Machiavel Violence Légitime

Philosophie ...Ou bien même la violence reste nécessaire. Que devient alors la fin idéale? Mais renoncer à cette fin idéale n'est pas souhaitable: cmt concilier une fin idéal et théorique et la dimension pratique de la politique: cad le champ théorique et le champ pratique. I.En droit , la politique peut- elle visée à cette élimination de la violence? A. apparemment, elimination but premier de la po 1er sens de «  violence » → violence naturelle fiction de l'état de nature décrit

sont, du point de vue des membres de la collectivité, légitimes. Si l'on instaurait un Etat, qui dispose de la souveraineté dans une "société de subsistance", il est probable que la légitimité serait remise en cause par les hommes. Par exemple, dans une société avec un Etat, la société lui reconnait le droit exclusif d'employer la violence tandis que dans une société primitive le chef, n'a aucun pouvoir coercitif, il ne peut contenir la violence, n'importe qui peut lui désobéir. De plus, dans les société

était réglé par la religion. Mais avec l’arrivé de l’humanisme et de la renaissance au XV et XVIème siècle la fiabilité de la religion est remise en cause. Martin Luther critique le système des indulgences et dénonce les abus de l’église. Erasme et Machiavel pensent que le règne d’un prince doit se faire indépendamment de l’opinion ecclésiastique. Peu après le XVème siècle, à la fin du XIXème siècle l’église perd petit à petit le soutien de l’état : L’enseignement catholique est interdit, le gouvernement

Saint-Barthélémy (24 août 1572), dans le contexte des Guerres de religion, dont La Boétie avait pu observer les premières phases. A. De Machiavel à La Boétie Même contexte de la Renaissance humaniste, même culture politique nourrie par l’Antiquité grecque et romaine, même méthode d’observation pragmatique et historique, mais deux générations après Machiavel, et tandis que se déclenchent les Guerres de Religion (en Allemagne, en Angleterre à partir de 1534, puis en France à partir de 1561)

politique ? Comment le pouvoir politique obtient-il le respect des règles qu'il définies ? Débat de deux points de vue : A. La contrainte est au coeur de la relation au pouvoir : nous obéissons car contraints par la violence ou par crainte de la violence B. Consentement des assujettis. Nous obéissons parce que nous avons la conviction que ceux qui ordonnent en ont le droit = légitimité du pouvoir politique. Il faut commencer par préciser un certains nombres de termes. Pouvoir

amené à se renouveler et à s’adapter à la société contemporaine. Chapitre 1 : Les origines du Libéralisme Machiavel (1469-1527) : Il a l’immense mérite de nous montrer que la politique n’est jamais fondée sur de bons sentiments. Le premier enseignement de Machiavel pour un libéral : il fait tomber le prince, le politique et les hommes de l’Etat de leur piédestal. Pour Machiavel ceux qui réussissent en politique sont loin d’être les meilleurs parce qu’ils sont ceux les plus malhonnêtes et

lien avec les sciences juridiques. Cette conception a l’avantage de la clarté et de la limitation (pas d’étude des clans, de la famille, la mafia, les ONG, les organisations internationales, etc.). C’est la statologie, (l’État, terme inventé par Machiavel) : on étudie plus des activités mais le cadre dans lequel elles se déroulent, un genre d’action sociale. I - LE POUVOIR 1 Elle exclue de son champ d’analyse les sociétés sans État (ex : Nuer), les relations de domination ou de commandement existant

internationale, caractérisée par l'anarchie. Aucune autorité des États possédant le monopole de la violence légitime 3.Objectif primaire de l'État = intérêt national + sécurité 4.Le système international influencent les dirigeants politiques I)Une politique de puissance centrée sur l'État A)L'État de nature omniprésent Les scènes internationales sont marqués par l'État de nature – violence expression normale – société anarchique et conflictuelle – État dépositaire exclusif du recours à la

vient à l’esprit, car il est plus visible : c’est en effet le pouvoir de coercition (forcer l’autre à agir ou à s’abstenir), exercé physiquement ou mentalement. Physiquement, c’est la force qui prime ; quand elle est incontrôlée on l’appelle alors violence. En effet la force est un pouvoir basique qui régit les rapports entre les hommes à « l’état de nature », c’est-à-dire, avant l’Etat, quand la société ne comporte que deux acteurs : moi et autrui. La thèse de Hobbes, dans le Léviathan, ou Traité

vient à l’esprit, car il est plus visible : c’est en effet le pouvoir de coercition (forcer l’autre à agir ou à s’abstenir), exercé physiquement ou mentalement. Physiquement, c’est la force qui prime ; quand elle est incontrôlée on l’appelle alors violence. En effet la force est un pouvoir basique qui régit les rapports entre les hommes à « l’état de nature », c’est-à-dire, avant l’Etat, quand la société ne comporte que deux acteurs : moi et autrui. La thèse de Hobbes, dans le Léviathan, ou Traité