Logique De Poste Taylorisme

transformer de manière à rendre plus performante la division du travail. Traditionnellement on distingue trois grandes formes, qui ont apporté chacune des transformations particulières pour améliorer les conditions de travail, le taylorisme, le fordisme et le toyotisme. a. Le taylorisme : une double division du travail. Taylor est un ingénieur américain de fin du XIX siècle. Il observe que dans l’industrie ce sont les ouvriers qualifiés qui ont une bonne partie du pouvoir car se sont les seuls à maîtriser

décision................................................................9 III. La théorie des jeux…………………………………..……….………………………….10 IV. L’école socio- technique.................................................................11 V. Le néo-taylorisme...........................................................................12 VI. La pensée Japonaise …………………………….………………………………..……13 VII. Les organisations capitalistes Asiatiques…………………………………….…15 VIII. Les entreprises libres……………………………………………………………

La Gestion du Personnel a connu une évolution notable depuis le XIXème siècle, de l’époque du Taylorisme avec l’Organisation Scientifique du Travail où chaque activité est minutieusement programmée et contrôlée, en passant par l’administration du personnel, jusqu’à l’actuelle conception de la Gestion des Ressources Humaines. En effet, le Taylorisme se caractérise par une monopolisation du savoir par l’employeur, l’inhibition de l’esprit créatif des ouvriers, l’homme étant peu considéré dans le

J.DINIA A .BALAFREJ N.TAKADDOUMI Sous la direction de Mme A.LAMRANI Année universitaire 2009/ 2010 INTRODUCTION I. LES APPROCHES RATIONNELLES ❖ L’ECOLE CLASSIQUE 1. LE TAYLORISME ET LE MANAGEMENT SCIENTIFIQUE 2. LE COURANT ADMINISTRATIF DE FAYOL 3. LA BUREAUCRATIE WEBERIENNE 4. LES LIMITES DE L’ECOLE CLASSIQUE ❖ L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 1. MAYO ET LA SOCIOLOGIE DU TRAVAIL 2. MASLOW ET MC GREGOR ET

+ sur internet Les grandes étapes de la gestion des ressources humaines [pic] 1 + sur internetDe l'administration du personnel aux relations humaines [pic] La première moitié du xxe siècle est marquée par les modèles productifs du taylorisme puis du fordisme. Au départ, dans ces modèles, il n'existe pas de fonction dévolue au personnel, l'entrepreneur prenant en charge les quelques aspects rudimentaires et essentiellement administratifs de la mission (versement des salaires en espèces

cours du XXème siècle : Administration du personnel : ≠ Gestion des RH : Personnel substituable Actif spécifique Réaction Anticipation Cout variable d’ajustement Ressources Chef du personnel DRH ==> Période du Taylorisme ; main d’œuvre = cout = variable d’ajustement ==> Japon ; main d’œuvre = actif spécifique qui a de la valeur pour l’entreprise et la développer, on évite le turnover et on cherche a fidéliser les employés. Ress = investissement ==> GRH ⇒ GSRH

une nation et d’y être citoyen à part entière quels que soient son revenu, ses diplômes ou son lieu d’habitation. De même, il permet théoriquement une meilleure utilisation des ressources humaines et matérielles du pays grâce au réseau ferré, à la poste, aux hôpitaux, à l’état civil, au contrôle aérien, à l’enseignement. Ces «biens communs» facilitent les initiatives individuelles, l’activité des entreprises et, finalement, la croissance économique et l’emploi. Les enjeux sont là tellement importants

Iliasse BOUSEFARJEL Mouad DAOUDI * Introduction. * Parti I: L'école Classique. * Présentation de l’école classique. * Les différentes théories de l’école classique en management : Section 1: Le Taylorisme, Fordisme et le management scientifique : a) Frederick W. Taylor et Ford. b) Principes du management scientifique du travail. Section 2: Le courant administratif

seront reliées au système financier : on fonctionne en parallèle. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale avec les débuts des SA II) XIXe siècle à 1970 : Grande entreprise/Firme avec le Taylorisme/Fordisme. III) 1970 à nos jours : remise en question de ce processus : nouvelles formes d’entreprises qui vont être à flux tendu et performantes. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale

pensée manageante. Les lacunes de cette pensée rendent irremplaçable le rôle du manager. En réalité, dans les trous de la pensée manageante, on trouve la philosophie, les valeurs d’une pensée managériale. La pensée managériale est différente des logiques rationnelles. Le manager décide ou fait des choix à partir des enseignements de la pensée manageante mais aussi à partir d’une philosophie personnelle du management et de son rôle. Face à des problèmes ou à une situation particulière, le manager