’est lui coïncider

constitution d’un contrat. L’État moderne est indissociable d’une certaine laïcisation du pouvoir. Les fondements mêmes de l’État ont bougé durant cet intervalle. Cette justification n’est pas du tout la même entre la période d’Aristote et la période de Locke. Depuis la fin du 17e siècle, nous sommes entrés dans une période nouvelle, celle de la justification de la relation entre gouvernant et gouvernés. Le pouvoir politique n’est plus justifié par un ordre divin, un ordre cosmique : désormais on repère

La conscience : « L’être de la conscience, c’est la conscience d’être » Sartre -> autrement dit la conscience de soi. La conscience installe chacun dans un rapport direct de soi avec soi donc la dimension personnelle de la conscience est un universelle d’où la question « Qu’est-ce que ce moi ? » J’ai la conscience d’être un sujet incarné mais de ne pas me confondre pourtant avec mon corps dont je dis qu’il est mien. L’hypothèse dualiste de Descartes : Ce moi, càd l’âme par laquelle je suis

la causalité développée par le philosophe Aristote. Pour Aristote, la cause n'est pas simplement ce qui précède l'effet : c'est une notion métaphysique complexe. Il distingue ainsi quatre types de causes : 1. cause matérielle (la matière qui constitue une chose), 2. cause formelle (l'essence de cette chose), 3. cause efficiente (ce qui produit la chose), 4. et cause finale (ce « en vue de quoi » la chose est faite). -épicurisme : Doctrine morale, manière de vivre d’Épicure ou des épicuriens

lui-même, il se tourne vers la nature. Penser sa nature devient ainsi pour l’homme un moyen pour comprendre son aspect fondamentalement culturel. Loin d’être un simple objet de manipulation, la nature se présente comme une origine perdue. Hobbes et Locke, au XVIIe siècle, posaient un état de nature pour essayer de trouver une nature humaine leur permettant de justifier leurs théories politiques. Ainsi Hobbes pose l’existence d’un état de nature dans lequel l’homme est un loup pour l’homme, ce qui lui