Locuteur

on dû à son caractère atypique dans la langue française, puisqu’il peut être utilisé au singulier ou au pluriel en étant défini ou indéfini, était peu utilisé lors des discours politiques en France. Le on comme le ça créé une connivence entre le locuteur et son interlocuteur. À travers ce on que N. Sarkozy utilise, le peuple peut se sentir concerner et se reconnaître, et N. Sarkozy l’a très bien compris, car il s’en sert pour toucher tous ses interlocuteurs, mais aussi pour stigmatiser en pointant

Problématique La linguistique interactionnelle que nous développons étudie les énoncés en tant qu’ils s’inscrivent dans le discours en contexte interactionnel et dans la séquentialité de l’échange conversationnel. Elle tient compte du fait que les locuteurs utilisent la position séquentielle des énoncés — la position de leur énoncé tant par rapport à ce qui précède qu’à ce qui va suivre — pour configurer leurs énoncés, en particulier sous le rapport de l’implicite et de l’explicite et qu’ils disposent

deux interlocuteurs utilisent-ils les mêmes types d’arguments ? Registres : didactique, puis polémique ; pathétique. 2. La situation d’énonciation Double énonciation : entretien entre A. Finkielkraut et M. Serres à destination des auditeurs Locuteur(s) : A. Finkielkraut et M. Serres Destinataire(s) : A. Finkielkraut et M. Serres + auditeur Alain Finkielkraut Michel Serres Polémique Provocation Rappel des valeurs supérieures Discours universitaire Profusion de citations

baptême. Dans le deuxième cas, celui de la promesse, l'énonciation des certains mots suffit pour considérer l'acte comme étant effectué pour autant que la promesse ne soit pas énoncée dans une situation fictive (pièce de théâtre, humour etc.) et que le locuteur soit à même de tenir sa promesse. Ces exemples, qui seront développés par la suite, montrent bien l'importance du contexte de l'énonciation et l'intérêt de la notion d'échec qui tente de statuer dans chaque cas si l'acte est heureux ou malheureux

leur donnent une signification différente. Solutions Rechercher la signification en s'attardant à la personne et non aux mots. _ Recours aux techniques d'écoute active _ Poser des questions pour s'assurer que l'on a bien compris ce que le locuteur voulait dire. Évaluations statiques Tendance à ne pas modifier les jugements que l'on porte alors que la réalité à laquelle ils se rattachent se transforme sans cesse. Solutions : Associer une date à ses énoncés et à ses jugements. Analyser

profil d'un récepteur peut se définir comme suit: -Le respect de son interlocuteur (pas de préjugés ou des idées préconçues sur ce que va annoncer cet émetteur. -Etre dans une position commode vis-à-vis de l'émetteur. -ne pas interrompre le locuteur (la personne qui parle "l'émetteur"). -Réagir aux propos de l'émetteur par actions, mimiques, réponses, questions. -Répéter et reproduire un message dans une forme équivalente. -Maîtriser les modalités articulatoires de productions des sons de

spatio-temporel et son évolution 2-4- dégager les principales étapes du discours 2-5- comparer avec des éléments connus ou proposés 2-6- proposer une interprétation de l’œuvre 3- pour le discours EXPLICATIF et surtout ARGUMENTATIF : 3-1- identifier locuteur(s) et destinataire(s) 3-2- dégager la thèse défendue et/ou combattue 3-3- repérer les principaux arguments et exemples 3-4- dégager les principales étapes du raisonnement 3-5- comparer à d’autres discours connus ou proposés 3-6- apprécier

Manque de ponctuat° dans le but de sollicité l’imagination du lecteur b) UNE VISION SUBJECTIVE a) Texte subjectif  présence affective et moral du locuteur Enonciation indirect du « moi »  mise à l’arrière-plan opp a la valorisat° de la nature On relève une image v16-17 qui crée une sorte de proximité familière entre la saison et le locuteur Marque de l’affectivité « adoré », « pauvre » qui exprime l’appresiat° subjective du « je » b) Personificat° de l’automne interpellat° d’un être

accepte le message émis et y adhère. Ce qui marque avant tout la communication orale est sa spontanéité : la parole est vivante, inscrite dans le temps, sans modification possible au moment où on l'émet. Dans la communication verbale, l'émetteur (locuteur) et le récepteur (ou interlocuteur) sont en principe en présence l'un de l'autre et d'autres éléments sont ainsi importants : l'expression du visage, les gestes, les intonations de la voix... ✓ L’espace L’espace est l’endroit que l’exposant

actions, en train de parler notamment dans la micro scénette finale. Le deuxième interlocuteur est le « je » qui avant tout pose des questions à Acis (de façon directe ou pas) mais rapporte aussi ses réponses, parfois de façon déformée. Mais le locuteur est aussi présent sous un autre plan : il met en scène une situation (au présent de narration) avec un discours plus ou moins injonctif (« vous abordez »...) => il s'agit du discours du moraliste qui interpelle le lecteur au même titre qu'Acis (questions