Locke Table Rase

analyse des courantes à travers le temps. ANCRAGE HISTORIQUE ET DÉVELOPPEMENT DES COURANTS DE PENSÉE DE L’APPRENTISSAGE Rationalisme Avant JC 500-400 16e et 17e Siècles Socrate Platon Cartésianisme Descartes Empirisme Aristote Empirisme anglais Locke Hume SUITE 2 19e siècle (fin) Structuralisme Empirisme logique Wundt Titchener Comte Bernard Mentalisme 20e siècle (début) 20e Siècle (milieu) Psychanalys e Gestaltisme Fonctiona lisme Freud Erickson Wertheimer Kofka Dewey Béhaviorisme

mesure où celle-ci nous permet de le rencontrer à travers des sensations perçues. Pour Locke l'expérience n'est pas seulement une manière de rencontrer le réel, mais c'est la seule façon d'acquérir des connaissances. En ce sens, Locke est un empiriste (du grec empeiros qui signifie « expérience »). Selon lui, l'esprit n'a pas d'idée innée ; il est au départ comme une feuille blanche, une tabula rasa, une table rase, qui n'acquiert de pensées qu'à partir de la seule expérience. Les premières idées viennent

des vérités. Tout d’abord, afin d’avoir accès à la connaissance il faut faire des expériences. En effet, est-il possible d’accéder à la connaissance si nous ne pouvons pas expérimenter ? Dans les faits, si nous suivons l’idée de Locke comme quoi « l’esprit est une table rase », ce qui revient à dire qu’il n’y a pas d’idée innées, signifie que l’expérience est l’origine et le fondement de la connaissance. Ainsi, l’expérience sensible que nous faisons du réel est l’origine de la quête de la vérité. Certains

: l’ordonnancement rationnel du droit a) Un obstacle intellectuel : une certaine disposition d’esprit des juristes d’Ancien régime b) Un obstacle politique : l’ancienne constitution de la France 1. La prudence des rois de France 2. Le défi de la table rase des Lumières § 2 La codification des droits civils, assise de la citoyenneté A. L’accessibilité du droit 1°) L’accessibilité de la forme 2°) L’accessibilité du fond B. Un instrument de pédagogie législative Sect. 2 La garantie des droits acquis

puisse savoir qu’il meurt prouve sa supériorité sur l’univers. Voir l’homme comme étant supérieur à tout autre chose par le fait qu’il ait conscience de lui-même, ne solutionne pas le problème. Locke, quand à lui, dans son «  Essai sur l’entendement humain », nous explique que l’esprit est une table rase, et que l’idée innée n’existe pas car chaque idée née de nos expériences. Il remet en question la notion d’âme et essaie de la remplacer par autre chose tout en sachant que c’est elle qui nous confère

Platon, pour qui le monde des idées et différent du monde sensible. « le monde sensible est à l’origine du monde des idées ». Traité de la nature humaine – « Tous les matériaux de la pensée sont tirés de nos sens ». Locke – Essais sur l’entendement humain – « l’âme est une table rase, vide, sans aucune idée qui reçoit des sensation ». Pour les empiristes se sont les impressions sensibles (internes ou externes) qui donnent les idées. Ils nient qu’il puisse y avoir des idées innées. Les idées (qui

le temps ) de la comprendre et de pouvoir la parler. Au contact d'un milieu, notre esprit « enregistre » les données qu'il percoit par les sens naturellement, pour les transformer en connaissances . Pour les philosophes empiristes comme Locke, il est une « table rase » , une feuille vierge, où s'impriment, s'inscrivent nos connaissances au cours de notre vie. Leibniz n'est pas en accord avec cette idée, il pense que certaines connaissances sont innées, et qu'on les utilisent dans notre vie. Quoiqu'il

des expériences à des objets. Exemple : la neige est associée au froid et la chaleur à l’eau qui bout. Cette conscience ne se construit pas, elle se ressent. L’esprit humain est le théâtre de l’ensemble de nos perceptions. John Locke « L’esprit humain est un table rase » Le moi et ses qualités : Pascal se demande qu’est ce que le moi en dehors de ses qualités. Par exemple, pourquoi aime-t-on une personne ? Qu’est-elle vraiment en dehors des qualités qu’on lui attribut ? Il répond que ce

Introduction Leibniz est un philosophe né en 1646 et mort en 1716. Ses contemporains sont, Spinoza, Newton et Locke. Il considère que la raison n’est pas homogène. Il a été imprégné par une éducation philosophique ancienne. Platon pour la théorie des idées, Aristote et les stoïciens ont également marqué son système. Il reçut une éducation classique et moderne avec Descartes et Gassendi. Il a le souci constant de la singularité, il veut donner une expression conceptuelle de l’individualité. Il cherche

l'éducation, les moyens d'action A) Le pouvoir de l'éducation Durkheim nous montre également que l'éducation a un pouvoir, notamment sur les façons d'agir de l'homme et agît également sur les prédispositions innées chez ce dernier. En effet, pour Locke et Helvétius « tous les hommes naissent égaux et avec des aptitudes égales, l'éducation seule fait la différence », au fil du temps, l'éducation va construire nos instincts (mouvements etc...), nos façons d'agir face à certaines situations. Exemple :